Petit billet en passant.

Je sors de mon hibernation estivale pour un petit billet du style en vrac’. Après, je retourne à mon hibernation estivale… Si, si !

Ne pas parler…

Je comptais rédiger un billet sur l’odeur de sapin qu’empeste Pino 0.3 (aucune mise à jour du code source du logiciel depuis environ un mois au moment de ce billet), mais je n’avais pas envie de lancer un billet de polémique. Je n’ai pas envie qu’on dise que je suis un trolleur et rien d’autre.

Ni parler encore de musique libre, surtout que j’en ai parlé sur une demi-douzaine de billets depuis une quinzaine de jours.  Même si on trouve tous les jours des pépites, spécialement via dogmazic ou jamendo.

Ni encore moins de la sortie demain de deux projets du logiciel libre : OpenBSD 4.8 et Fedora Linux 14.

Ou encore de la sortie récente de la première étape vers la longue route vers le noyau linux 2.6.37 avec la rc1.

Bref, je ne sais pas vraiment de quoi parler concernant le logiciel libre. Bon autant ne rien écrire, et retourner à la lecture d’un bon bouquin, comme « Debout les morts » de Fred Vargas.

Zero Project et StrangeZero : quand la Grèce nous propose des successeurs de Vangelis…

Zero Project et Strange Zero sont grecs. Si le premier est le pseudo d’une seule personne, le second est celui d’un duo qui savent faire de la musique électronique de qualité. Digne des créations d’un certain Evángelos Odysséas Papathanassíou.

Via Jamendo, j’ai pu découvrir les créations des deux. Et les deux proposent- sur leurs sites respectifs – soit des images CDs de leur album, soit des versions en FLAC pour la meilleure qualité sonore possible. Intéressant, non ? 😉

C’est l’album « FairyTale » et son ambiance médiévale qui m’a fait connaitre Zero Project. Pour Strange Zero, c’est l’album « Newborn Butterflies » qui m’a enchanté.

Les deux proposent des musiques électronique, qui sont aussi bien médiévales, que romantique, que d’ambiance. A vrai dire, il est difficile de décrire par des mots ce que je ressens en écoutant ces artistes.

Comme les deux utilisent des licences Creative Commons pour leur créations, le plus simple est de télécharger et d’écouter.

Les albums que j’ai préférés ? Pour Zero Project : « Fairy Tale« , « Earth« , « Autumn Prelude » et « Disabled Emotions Suite« .

Pour Strange Zero, je n’ai écouté – pour le moment – que leurs 4ième et 5ième album, à savoir « The Neverlands« et « Newborn Butterflies »

Bonne découverte 😉

Parfois, la patience, cela paye ;)

Quand j’avais découvert Jamendo – vers fin 2005, début 2006 – j’avais découvert une artiste francophone du nom d’Ysé. A l’époque, elle proposait son EP, « Rêve d’Ange Heureux » à la vente via son site contre un chèque de 10 € environ (si mes souvenirs sont bons).

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L’offre légale et facile d’utilisation existe… Je l’ai rencontré ;)

L’offre légale – par rapport à la copie illicite de contenus sous copyright – est souvent une offre peu intéressante : chère, interopérabilité nulle (cf iTunes qui ne fonctionnent vraiment bien qu’avec les iPod), limitée, bref un cauchemar à l’utilisation.

Même si le CD est un format vieillissant et que j’ai déjà parlé de sa mort prochaine, il a un énorme avantage : on peut toujours – et jusqu’à preuve du contraire c’est légal – le copier sur le disque de son ordinateur, histoire de copier le fichier obtenu (sans le moindre DRM) sur un baladeur quelconque.

J’ouvre une parenthèse : suite à une fausse manipulation, j’ai perdu le contenu de mon disque dur externe qui contenait les quelques 15 GiO de musique (libre et commerciale) de ma collection… Encore heureux que c’était une copie de la musicothèque de mon disque dur principal 😉

Comme je disais avant cette digression, il existe une offre légale, de prix abordable : ce sont des sites comme Noomiz, Dogmazic (et sa filiale Pragmazic), Altermusique ou encore Jamendo pour ne citer que les plus célèbres.

Il existe de plus en plus de groupes et d’artistes qui vendent directement leur musique en ligne, ou la propose en libre téléchargement en se protégeant avec des licences creative commons / art libre. Voici une liste qui est tout sauf exhaustive :

Et je dois surement encore en oublier. Il suffit d’être curieux pour découvrir des artistes ayant réellement du talent, et non des produits formatés pour pondre quelques titres et se tirer ensuite avec l’oseille engrangée.