Frugalware 1.6 pre2… Ca au moins, c’est de la bonne version de développement.

La Frugalware Linux 1.6, nom de code Fermus, en est à son étape pre2.  Avec mon Archlinux, ce sont mes deux distributions préférées. Dimanche après-midi en fouinant sur les miroirs de la distribution, j’ai vu dans le répertoire frugalware-testing-iso quelque chose d’intéressant. L’iso de la pre2 avant l’annonce officielle.

J’ai fait alors chauffer mon wget… Cependant, à cause d’ennuis expliqué plus bas, l’article a pris plus de temps que prévu… Et Devil505 a envoyé en ligne l’annonce de la sortie de la version pre2.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://www7.frugalware.org/pub/frugalware/frugalware-testing-iso/frugalware-1.6pre2-i686-net.iso
–2011-12-18 16:32:31– http://www7.frugalware.org/pub/frugalware/frugalware-testing-iso/frugalware-1.6pre2-i686-net.iso
Résolution de www7.frugalware.org… 88.191.250.131
Connexion vers www7.frugalware.org|88.191.250.131|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 185597952 (177M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : «frugalware-1.6pre2-i686-net.iso»

100%[======================================>] 185 597 952 1,58M/s ds 2m 2s

2011-12-18 16:34:33 (1,45 MB/s) – «frugalware-1.6pre2-i686-net.iso» sauvegardé [185597952/185597952]

J’ai donc fait une environnement habituel de test, et j’ai lancé l’ensemble.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk-frug.img 32G
Formatting 'disk-frug.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk-frug.img -cdrom frugalware-1.6pre2-i686-net.iso -boot order=cd &

J’ai vu la présence d’une ligne GUI dans les choix de départ… L’outil fwife développé par Elentir ?

J’en avais déjà parlé il y a pas mal de temps, et j’ai voulu voir les évolutions de l’outil.

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Se faire son propre environnement léger avec Archlinux et Openbox.

C’est après avoir testé l’excellent Viperr que j’ai voulu faire cet article. L’environnement obtenu à la fin n’est nullement fignolé au point de ce qu’on peut avoir avec Viperr. C’est juste une volonté d’amuser avec Openbox et les outils. Car c’est le coté bricolage personnalisé qui m’a branché ici, et surtout la volonté d’expérimenter un peu.

Je tiens à remercier Alexandre Singh alias DarthWound pour ses conseils durant cette expérience. Et surtout, encore un énorme merci pour la version remixée de la Fedora 16.

Je suis donc partie d’une machine virtuelle ArchLinux 64 bits à jour, et j’ai installé les logiciels suivants, liste non exhaustive bien entendu :

  • Internet : Mozilla Firefox
  • Bureautique : LibreOffice, cups (et ghoscript avec foomatic-db)
  • Graphisme : Gimp, XSane, scrot pour les captures d’écran
  • Multimédia : VLC, QuodLibet et xfburn
  • Gestionnaire de fichiers : Thunar et son extension thunar-volman
  • Emulateur de terminal : terminator
  • Accessoires : xarchiver, galculator, xscreensaver, gmrun (pour avoir un menu de lancement comme ce qu’on a le raccourci Alt-F2 dans la plupart des environnements classique.

Etant donné que durant la préparation de l’article, j’ai pas mal galéré, ce qui suit est la version propre de mes manipulations. Pour l’installation des logiciels comme Openbox, le wiki d’Archlinux est comme d’habitude est une source inépuisable.

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Viperr 1.0 : quand Fedora Linux rencontre Openbox.

Parfois, quand je recherche des distributions à présenter et à tester, on peut tomber sur de très bonnes surprises comme sur de très mauvaises, comme ce fut le cas récemment avec PearOS 3.0.

J’ai fait une série de billets récemment sur des distributions proposant Openbox car j’avoue que si j’ai passé une période creuse avec ce gestionnaire de fenêtre, je recommence à m’y intéresser.

J’ai donc décidé de voir ce que Viperr, un remix de la Fedora Linux avec Openbox proposé par Alexandre Singh alias Darthwound a dans le ventre. La distribution est disponible aussi bien en anglais qu’en français, en 32 qu’en 64 bits.

J’ai donc pris l’iso française 64 bits, et j’ai lancé mon environnement habituel.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom Viperr-1-64FR.iso -boot order=cd &

Une fois l’environnement lancé, on a une interface minimaliste, léchée, avec l’ensemble des raccourcis clavier, et une barre de tâche en bas, minimaliste. On sent une volonté d’intrusion et de bling-bling minimisée au maximum. Une flèche à coté de l’heure permet de cacher les icones du réseau et du réglage du volume.

Il faut préciser que l’auteur de cette version remixée de Fedora est aussi un administrateur du site francophone de la distribution CrunchBang… Et c’est une très bonne distribution 🙂

Cependant, le bling-bling existe ici aussi et proposé un effet d’ombre sympathique sous les fenêtres. L’installateur est Anaconda, simple, mais qui fait son travail, que demander de plus ? 😉

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PearOS 3.0 : une poire un peu trop verte ?

En septembre dernier, j’avais parlé de la version 1.5 de PearOS, dénommé Cheetah, comme jadis un certain MacOS-X 10.0 🙂

Avec PearOS 3.0, on va carrément plus loin, en reprenant le nom de code de la version 10.3 de MacOS-X… Panther 😉 Pour les personnes se souvenant de l’informatique du début des années 2000, en octobre 2003, la 4ième version majeure de MacOS-X sort. Elle fit fonctionner la première génération de MacMini, dont j’ai été possesseur entre 2004 et 2005.

C’est donc l’esprit curieux que j’ai été téléchargé la version 3.0 de PearOS, sur son site officiel. Bien qu’il existe désormais 2 versions 32 et 64 bits, j’ai récupéré la 64 bits car je suis un adepte des distributions linux proposant cette architecture 😉

Et j’ai lancé ma machine virtuelle habituelle : 32 GiO de disque virtuel, 2 GiO de mémoire vive, le tout en utilisant un processeur 64 bits.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm -hda disk.img -cdrom pear-os-linux-panther-v3.0-x64.iso -boot order=cd &

Voici donc deux captures d’écran en mode liveCD. Et à moins que je sois complètement aveugle, je n’ai pas trouvé de lien pour lancer l’installation depuis l’image en version Live. Qu’à cela ne tienne, j’ai lancé l’installateur directement en redémarrant la machine virtuelle 😉

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Semplice 2.0rc1 : quand Debian GNU/Linux Sid rencontre Openbox…

Pour les distributions basées sur Debian GNU/Linux Sid, la plus célèbre, c’est Ubuntu et sa floppée de dérivée. Arrive ensuite Aptosid (qui propose une version Xfce et KDE). Et si on veut une distribution basée sur Debian GNU/Linux Sid et Openbox, il existe Semplice. Sa version 2.0rc1 est sortie récemment.

Voyons ce qu’elle a dans le ventre en utilisant le bon vieil environnement de test avec qemu-kvm.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting ‘disk.img’, fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm -hda disk.img -cdrom semplice64_2.0rc_190.0.iso -boot order=cd &

Pour gagner du temps, j’ai lancé la version liveCD, puis cfdisk en terminal adaministrateur pour définir directement les partitions à utiliser. L’outil d’administration de disque permet aussi d’agir en méthode graphique si on préfère cette option.

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Bilan de 2011 pour Archlinux.

L’année 2011 est bientôt finie, et comme pour d’autres distributions, cette année aura été riche en évènement. Et c’est aussi un article clin d’oeil au diablotin, célèbre mainteneur de la distribution Frugalware Linux qui est une de mes distributions chouchoute 🙂

Le plus important, c’est la sortie de plusieurs ISO d’installation non officielles et une ISO officielle très attendue, en août dernier.

Il faut dire l’ISO précédente datait de plus d’an, de mai 2010. Et vu l’évolution rapide du projet, autant dire que cela faisait une petite éternité.

Coté grand évènement, c’est l’arrivée sur le dépot testing – et l’année prochaine sur la version stable – d’un pacman qui gère les signatures de paquets.

Et parmi les autres évolutions de 2011 ? La gestion automatisée des modules ainsi qu’une gestion différente de leur mise sur liste noire, est celle qui me vient à l’esprit.

Ce qui m’a fait aussi plaisir, c’est la transition sans encombre vers le noyau linux 3.0, ou encore la possibilité de voir arriver la nouvelle génération de Gnome, génération décriée à cause de son ergonomie complètement différente par rapport à la génération précédente qui avait vu le jour en 2002.

Ce qui a marqué l’année, c’est aussi la popularité croissante d’Archlinux. Et même si ces statistiques ne valent pas grand chose, sur les 12 derniers mois, Archlinux est à la 6ième place du top de pages vues quotidiennement sur Distrowatch, contre 9ième un an plus tôt.

D’ailleurs, le nombre de distributions dérivées d’Archlinux ne cesse de croitre (liste non exhaustive), même si on est loin de ce qui se passe avec Ubuntu…

Espérons que 2012 soit une grande année pour les distributions rolling release, aussi bien pour ArchLinux adorée que pour ma chouchoute, la Frugalware Linux.

CTK Arch : une « méta-distribution » basée sur Archlinux.

Etant dans une période : « J’ai envie d’essayer toutes les distributions qui proposent Openbox », je me suis dit que j’allais voir ce que donnait CTK Arch.

Dixit son site officiel, c’est, je cite :

CTKArch est une préconfiguration minimaliste d’Arch Linux (pas une distribution), qui inclut une sélection minutieuse d’applications et vise le support matériel le plus complet possible, en utilisant exclusivement des logiciels libres.
[…]
Une fois installé, il devient une installation Arch Linux classique, avec applications de navigation web, e-mail, chat, FTP, gestion de fichiers & archivage, bureautique, visualisation & édition d’image, vidéo et son, et gravure : comme si vous aviez passé votre journée à les choisir.

Miam. Assez intéressant. Et comme ArchLinux est en évolution constante, on peut prendre une image ISO un peu vieille, la version 0.7 datant d’avril 2011. Bon, je sens que la mise à jour va pas être triste 😀

J’ai donc en bon tipiak, selon les critères de l’industrie des moines copistes de galettes plastifiés, récupéré l’ISO via bittorrent. (Oui, je sais, j’ai copié-collé cette phrase, sur l’article concernant la CrunchBang Linux, mais je l’aime bien cette petite phrase).

Et comme d’habitude, l’environnement qemu-kvm que j’aime a été construit.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk-ctk.img 32G
Formatting ‘disk-ctk.img’, fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm -hda disk-ctk.img -cdrom ctkarchlive-0.7-x64.iso -boot order=cd &

Au démarrage, on peut choisir soit l’anglais, soit le français. Et après un chargement rapide, on a un très beau fond d’écran avec une barre en bas de l’écran rétractile. On sent que l’ensemble est vraiment léger.

L’installateur se lance simplement, et comme il est en français, c’est encore plus simple à utiliser.

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ArchBang : un clin d’oeil – décevant – à la CrunchBang Linux.

J’ai parlé dans un billet précédent de la CrunchBang Linux. J’ai eu envie par la suite de voir son pendant en version ArchLinux, j’ai nommé ArchBang.

J’ai donc récupéré l’image ISO de la version 2011.11, que j’ai utilisé dans un environnement qemu-kvm classique.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk-ab.img 32GFormatting 'disk-ab.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm -hda disk-ab.img -cdrom archbang-2011.11-x86_64.iso -boot order=cd &

L’écran de démarrage est très beau, ce qui ne gâche pas le plaisir.

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CrunchBang Linux : quand le duo Debian GNU/Linux et OpenBox est crousti-explosif ;)

J’ai entendu dire pas mal de bien de la CrunchBang de la part de la personne qui s’occupe du site de la communauté francophone de la distribution, j’ai nommé DarthWound. Crunchbang, dans sa version courante, c’est une base de Debian GNU/Linux Squeeze (la version stable au moment où je rédige cet article) avec Openbox.

J’ai donc en bon tipiak, selon les critères de l’industrie des moines copistes de galettes plastifiés, récupéré l’ISO via bittorrent.

Et j’ai créé un environnement de test avec Qemu-kvm.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk-cb.img 32G
Formatting 'disk-cb.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm -hda disk-cb.img -cdrom crunchbang-10-20111125-amd64.iso -boot order=cd &

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KahelOS 111111 : le retour, pas vraiment gagnant.

J’ai pu voir sur Distrowatch que la distribution KahelOS, basée sur Archlinux était de retour.

J’ai donc récupéré l’ISO qui est un liveCD à l’image de ce que propose Chakra Linux. Cependant, pour cette version, pas d’ISO en 64 bits. L’image est assez lourde, elle pèse 2,6 Go.

J’ai donc créé mon environnement de virtualisation habituelle, et j’ai lancé l’ensemble.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm -hda disk.img -cdrom KahelOS-LiveCDdesktop-111111-i686.iso -boot order=cd &

Gnome-Shell ne démarre pas, ce qui est logique. J’ai voulu voir le support des autres langues que l’anglais, c’est pas vraiment fameux. Malgré tout, je lance l’installateur, proposé par l’écran de démarrage.

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