« Another Clumsy Mile » des Dia del Mercado : un EP pour patienter jusqu’au prochain LP ?

Dia del Mercado, c’est un groupe d’origine néerlandaise fondé par Ruud Slingerland. J’avais rapidement parlé de leur premier album, « Seven Years of Dirt » en juin 2012.

Le groupe, très inspiré par la musique psychédélique de la fin des années 1960, l’est aussi par les influences western et country. Oui, cela est un mélange un peu étrange, mais loin d’être indigeste !

Au mois de juillet 2017, le groupe a sorti un EP, intitulé « Another Clumsy Mile ». J’ai été contacté par Ruud Slingerland qui m’a informé de la sortie.

Il m’avait proposé de m’envoyer gratuitement un exemplaire. Après avoir écouté l’EP sur la page bandcamp, j’ai accepté de recevoir l’exemplaire en question. Au moins, on ne pourra pas dire que vous n’étiez pas au courant.

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En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Côté logiciel libre, informatique et internet ?

Côté culture ?

Bon week-end !

Coups de coeur musicaux, mon « top » de l’années 2012, première partie.

Cette année, j’ai eu pas mal de coup de coeurs musicaux, et j’ai voulu prendre le top du top. Voici donc un rapide article qui vous fera découvrir certains groupes et artistes.

L’article sera en deux parties : De janvier à juin et de juillet à novembre.

Hudson : un groupe qui propose du folk-rock assez efficace, en partant d’un concept simple : on s’enferme durant une semaine pour composer, interpréter et enregistrer l’album.

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Dia del Mercado : « Seven years of dirt », un mélange détonnant.

Dia del Mercado vient de proposer son premier album, « Seven Years of Dirt ». Ce groupe néerlandais comme son nom l’indique nous propose un mélange intéressant et détonnant, dont voici la recette : prenez un peu de Pink Floyd, un peu d’Ennio Morricone, un peu de folk, un peu de country, mettez le tout dans un shaker et secouez bien.

Cet album de 12 pistes, mi instrumental, mi chanté, est un vrai plaisir. Le morceau d’introduction, qui s’appelle « Opening Scene » est un air que les Pink Floyd de l’époque Syd Barret n’aurait pas renié. Et j’avoue que l’oreille ne sait plus où se diriger tout au long de l’album.

Il n’y a pas grand chose à mettre de coté dans l’album. Le plus simple, c’est d’écouter et de vous faire votre propre opinion.

En tout cas, c’est un groupe que je suivrais de prêt pour les prochaines créations.