En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier mercredi de juin 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • OpenSuSE propose aux personnes utilisant CentOS 7 (qui arrive en fin de vie le 30 juin 2024) un support complémentaire… Qui ne commence qu’à 194€… Autant dire que des options moins chères comme AlmaLinux ou encore Rocky Linux vont récupérer pas mal de personnes.
  • Dans le petit monde des distributions basées sur Archlinux, je demande la SDesk 2024.06.02 dont une des nouveautés principales est l’arrivée du noyau Linux Zen en lieu et place du noyau classique. Plus d’informations sur les notes de publication.
  • Dans la série des ports incroyables, je demande celui de « Tenebra » et de « Tenebra 2 » pour la console Atari Jaguar. Si, c’est possible 🙂

Côté culture ?

Une découverte sympa de la part de Stéphane d’Erdorin.org. Un groupe qui mélange rock progressif et psychédélique, Sykofant dont le premier album éponyme vient de sortir.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Je prends du galon en « geekitude ». J’ai enfin vu « THX 1138 » de George Lucas

S’il y a un film que tout geek se doit de voir un jour où l’autre, c’est bien « THX 1138 », un des premiers films de George Lucas sorti en 1971.

Le postulat de départ est simple : THX 1138 vit dans un monde de blancheur opprimante (je parle de la couleur des décors, pas celle de la peau) avec sa compagne LUH 3417. Un monde où le contrôle de la population par une religion étrange et par la consommation de drogues qui s’occupe des émotions.

De nombreuses scènes se déroulent dans un décor effroyablement blanc, comme le moment où THX 1138 est « stocké » pour expier ses crimes.

Cela n’empêche pas l’existence de décors plus sombres.  THX 1138 lutte pour sa liberté, quitte à franchir tous les interdits et tente de s’enfuir en compagnie d’un compagnon de cellule et d’un autre personnage.

Je ne connaissais le film que par un sample utilisé par Trent Reznor pour l’intro de son titre « Mr Self Destruct » tiré du mythique « The Downward Spiral ».

Oui, ce film est déroutant. Et il est parfois d’actualité, surtout quand on voit la manipulation mentale de la religion de ce monde qui n’a rien à envier à Big Brother dans « 1984 ».

C’est un film à voir, mais préparez-vous à le trouver bizarre. Il l’est, et c’est ce qui fait tout son charme.

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Aquilus a sorti récemment un nouvel album, « Bellum II ». C’est à destination des personnes aimant le black metal atmosphérique. Je dois dire que j’ai donné et que je n’accroche plus à ce genre de black metal.

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième mercredi de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Prenez une dose de black metal, une de death metal, un peu de musique traditionnelle et des chants en gascon. Secouez-le tout et vous aurez le premier album de Moisson Livide, « Sent Emp​è​ri Gascon ».

Sur ce, bonne fin de semaine !

« .​.​.​And We Will Move The Stars », un gros retour de la part de Cyclocosmia.

C’est en septembre 2016 que je parlais pour la première fois de Cyclocosmia.

Près de 8 ans sont passés, et entre temps a été publié un EP intermédiaire, « Immured ». Pour compenser l’attente depuis l’EP, un album massif de 84 minutes est proposé à l’écoute et à l’achat. Oui, j’ai bien dit 82 minutes pour 16 pistes. Ce qui fait une moyenne de 5 minutes par piste. L’album s’intitule « .​.​.​And We Will Move The Stars ».

Dès le premier titre, on retrouve le métal symphonique du premier album, ou encore avec les pistes « Bread And Circuses », « Nero », « Redde Legiones », « Home », « Ophidia ».

Mais on trouve aussi des influences de doom metal, avec les pistes « Idriss », « Harihara », « Dikalosyne »,

Il y a des influences metal progressif dans des pistes comme « Lockstep », « Madimi » et « Temple Of The Spider Prince ». Sans oublier des influences au metal industriel avec des pistes comme « Restrained », « Entropy ».

La dernière piste est une longue ballade acoustique qui tranche avec les guitares lourdes du reste de l’album.

C’est un album complet, complexe, du moins à la première écoute. Une chose est sûre, on n’est pas noyé par la lassitude, vu les changements de style, sans oublier une liste de personnes invitées sur les différentes pistes qui est assez longue, dixit la page bandcamp de l’album.