« In my head », le nouvel album de KesakoO.

En attendant un article qui sera publié après celui-ci et qui sera aussi musical, commençons avec KesakoO. J’en ai déjà parlé lors de ses précédentes créations, en octobre 2017 avec l’EP « Noctis » (dans un article consacré à ma découverte du trip-hop) ou bien avant avec « Merysland ». Quand j’écris cet article, en novembre 2018, Kesakoo continue le financement participatif d’une version physique de l’album dont je vais vous parler dans cet article.

Donc, en ce mois de novembre 2018, KesakoO remet une couche avec son nouvel album, « In my head », au prix modique de 5€ au format numérique sur Bandcamp.

L’album est assez court, un peu plus de 27 minutes pour 7 pistes. Ce qui fait qu’on change régulièrement d’ambiance. On commence avec la piste éponyme.

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« Repeat Please! » de Healing Unit : entre jazz classique et improvisation pure, quel bonheur !

Le Fondeur de Son est un label de jazz que j’apprécie énormément et dont j’ai déjà eu plusieurs fois l’occasion de parler, étant donné qu’ils m’ont gracieusement fait parvenir plusieurs albums : avec « Serious Stuff & Lots of Lightness » (en avril 2017), « Imaginary Africa Trio » (en septembre 2017) et « MAr0kAït » (en novembre 2017).

C’est via leur liste de publication que j’ai appris l’existence du troisième album de Healing Unit, projet créé par le pianiste et percussionniste Paul Wacrenier, en collaboration avec le trompettiste Xavier Bornes, le saxophoniste Arnaud Sacase, le bassiste Marco Quaresimin et le batteur Benoist Raffin. Il propose un jazz assez traditionnel, mais qui n’hésite pas à aller défricher les terres du jazz expérimental.

C’est le cas avec cet album qui le rend très agréable à l’écoute.

On commence avec une piste d’introduction qui semble partir dans tous les sens, mais très vite, on revient aux canons du jazz tout ce qu’il y a de plus classique.

C’est ce qui m’a plu dans cet album : toujours à flirter entre des pistes d’un classicisme presque caricatural et d’autres qui sont largement plus libres.

La piste éponyme de l’album est dans ce cas, très classique. Elle s’enchaîne sans interruption avec « Blues for AEC » qui nous plonge dans une ambiance digne des années 1920. Le petit grain de folie est présent avec le saxophone qui part parfois un peu dans les aigüs.

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En vrac’ de milieu de semaine…

Pour varier un peu les plaisirs, un en vrac’ de milieu de semaine.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Une bonne nouvelle pour les fans de distributions en rolling release : la Void Linux propose enfin de nouvelles images ISO d’installation… Il faut dire que les précédentes avaient quelque chose comme un an d’ancienneté. Plus d’infos sur les notes de publication.
  • Pour les fans de projets alliant le fou à l’inutile, je demande la ReactOS 0.4.10, vous savez la réécriture de MS-Windows en logiciel libre et open-source. Outre le fait que l’OS soit reconnu comme NT 5.2 (alias Windows 2003 Server), il rajoute un système de fichiers indispensable : Btrfs !
  • La DGLFI de la semaine, qui sera sûrement abordée par Adrien Linuxtricks sur sa chaine youtube, la Bentoo. Prenez une Funtoo, rajoutez dessus des paquets précompilés, et voila !

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

A Whale’s Lantern, un groupe fondé via le réseau Mastodon

Mastodon, c’est l’équivalent ouvert et réussi de Twitter. Alors que le réseau a fêté ses deux ans le 14 octobre 2018, c’est pour moi l’occasion de parler d’un groupe musical né via Mastodon, A Whale’s Lantern, dont les créations sont téléchargeables à prix libre sur Bandcamp.

C’est un groupe de musiciens, qui à l’image de Tryad créé en 2005 collaborant via internet, a pris mastodon comme support de mise en contact.

Le groupe a sorti trois albums depuis décembre 2017. Le noyau dur est constitué principalement par Kevin Hogson, Mascha et Michael Silverstone. D’autres artistes se sont joints ponctuellement ou sur la durée pour les albums suivants.

Après « Flight into The Nebula » en décembre 2017 et « Everything Is Made of Smaller Parts » en avril 2018 (qui est aussi l’album le plus long), en octobre 2018 est sorti « Field Trip« .

Quant au genre musical ? Comme le précise si bien le groupe, c’est un mélange de folk plus ou moins expérimentale, avec quelques tendances électroniques spécialement sur le dernier opus. Mais je vous laisse découvrir tout cela. Au moins, cela prouve une chose : si des personnes considèrent Mastodon comme complètement inutiles, elles se sont trompées !

Bonne écoute !

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… I

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Il va être copieux, on sent que la rentrée est passée 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Vieux motard que j’aimais… La « Elive » 3.0 est disponible : elle est basée sur Debian GNU/Linux Wheezy (la 7.x abandonnée) et Enlightenment 17… Pour la curiosité essentiellement… On est en face d’un produit qui sort avec 3 ans de retard au bas mot.
  • La DGLFI de la semaine ? Une distribution orientée jeux sous Linux… Son nom ? La « Drauger OS ». Encore une Xubuntu revampée si on en croit le pdf fourni comme fichier « readme »… Cool, non ? 🙂

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

« The 13th Hour » des Onirik Illusion : vive le chiffre 13 :)

Il y a des albums qui vous laissent une marque dans le cerveau dès la première écoute. Le premier album des Onirik Illusion en fait partie.

Quand je vous dirai que c’est un mélange metal gothique et symphonique, de chant guttural masculin, de chant clair et guttural féminin, c’est certain que la réponse est : « encore une fois ? »

C’est vrai que dans le domaine du metal, tout a été fait ou presque. Mais il y a des albums qui reprenant des recettes sur-employées sortent du lot.

C’est le cas ici. L’album est sorti en mai 2017 et j’ai du l’écouter la première fois aux alentours de juin-juillet 2018. La première écoute m’avait fait dire : « Tiens, c’est pas mal ». J’avais mis une option sur l’album. Je l’ai réécouté entre temps et j’ai finalement décidé de l’acheter au format physique en ce début septembre 2018.

Nous voila donc face à un album qui fait une petite heure avec 13 pistes. Tout tourne dans l’album autour de ce chiffre à la triste réputation. Après une courte introduction qui rappelle le début de « Black Sabbath » avec son carillon, on est plongé dans le vif du sujet.

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En vrac’ de fin de semaine…

Ou de début de mois, c’est vous qui voyez. Un petit billet pour alimenter le blog qui va fêter – ou aura fêté – ses 13 ans d’ici une vingtaine de jours.

Côté informatique et internet.

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui. Et n’oubliez pas : « Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. » (Euclide).

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Il n’y aura pas grand chose, mois d’août oblige…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂