« Little Brats » / « Sales gosses », le jeu où c’est tellement bon d’être méchant.

Dans 99% des jeux vidéos, vous êtes un héros gentil qui doit accomplir une quête où vous combattez des méchants par douzaines.

Gee a développé puis rendu disponible sur sa page itch.io le jeu « Little Brats » ou « Sales gosses » en français.

Le but est simple : avoir le maximum de plaisir dans la cour de récréation en faisant les pires crasses ou encore en jouant avec les instruments de la cour. J’avoue que j’adore mettre des baffes, mais le tout est de ne pas se faire prendre en flagrant délit par la maitresse. Mais trève de mots, voici une vidéo qui présente le jeu en solo.

C’est un jeu assez rapide, qui demande des réflexes et qui doit être marrant à plusieurs. Vous avez pu voir que j’ai choppé une finition à laquelle je ne m’attendais pas. C’est le genre de jeu qu’on se fait sur le pouce, pour se détendre le cerveau pendant une pause bienvenue.

Roguebot pour le Commodore 64, un drôle de de jeu à la rogue.

J’ai déjà dit plus d’une fois que j’aimais les jeux à la rogue. Dans l’épisode 296 de la série vieux geek, je parlais de la première version commerciale de Rogue. J’ai aussi parlé de l’excellent Rogue64 pour Commodore 64 début 2022.

Mais j’ai découvert récemment l’existence d’une variante finalement pas trop mal, RogueBot. Au lieu que le hasard intervienne, vous ne pouvez agir qu’en vous basant sur des cartes d’actions : tourner à 90° à gauche ou à droite, avancer, attaquer. Ce sont les cartes de base auxquelles s’ajoute en fonction de la progression des cartes de potions (pour redonner de l’énergie au robot que vous dirigez)), d’augmenter le bouclier ou la quantité de vie disponible, et bien d’autre chose encore.

Comme tout bon rogue, les niveaux sont générés à la volée, sauf le premier qui reste le même. Et comme tout bon rogue, une partie peut durer 2 minutes ou 2 heures, tout dépendant des cartes que vous tirez. J’ai fait une vidéo qui contient deux parties. La première s’arrête au bout d’une minute environ, tandis que l’autre dure un peu plus.

Oui, je n’ai pas pensé à utiliser la potion pour recharger le robot, mais je ne voulais surtout pas que la partie s’éternise. J’ai vaincu le premier niveau, c’est le principal… Surtout qu’il y a quelque chose comme une quarentaine de niveaux à visiter pour finir le jeu… Bonne chance et bon courage 🙂

Vieux geek, épisode 358 : Ah, les pilotes Via 4in1…

… Ou comment flinguer une installation de MS-Windows 98. On va parler rapidement d’une série de pilotes pour des cartes mères équipées de circuits Via. Les pilotes 4in1 – je ne sais plus à quoi correspondait lesdits 4 pilotes – mais c’était prévu pour améliorer le support du matériel.

En effet, MS-Windows 98, même s’il était blindé de pilotes – dont certains remontaient à l’époque de MS-Windows 95 – il n’était pas omnipotent et nécessitait de rajouter des pilotes. Autant cela était à peu près indolore pour les pilotes audio et vidéo, autant quand on touchait à des couches matérielles plus basses, ça partait rapidement en gonade mal épilée.

Je ne compte plus le nombre d’installations de MS-Windows 98 qui ont explosé en vol à cause des dits pilotes. Déjà que la branche 9x de MS-Windows n’était pas des plus stables, autant là on atteignait des records côté instabilité et écrans bleus de la mort.

Je rageais à chaque fois. Quant à migrer vers Linux à l’époque, c’était très peu probable. L’une des distributions les plus avancée, c’était la série 5.x de Mandrake Linux… Autant dire qu’on était loin du confort actuel des distributions plus modernes.

De nos jours, les principales mises à jour, c’est assez souvent l’UEFI. Je ne me souviens pas d’avoir vu des paquets de pilotes pour les cartes mères, mais il est vrai que mon utilisation de MS-Windows actuellement, c’est ponctuellement dans une installation Tiny11 dans une machine virtuelle…

Et vous, vous vous souvenez de cette époque où les Pentium II et III, les K6-2 et K6-3 étaient des processeurs habituels ? Si oui, désolé (ou pas), pour le coup de vieux !)

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi d’octobre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Les projets d’images ISO d’installation pour Archlinux sont nombreux. Grace à Orion, j’ai appris l’existence du projet ALG (anciennement Arch Linux Gui), qui installe un Gnome ou un Plasma ou un Xfce, que ce soit « pur » ou personnalisé. Intéressant ! Seul hic, Wayland est désactivé par défaut. Peut-être à cause des cartes Nvidia ?
  • La DGLFI de la semaine. La Loc-OS. Une base Debian avec sysVinit (comme Devuan donc), avec au choix LXDE, Xfce ou Plasma. Le tout pour les personnes hispanophone. Autant prendre directement une Devuan avec Xfce, c’est plus « viable ».
  • En ce mois d’octobre 2024, l’Amstrad CPC 464 (le premier à cassette) vient de fêter ses 40 ans. Un jeu d’arcade dénommé Roland In Retroalacant (en honneur de Roland Perry qui a travaillé sur la création de l’ordinateur) a été rendu disponible.
  • Le jeu « Little Brats » de Gee (Sales gosses en VF) où on doit être le pire garnement de la cour de récréation – sans être attrapé par la maîtresse – vient de sortir. Pour une fois qu’on doit être méchant, autant en profiter 😉
  • L’information a fait du bruit récemment. Valve propose de donner un coup de main à Archlinux sur le plan technique. Après tout, la Steam Deck, c’est une base Archlinux avec Plasma, non ? 🙂

Côté culture ?

Un projet musical découvert via Mastodon, si mes souvenirs sont bons, « Pathology » de Lespreuh. Dixit les étiquettes employées, c’est un mélange de métal (très léger), d’ambiant, de guitare et de symphonique.

Pour finir, une vidéo de post-installation d’une ALG avec Gnome. Un peu longue mais complète et puissante 🙂

Sur ce, bonne fin de semaine !

Trois ans et demi de clavier mécanique… Quel bilan ?

Il y a trois ans et demi, en mars 2021, je cédais à la tentation et je m’achetais mon premier clavier mécanique, un G-Lab Rubinium. Certifié un million de frappes.

Que dire au bout de 3 ans et demi ? Que je suis toujours autant satisfait de son utilisation. Aucune douleur au niveau des poignets, un confort de frappe toujours aussi présent. Bref, en un mot comme en cent, je ne regrette pas les 89€ dépensés à l’époque pour l’achat.

Je m’y suis tellement habitué que revenir sur des claviers à membranes ou aux touches plates sont pour moi une sorte de mini torture.

Certains me diront que je pourrais utiliser un clavier à l’agencement ergonomique, comme le bépo par exemple. Mais je suis trop habitué à l’agencement Azerty pour en changer. Quand on l’utilise depuis 1988-1989, difficile de changer.

Sinon entre temps, j’ai eu l’opportunité de régler les couleurs de mon clavier avec OpenRGB si mes souvenirs sont bons. Voila à quoi il ressemble désormais (oui, je sais, la photo est un peu floue, désolé !) :

Oui, les touches « gamers » en rouge, ainsi que les touches fléchées, le pavé numérique en bleu et le reste en blanc. Ça a de la gueule, non ? 🙂

Et oui, c’est une souris g-lab qu’on peut voir sur le côté 🙂