En vrac’ mercurien.

Un rapide en vrac’ mixte de milieu de semaine.

Commençons par le logiciel libre :

Côté musique et livre ?

Voila, c’est tout pour aujourd’hui et bonne journée.

Les versions communautaires officiellement reconnues sont-elles l’expression d’une « promotion canapé » version logiciel libre ?

En avril 2016, je poussais déjà une gueulante contre les images ISO communautaires de Manjaro Linux. Je terminais l’article avec la conclusion suivante :

Maintenant, je vous donne un conseil, que vous êtes libre de suivre, mais fuyez comme la peste les images ISO communautaires.

J’ai récemment – du moins au moment où je rédige ce billet – fait un bilan des versions communautaires reconnues comme en bon état et bien entretenu, dixit la page dédiée sur le site de la Manjaro Linux.

On y lit : « currently well tended and in very good shape: » qu’on peut traduire par : « Actuellement bien entretenues et en très bonne forme: »

Autant dire que l’on est tombé dans le mensonge marketing le plus total. On y trouve la Manjaro Gnome qui est une sombre daube, au point d’avoir dû lui dédier un épisode de ma série DGLFI (Distributions GNU/Linux Franchement Inutiles).

Bien entretenues ? C’est vite dit. Au mieux, on a droit à une image ISO sortie le 9 décembre 2016 (pour la Deepin), au pire pour la pire (pour la LXQt) le 4 novembre 2016 ! Donc aucune mise à jour depuis 2 mois pour la plus récente au moment où j’écris cet article.

J’ai donc réalisé une vidéo qui fait le bilan des images ISO restantes. Le constat est très clair : la moitié est bonne pour la poubelle, une dont le pseudonyme du mainteneur rime avec auto-destruction ne pouvant plus être mise à jour sans des contorsions techniques.

Si vous voulez l’image ISO ayant un tendance à l’auto-destruction, avancez jusqu’à la 65ième minute de la vidéo 🙂

Si vous voulez la conclusion, avancez directement à la 91ième minute de la vidéo. De voir que de telles productions sont promues… Ouille !

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac’ 🙂

Assez court, car j’ai pas grand chose à me mettre sous la souris en ce moment. J’ai quelques billets et autres joyeusetés un brin chronophage sur « le feu » 🙁

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ? Peu de choses mais de la qualité… Ou pas 😉

Bonne fin de semaine !

Guide d’installation d’Archlinux, version de février 2017.

Voici la quarantième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de janvier 2017.

Pour les captures d’écran, je suis parti d’une image ISO intermédiaire créée avec l’outil Archiso, au moment où j’envoie l’article en ligne, le 1er février vers 10 h 30 du matin, l’ISO de février 2017 n’est pas encore disponible.

Au menu : quelques éclaircissements et quelques nettoyages au niveau du guide. Rien de bien révolutionnaire cependant !

Côté environnements : Gnome 3.22.2, Plasma 5.8.5, Xfce 4.12.0, Cinnamon 3.2.8 et Mate-Desktop 1.16.1 en gtk3, et Budgie-Desktop 10.2.9.

Saluons aussi l’arrivée du noyau Linux 4.9.6 après une longue lutte, cf le bug 192111 par exemple 🙂

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

Note : une légère coquille m’a été signalée. Il faut lire aux alentours de la page 16 « pacman -S ttf-{bitstream-vera,liberation,freefont,ttf-dejavu} » au lieu de « pacman -S ttf-{bitstream-vera,iberation,freefont,ttf-dejavu} »

Si vous avez récupéré le guide avant 17h15 le 1er février, la coquille est malheureusement présente, mais corrigée depuis. Désolé !

Vieux geek, épisode 73 : ah, les ports de jeux ZX Spectrum vers l’Amstrad CPC.

Ces deux ordinosaures qui ont marqués les années 1980 ont plusieurs points communs. Lesquels ?

  1. Les deux sont originaires du Royaume-Uni.
  2. Les deux sont basés sur des Zilog Z80 et le circuit sonore AY-3-8912 pour la version dite 128 du ZX Spectrum.
  3. Les deux sont nés entre 1982 et 1984.

Le ZX Spectrum est sorti en premier, et outre le fait qu’il proposait un minimum de 16 Ko de mémoire vive, il avait un clavier assez spécifique pour ne pas dire casse bonbon, outre le fait qu’il soit peu ergonomique : certaines touches proposaient des options avancées pour entrer directement certains mots clés du BASIC fourni avec l’ordinateur.

Le CPC d’Amstrad est sorti deux ans plus tard. Deux années à l’époque fait que l’Amstrad était plus fin en terme graphique et sonore. Cependant, la proximité technique au niveau du processeur a fait que nombre d’équipes de développement pour gagner du temps reprenait les versions pour ZX Spectrum de leurs jeux pour les porter sur Amstrad CPC.

Sur le site bible consacré à l’Amstrad CPC, CPC-Power, si on recherche le mot clé « speccy port » (port depuis le spectrum), on tombe sur près d’une centaine de réponses…

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