En vrac’ rapide et libre…

En ce mardi, un petit en vrac’ rapide et libre.

Et même si c’est pas libre pour finir cet article, une reprise assez contextuelle d’un des premier grand succès de David Bowie sorti en novembre 1969 : « Space Oddity ». Oui, mais tourné depuis la Station Spatiale Internationale.

Bon mardi 🙂

Collectionneur en action : les coffrets de CDs les plus atypiques.

J’ai voulu parler de mes coffrets collectors, ceux qui ne sont pas des digipacks ou des boitiers cristaux classiques. Encore plus rare que les coffrets digipack qui ressemblent à des livres avec une notice à l’intérieur.

Et comme une vidéo parle plus que mille mots, j’ai essayé de faire quelque chose de potable avec ma webcam pourrie et avec les travaux du mouroir pour vivants spécialisé alzheimer qui ont pris trois bons mois de retard.

Les artistes et groupes en question :

Bonne écoute 😀

Je suis un collectionneur…et j’aime çà ! Hungry Lucy – Second Sight DVD, que du bonheur !

J’ai l’habitude de faire le tour de manière régulière des artistes que j’ai découvert sur Bandcamp, dont certains grace à mes contacts sur Google+, comme le rédacteur de Chatinux.

Etant allé récemment sur la page du duo Hungry Lucy, je suis tombé sur une « nouveauté du groupe, un DVD musical de 2006, « Second Sight », contenant deux documentaires, un sur le groupe en 2006, l’autre sur l’enregistrement du titre « Grave », qui se trouve sur le premier album « Apparitions ».

Sans oublier les clips des titres : Fearful (de l’Album « Glo »), You are (de l’album « To Kill A King », Grave (de l’album « Apparitions »), Harvest et Losing Faith (de l’album « Before We Stand… We Crawl »).

Le DVD libre de tout zonage, même si le lecteur de ma freebox Revolution a du problème à lancer la lecture. Il faut dire que pour les DVD, le lecteur est parfois capricieux 🙁

C’est du pur bonheur, la qualité est au rendez-vous !

Si vous êtes intéressé, il ne reste que 4 exemplaires du DVD en question…

Un aperçu de ma collection musicale.

Au fil de la vie du blog, j’ai détaillé les nombreux coups de coeur que j’ai eu depuis des années, ce qui m’a fait construire une musicothèque conséquente. La capture d’écran au 25 novembre 2012 vous donne une idée de ma collection actuelle. Et encore, il y a quatre albums en version physique qui manquent à l’appel 😉

Collection musicale 25 novembre 2012

Une vidéo étant plus parlante… Désolé pour la qualité, j’ai utilisé ce que j’ai sous la main pour la faire, à savoir mon appareil photo numérique 😉

Et oui, vivre dans 32 m2 et être un fou de musique, c’est pas évident à concilier…

Les films et les séries cultes se doivent-elles d’avoir des fins bizarres ?

Hier soir, j’ai fini de visionner l’un des chef d’oeuvre de l’année 1941, un certain « Citizen Kane » d’Orson Wells. J’avoue que j’avais entendu parler de ce film, et du mot qui lui est invariablement associé, « Rosebud ». Il faut attendre près de deux heures, avec des procédés révolutionnaiers de tournage à l’époque, pour comprendre ce que « Rosebud » signifiait dans la bouche de Charles Foster Kane.

J’avoue que j’ai été étonné, mais cela m’a fait penser à certaines fins de séries ou de films qui sont tout autant bizarre.

Mais pour les fins bizarrse, je demande des films plus récent, comme par exemple le déjanté film de Greg Arraki, « The Doomed Generation » (1994) qui n’est pas conseillé pour les cardiaques.

Ou encore l’énigmatique « Donnie Darko » (2001) qui je l’avoue m’a scotché jusqu’à la fin.

Coté série culte, la première qui a une fin bizarre, c’est « Le Prisonnier ». Celui d’origine de 1967, pas celle des années 2000 qui est sans grand intérêt.

L’ultime épisode, j’aurais plutôt tendance à dire le duo des deux derniers épisodes qui clôt la série, à savoir « Once upon a Time / Fall out » en français « Il était une fois / Le dénouement » est un duo sur lequel on pourrait écrire des botins entiers.

Pourquoi le numéro 1 est ainsi représenté ? Pourquoi l’assemblée des personnes masquées ? Pourquoi la fusée ? Pourquoi tant d’autres choses ?

Si vous avez d’autres fins de films ou de série bizarre, n’hésitez pas à le dire, je suis preneur 🙂

Ah, la dictature des apparences…

Le révolutionnaire iPhone 5 est arrivé hier, le 12 septembre. Certains humoristes nord-américian, un brin satyrique, ont voulu voir à quel point le lavage de cerveau marketing pouvait fonctionner.

Ils ont donc simplement présenter un iPhone 4s (le dernier disponible actuellement) le présentant comme un iPhone 5. Le hic ? Le prochain modèle n’étant en vente qu’à partir du 20 septembre environ.

Merci à Numérama pour l’article d’origine.

Cependant, ça m’a fait me souvenir d’une vidéo posté début 2009, où deux journalistes de la branche australienne de ZDNet avait montré un KDE SC 4.2 et l’avait présenté comme la béta de ce qui allait être vendu comme MS-Windows 7

Et tout le monde était tombé dans le panneau…

2009 ? 2012 ? Les gens tombent très souvent dans le panneau. Faut-il en rire ? Ou en pleurer ?

A vous de juger sur pièce.

42 ans déjà : l’accident d’Apollo 13.

13 avril 1970 : Jack Swiggert prononce une phrase restée dans les mémoires : « Houston, we’ve had a problem », « Houston, nous avons eu un problème ».

Un réservoir d’oxygène avait explosé.

La NASA a mis en ligne une vidéo d’environ 28 minutes avec des archives d’époque. Un bijou pour les passionnés d’astronautique.

Ca change un peu du battage médiatique autour du centenaire du naufrage du Titanic, non ?

Une petite douceur pour finir la semaine.

Cet après-midi, profitant du beau temps, j’ai été me promener près de chez moi, j’ai pris quelques photos. Puis, en utilisant l’excellent outil PhotoFilmStrip, j’ai fait un diaporama.

La musique de fond est tiré de l’album « Somnebuleux » du groupe de rock progressif « In-Limbo« .

Après Pioneer One, L5.

Après que Pioneer One ait fini par boucler sa première saison au bout d’un an et demi de récolte de fonds et de travail, montrant qu’il était possible de produire une mini-saison en se basant sur un financement communautaire, un autre série de science-fiction, L5 vient de proposer son épisode pilote. Et le morceau de choix est le budget : seulement 15000$ pour l’épisode pilote et un an de travail.

Our goal with L5 was to create a compelling, high-production-value science fiction on a small budget. After endless hours in post production were volunteered by a talented team of visual effects artists all over the world, and with the spit and vinegar of home grown construction methods for building props, sets and costumes, as well as the unrelenting support of our families and the local art and business community in the Chicago area, the result was accomplished inside a budget of $15,000.

Ce qui donne traduit :

Notre objectif avec L5 était de créer une série de science fiction de qualité avec un petit budget. Après d’innombrables heures dédiées à la post-production effectuée par une équipe d’artistes talentueux dans les effets visuels situés partout sur la planète, et en faisant les bâtiments, équipements et costumes à la main, ainsi qu’avec le support continu de nos familles et des entreprises locales artisanales et commerciales de la région de Chicago, le résultat a été accompli avec un budget de 15.000 $.

Le scénario est classique d’apparence : suite à la destruction croissante des capacités de la planète, une équipe d’explorateurs sont envoyés vers un monde, en vain, pour un voyage dont l’aller simple dure 20 ans. Mais, malheureusement, le retour sera plus long que prévu, et durera 200 ans. Et quand ils reviennent vers la Terre, une mauvaise surprise les attend. Une colonie spatiale massive, baptisée L5 flotte près de la Terre, et deux membres d’équipages sont envoyés y jeter un oeil.

Les effets spéciaux ne sont pas aussi réussi que ceux des séries à gros budgets, mais cependant, la série vaut le coup d’oeil. Maintenant, un appel aux dons a été fait pour que le deuxième épisode soit tourné et monté. J’ai donné 10$, c’est pas grand chose, mais au moins j’apporte mon humble pierre à l’édifice du financement de projets alternatif à ceux de l’industrie de l’inculture.

Spécial dédicace aux personnes qui…

…ont leur claque des chansons douces pour Noël et qui ont passé un Noël à …

Tiré de la bande originale du film « Natural Born Killers » (« Tueurs nés » en français) où Nine Inch Nails a deux autres titres, « Something I Can Never Have » (tiré de l’album Halo 2, « Pretty Hate Machine ») et « A Warm Place » (un instrumental tiré de l’album Halo 8, « The Downward Spiral »)

Bon Noël 😀