En vrac’ de fin de semaine.

Un petit en vrac’ en ce dernier samedi du mois d’août 2025.

  • La distribution basée sur Debian de la semaine. Une base Debian unstable avec un noyau linux 6.15 avec les correctifs Xanmod, avec dwm comme gestionnaire de fenêtres. C’est la Catbird Linux.
  • Toujours dans le monde de Debian, je demande la Besgnulinux 3.0, une base Debian 13 avec le gestionnaire de fenêtres jwm. Étrangement, l’image ISO de la distribution dépasse les 3 Go. Bizarre.
  • La distribution basée sur Archlinux de la semaine. La InstantOS avec son gestionnaire de fenêtres maison qui propose aussi ses logiciels pour NixOS. Parce que pourquoi pas ?

Côté culture ?

Comme on le dit parfois, mieux vaut tard que jamais. J’ai appris récemment que le groupe bulgare Metalwings dont j’avais parlé en janvier 2019 a sorti un deuxième album en 2021, « A Whole New Land ».

Allez, bon week-end !

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi d’août 2025.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans le petit monde agité des distributions basées sur Archlinux, je demande la SDesk 20mini.
  • Dans la série « Debian 13 est sortie, donc je mets à jour ma distribution », je demande la grml 2025.08, orientée administrateurs systèmes et utilisateurs de la ligne de commande.
  • Ou encore la Sparky Linux 8.0. Il n’y a que l’embarras du choix 🙂
  • Nouveau concept : à la fois annoncer une nouvelle version de sa distribution et même temps annoncer la fin du projet. C’est le cas avec la Kaisen Linux 3.0. Bizarre comme concept !
  • Le fork de Xorg, Xlibre semble avoir le vent en poupe. Un dépôt copr pour la Fedora Linux est disponible dixit Phoronix !

Côté culture ?

Vous aimez le hard rock classique ? Alors le premier album éponyme du groupe Dogma sera pour vous. Du bon gros hard rock classique, ça fait jamais de mal !

Sur ce, bonne fin de semaine !

15 jours de Fedora Linux, quel premier bilan en tirer ?

Il y a aujourd’hui deux semaines, en ce 18 août 2025, mon PC portable migrait vers une Fedora Linux sur mon vieux PC portable, un Toshiba L300-2CZ sortit à l’époque de MS-Windows Vista.

Après plusieurs années avec des distributions de la famille Archlinux, Archlinux, puis Manjaro puis de nouveau Archlinux, avant de finalement migrer sur une Fedora Linux 42 avec Gnome.

Pour ma logithèque, en dehors des indispensables dépôts RPM Fusion (pour Vice entre autres), j’ai dû rajouter un dépôt Copr pour avoir accès à Dosbox-X.

Et puis c’est tout. J’ai rajouté des outils comme Anydesk ou encore OBS-Studio, parce que pourquoi pas ! 😀

Mes premières impressions ont été bonnes. Le seul point noir, c’est que j’ai l’impression – vraie ou fausse ? – que la Fedora est légèrement plus gourmande en ressource que mon Archlinux. Mais en contrepartie, je n’ai plus besoin de faire compiler les émulateurs que j’utilise le plus souvent.

Continuer la lecture de « 15 jours de Fedora Linux, quel premier bilan en tirer ? »

Ce qui me gonfle dans le logiciel libre actuel, épisode 7 : Les « vieux de la vieille » et les distributions GNU/Linux techniques.

J’observe avec une attention moindre – mais néanmoins vive – les agissements de ceux que j’appelle « les vieux de la vieille », en clair les linuxiens qui ont dépassé les 10 ans d’expérience dans le monde linuxien. J’en ai fait partie, ayant quelques 19 années en mono-démarrage linuxien, dont près de 16 avec Archlinux.

J’étais parti sur Archlinux, distribution technique s’il en est une, non pas pour son côté technique – dont je me foutais un peu en 2009 – mais pour sa fraîcheur logicielle quasi constante. Mais en vieillissant, j’ai eu envie de moins bidouiller et c’est la raison principale pour laquelle j’ai migré mon PC portable d’Archlinux vers Fedora.

J’ai pu observer qu’une partie du monde linuxien francophone, surtout pour les anciens a tendance à migrer – de manière temporaire ou définitive vers des distributions encore plus techniques qu’Archlinux. Je pense spécialement à NixOS et la tendance à voir des projets l’adopter pour différentes utilisations.

Je dois dire que je n’ai jamais rien pigé à ce genre de distributions. L’utilisation d’un fichier centralisé principal de configuration m’a toujours fait repousser ce genre de distributions. C’est pour moi, un point sensible. Il suffit d’une fausse manipulation ou d’une corruption sur le fichier en question pour que l’ensemble parte en arachide.

L’autre distribution technique à laquelle je pense, c’est « compile le code source Luke », alias la Gentoo Linux. Au moins cette dernière me paraît plus abordable, même s’il faut parfois attendre plusieurs – dizaines – de minutes pour qu’un logiciel s’installe. Je sais bien qu’il y a des paquets précompilés, mais ça fait un peu bizarre dans un monde où tout se compile.

Continuer la lecture de « Ce qui me gonfle dans le logiciel libre actuel, épisode 7 : Les « vieux de la vieille » et les distributions GNU/Linux techniques. »

Et si on testait Gemini ?

Ici, je ne parle pas de l’intelligence artificielle de Google. Non, je parle du successeur spirituel de Gopher.

Quand j’ai commencé ma vie d’internaute en 1997, le web était la source principale de divertissement. Cependant quelques années auparavant, il y avait Gopher, un protocole qui proposait des sites en texte pour sans mise en forme.

Depuis quelques années, le protocole Gemini a repris le flambeau. Je sais que Ploum a son gemini à l’adresse gemini://ploum.net

Pour y accéder, il faut utiliser un navigateur spécifique comme Lagrange. Vous avez ci-dessous une capture d’écran de mon site gemini à l’adresse gemini://gemblog.fredericbezies-ep.fr/

Pour le moment, c’est une expérience dont j’ignore si elle continuera ou pas. Seul le temps nous le dira.

Le plus marrant ? Cet article sera recopié sur le gemini, ce qui fait une boucle récursive… Tant qu’on est pas bloqué dans une boucle infinie, ça m’arrange 🙂