En vrac de milieu de semaine…

Un court billet, en cette veille du jeudi de l’Ascension de mai 2021…

Côté informatique :

Côté culture :

  • Le magazine Alternatives Économiques vient de lancer une campagne sur Ulule pour une bande dessinée « L’éco fait des bulles » qui vulgarise un peu la science économique. La campagne s’arrêtera le 13 juin 2021.
  • Toujours sur Ulule, l’ancienne rédaction de Science et Vie lance son nouveau magazine. Il s’appelle « Epsiloon ». La campagne s’arrêtera le 10 juin 2021.

Deux vidéos pour finir ce billet. D’abord l’épisode DGLFI consacré à la CyberOS :

Et une vidéo qui montre comment activer le support de Wayland dans Plasma, pour les bases Archlinux :

C’est tout pour aujourd’hui.

Bonne fin de semaine 🙂

« Dans la peau de Jacques Chirac », 15 ans après… Déjà ?

Mon enfance, mon adolescence et mes premières années de jeune adulte ont été marquées par une figure incontournable de l’opposition politique, Jacques Chirac. Mis à part la parenthèse de 1986-1988, Jacques Chirac a été la figure de l’opposant politique.

Pourquoi est-ce que je parle de ce film réalisé par Karl Zéro et dont la voix off est assuré par Didier Gustin ?

Tout simplement que j’ai eu envie de le revoir partant d’un article qui parlait des disquettes 8 pouces utilisées le 10 mai 1981 pour l’annonce du résultat de l’élection présidentielle, à un article de France Inter parlant des différents débats de 1974, 1981 et 1988 et des phrases chocs retenues. Je me suis alors souvenu de ce film sorti en 2006.

L’extrait concernant le débat de 1995 en Jacques Chirac et Lionel Jospin étant tiré du film de 2006, « Dans la peau de Jacques Chirac ».

La bande annonce nous accueille avec la pastille concernant l’annonce de la dissolution de l’assemblée nationale en 1997.

Continuer la lecture de « « Dans la peau de Jacques Chirac », 15 ans après… Déjà ? »

En vrac’ de fin de semaine

Petit en vrac’ en ce début de mois de mai.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

La petite vidéo habituelle de chaque billet en vrac’. Cette fois-ci, une vidéo consacré à un logiciel dont je suis étonné qu’il existe encore, SeaMonkey.

Bon week-end 🙂

En vrac de milieu de semaine…

Un court billet, en ce milieu de semaine…

Côté informatique :

  • Dans le domaine des distributions GNu/Linux « sérieuses », je demande la Fedora Linux 34.
  • Toujours dans ce domaine, je demande la KaOS 2021.04, mais faut aimer KDE 🙂
  • Tiens, une arrivée à prévoir dans le monde agité des gestionnaires de services ? Alpine Linux – dont la coeur de cible est le serveur et les conteneurs – serait en train de prévoir le sien.
  • La DGLFI de la semaine : prenez une base Archlinux avec soit Openbox (comme ArchLabs) ou Bspwm (comme EndeavourOS). Secouez le tout et vous aurez le projet ArchCraft.

Côté culture :

Altesia, groupe de rock progressif bordelais, continue le financement participatif pour son deuxième album, prévu pour septembre 2021. Le financement s’arrêtera le 9 mai 2021.

Comme le monde du logiciel libre n’arrêtera jamais de surprendre par ses choix et ses affirmations à l’emporte-pièce, voici donc les deux derniers épisodes de ma série « Les pitreries du libre ». Et oui, c’est du lourd !

L’épisode 39 :

Et l’épisode 40 :

C’est tout pour aujourd’hui.

Bonne journée 🙂

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 39 : La Princesse insensible.

Nous sommes en 1983. Sur ce qui s’appellait encore Antenne 2, une courte série d’animation de 13 épisodes de 4 minutes est diffusée – si mes souvenirs sont bons – dans le cadre de l’émission Récré A2.

C’est une série qui mélange l’animation classique et le papier découpé. L’histoire est simple :

« La fille du roi est indifférente à tout. Le roi promet de donner sa main au prince qui saura l’émerveiller. Treize prétendants défilent devant la princesse, installée dans un théâtre, et tentent de l’étonner par toutes sortes de tours. »

Une série assez spéciale qui m’est surtout resté en mémoire pour l’introduction chantée par une fillette de 8 ou 9 ans – qui doit donc avoir maintenant une bonne quarantaine bien tassée – avec une voix qui irrite vraiment les oreilles.

Durant les 13 épisodes, on voit en ombre chinoise le chambellan du roi qui annonce quel prince va tenter sa chance pour faire enfin réagir cette princesse que rien ne déride.

Voici donc le premier épisode. Et oui, la mini-chansonnette de début tape rapidement sur les nerfs.

Le réalisateur de la série, Michel Ocelot, est aussi la voix du narrateur. Une série que j’avais oubliée jusqu’à récemment par une association d’idées.

Si vous ne connaissez pas cette série qui fait quand même son âge, n’hésitez pas à la découvrir, en passant en accélérer l’insupportable générique.