En vrac’ rapide et libre.

Un petit en vrac’.

Chronique cinéma spéciale Natalie Portman.

Je voudrais parler de deux films que j’ai vu avec cette actrice. Deux films qui m’ont marqués.

Le premier, c’est « Léon ». Oui, je sais, c’est une vieillerie de 18 ans d’âge. Je n’avais jamais vu ce film, et ayant été voir un ami peintre – dont je m’occupe de temps à autre du blog – il m’a montré ce film que je n’avais jamais vu.

Je n’ai jamais un super fan des films de Luc Besson, ayant été plus que déçu par Nikita. Et je dois dire que « Leon », avec un Gary Oldman encore plus frappadingue que d’habitude, un Jean Réno dans le rôle d’un nettoyeur méticuleux, et la toute jeune Natalie Portman.

Le film est très violent – difficile de parler de la vie d’un tueur à gages sans scènes sanguinolantes – mais aussi très tendre, ne serait-ce que les scènes où Jean Réno prend soin de Natalie Portman.

Je sais, c’est pas la dernière nouveauté, mais à l’époque de la sortie du film, je ne regardais presque aucun film.

Le deuxième est largement plus récent, c’est le sublime « V pour Vendetta » avec aussi un excellent Stephen Fry.

Dans une Angleterre dystopique du milieu du 21ième siècle, la dictature règne. Derrière le haut chancelier Sluther règne d’une main de fer, tel le Big Brother de George Orwell. L’introduction parle de la conspiration des poudres contre le roi Jacques 1er qui voulait mettre en place une monarchie absolue en Angleterre. Eventé, le complot tourne court, et on voit l’exécution par pendaison de Guy Fawkes.

Evey Hammondn, interprété par Natalie Portman, doit se rendre chez son patron, Gordon Dietrich. Violant accidentellement le couvre feu, elle est intercepté par des agents du Doigt, la police de la dictature. Elle est sauvée d’un viol par un homme mystérieux, portant le masque de Guy Fawkes, qui se fait appeler « V ». Nous sommes le 6 novembre, et il fait exploser en musique un batiment judiciaire.

Dans ce film, on nous montre comment la dictature s’est mise en place, et comment, la vengeance de « V » démonte les rouages d’un complot plus qu’ancien.

J’avoue que quand j’ai vu ce film, je l’ai adoré. Il est quand même assez violent, ne serait que les scènes où « V » règle son compte à des agents du Doigt. Mais, il est à conseiller pour montrer que la liberté n’a pas de prix.

Concours « Josh Woodward » : les résultats

Le concours a pris fin il y a quelques heures, et donc, ce matin, j’ai enregistré deux vidéos, l’une contenant les réponses en images, l’autre étant celle du tirage au sort.

Désolé pour le coté un peu moche des vidéos, la webcam de l’ordinateur portable que j’utilise n’est pas extraordinaire, surtout vu la qualité de la luminosité aujourd’hui.

Et le tirage au sort, je me suis fait mal au coude à secouer le sac contenant les noms des gagnants.

Voila, et encore merci aux personnes qui ont participées !

« The Wake » de Josh Woodward, un retour en fanfare !

J’avoue que je connais depuis des années le chanteur américain Josh Woodward. Ayant entendu parler de son projet sur Kickstarter pour financer son prochain album, j’ai déposé une option pour avoir un CD dédicacé.

Et finalement, pour remercier le financement qui a dépassé ses attentes, Josh Woodward a offert 2 CDs à chaque demande de support physique. Et comme ses autres créations, le CD est sous licence Creative Commons CC-BY.

L’album commence en fanfare avec « I Will Not Let You Let Me Down », très rythmé, très entraînant. L’album propose plusieurs ballades acoustique comme « Hollow Grove », « Lafayette », mais aussi des titres plus rock, comme « Invisible light » par exemple. Il y a des morceaux qui font penser à des contes chantés, comme « Crazy Glue » ou encore « Little Tomcat ».

C’est un très bon album, à l’image de « The Simple Life ». Très varié, il va des morceaux assez pop-rock à des morceaux plus folk dans leur composition.

Donc, il me reste un CD sous cellophane. Comment l’offrir au mieux ? Un concours m’est donc venu à l’esprit.

Il est ouvert pour une semaine. Voici les questions auxquelles répondre. Il suffit de cliquer sur « Concours Josh Woodward ». Toute réponse postée dans les commentaires sera effacée et considérée comme non avenue 😉

  1. Comment s’appelle le premier album de Josh Woodward ?
  2. Il y a un artiste d’origine espagnole et compositeur de musique électronique dont je suis fan. Quel est son nom ?
  3. Ce groupe néerlandais est spécialiste de morceau de folk intimiste. Est-ce « The Black Atlantic » ou « The Black Pacific » ?
  4. « Breathe » est un des titres les plus connus de ce groupe formé sur internet. Mais comment s’appelle ce groupe ?
  5. Strange Zero et Zéro Project sont originaire du même pays. Lequel ?

Voila. Je tirerais au sort parmi les bonnes réponses la personne qui gagnera l’album. Et je contacterais la personne gagnante directement par courrier électronique.

Modification au 28 août : le concours est terminé.

Point rapide sur les artistes / groupes de musique libre de ma musicothèque.

Ce matin, après avoir acheté un album conseillé par Toine du site @diffuser.net, j’ai voulu voir sur les 199 artistes / groupes de ma musicothèque la proportion d’artistes produisant des albums sous licences Art Libre et Creatives Commons.

Musicothèque au 20 août 2012

Voici donc la liste alphabétique que j’ai pu tracer. J’ai essayé de mettre un lien pour chaque ligne. Et de nombreux genres sont représentés. La liste est assez longue, et j’espère ne pas en avoir trop oublié… 🙂

Continuer la lecture de « Point rapide sur les artistes / groupes de musique libre de ma musicothèque. »

En vrac’ rapide et libre pour commencer la semaine.

Un petit en vrac’ rapide et libre en ce chaud lundi, 31°C prévu pour ce 20 août après-midi.

  • La Frugalware Linux 1.7 (alias Gaïa) est sortie. Au menu, plein de nouveautés. Un test normalement dans le courant de la semaine 🙂
  • La Manjaro Linux, distribution dérivée d’Archlinux propose une version de test en béta interne, avec des versions Gnome 3/Cinnamon, KDE et Xfce, 32 et 64 bits. Et je peux vous dire après quelques tests préliminaires que c’est de la bonne 🙂
  • Un billet d’Allan McRae sur les controverses concernant les derniers changements sur Archlinux. Une manière de remettre les points sur les « i » et les barres sur les « t ».
  • Mandriva, chronique d’un fiasco annoncé ? En tout cas la feuille de route prévisionnelle pour sortir leur version communautaire (en déféquant à la face de Mageïa, la vraie Mandriva communautaire) semble avoir du plomb dans l’aile… Aucune des deux premières versions alpha, promises pour les 27 juillet et 10 août n’est sortie…
  • Joyeux anniversaire, Debian GNU/Linux. Et, oui, déjà 19 ans ! Comme le temps passe vite 😉
  • Parlons musique. Grace à Toine du site @diffuser, j’ai découvert un groupe un peu étrange, mais tellement bon : The Aaron Boudreaux Special 🙂

Voila, c’est tout pour ce billet 🙂

Anastasis, du grand Dead Can Dance.

Enfin reçu, je l’ai enfin reçu ! Depuis l’annonce l’année dernière de la sortie d’un nouvel opus studio, 16 ans après le très bon et influencé world music « Spirit Chaser », Dead Can Dance avec Anastasis revient à ses amours d’avant Spiritchaser.

Avec « Children of the sun », Brendan Perry nous offre un titre profond, chaud avec l’utilisation de cuivre – étrange pour le groupe. Lisa Gerrard nous la joue encore spirituel avec le très bon et très doux « Anabasis », sans tomber dans les excès de ses albums solos qui sont parfois un peu « lourd ».

« Agape » est le troisième titre de l’album. Ici, les influences orientales sont prononcées. Et sur certains plans, on pourrait se demander si ce titre n’aurait pas pu être présent sur l’album « Toward The Within ». Et encore une fois, Lisa Gerrard met sa voix au profit d’une piste excellente.

« Amnesia », le premier titre extrait pour la diffusion en radio est plus abordable, avec des sons plus « écoutables » par le grand public. L’intro en corde piquée est accompagné par un Brendan Perry plus « léger » que d’habitude. C’est une très belle balade.

« Kiko » est l’un des titre auxquel j’accroche le moins. Lisa Gerrard est toujours aussi puissante dans son interprétation, mais cela me fait un peu penser à une réorchestration en plus lent d’une partie du très bon « The Lotus Eaters », et il se perd un peu en longueur 🙁

« Opium » est une ballade de Brendan Perry, assez rythmé (sans pour autant tomber dans l’excès). « Return of the She-King » commence par une ambiance assez écossaise (on a l’impression d’entendre des cornemuses). Lisa Gerrard nous montre encore ses prouesses vocales en glossolalie, avec un titre plaisant, se perdant moins en longueur que son titre « Kiko ». Et sur cette piste, le duo se reforme sur le plan chant, on se demandait quand le duo serait ensemble sur un titre 🙂

Et que dire de la ballade de fin, « All in good time » où Brendan Perry nous enchante.

Cet album est vraiment une renaissance, même s’il aurait pu sortir entre le mythique « Into The Labyrinth » et « Spiritchaser. »

Quelques albums de Bandcamp sous licence Creative Commons.

Sur Bandcamp, où l’on trouve le meilleur comme le pire sur le plan musical, à vue de nez 90% c’est du « Tous droits réservés » classique. Cependant, voici quelques artistes / groupes proposant une partie ou la totalité de leurs créations sous license Creative Commons.

Liste non-exhaustive, bien entendu. J’ai juste ouvert mes marques-pages signets et jeté un oeil sur les droits de publication. Il y en a pour tous les goûts côté genre musicaux, je liste juste, à vous de choisir et de découvrir !

En CC-BY-NC-SA :

En CC-BY-NC-ND :

Je n’ai cité que les albums que j’ai aimé et acheté. Des sites comme Le Blog de Grégory, Destination Passions ou encore A diffuser, sans oublier Auboutdufil sont des sources à fouiller.

Et n’oubliez pas, il n’y a pas que le boeuf bourguignon avarié (réhabilitons la daube !) cuisiné à longueur d’années par les maisons de galettes plastifiée.

Lundi musical : « Pulse of the Earth » d’Hungry Lucy.

Un jour sur google+, vous savez le réseau qui est une ville fantome, que JB Sauvage, alias Chatinux me parle d’un duo d’électro-pop à tendance « gitane » (difficile de traduire le terme « Gypsy » autrement) et mâtiné de trip-hop.

J’avais d’abord découvert l’album « Glo » (publié sous licence CC-BY-NC-SA) – et qui orne ma CD-thèque désormais, et j’ai eu le coup de coeur pour cette musique électronique aux rythmes d’Europe Orientale.

Et puis, j’ai voulu écouter – au grand malheure de ma carte bleue – le dernier opus en date, « Pulse of the Earth« . Et dès la fin de la première piste, j’achetais le coffret en version digipack.

NB : désolé pour la qualité pourrie de certaines photos, la luminosité n’est pas extraordinaire en ce moment 🙁

L’album est du pur sucre, spécialement les morceaux « Pulse of the Earth », « Balloon Girl », « Hill » ou encore « Simone ». Et cerise sur le gâteau, c’est publié sous licence CC-BY-SA…

Le plus simple, c’est d’écouter l’album sur la page du duo.

En vrac’ rapide et périgourdin.

En vacances en famille dans le Périgord, j’ai eu envie de faire un petit en vrac’ rapide.

C’est tout pour aujourd’hui, bon week-end !