Un petit billet en ce pluvieux mois de décembre. Je ne sais pas pourquoi mais je sens que je vais me prendre des commentaires rageux utilisant le réseau TOR qui seront donc tués à vue 🙂
Côté informatique :
Si vous aimez Linux From Scratch et ne jurez que par ce projet, la NuTyX 20.12.0 est disponible avec pas mal de petites choses. Les notes de publication en français sont assez copieuses.
Dans la série « Elle bouge toujours, tant mieux pour les personnes qui l’utilisent », je demande la deuxième bêta de la Mageia 8. Plus d’infos sur les notes de publication.
Pour les fans de compilation, je demande la Crux 3.6.x qui a jadis servi de base de réflexion à une distribution peu connue, Archlinux. Plus d’infos sur les notes de publication.
Il n’y a pas que la musique dans la culture, il y a aussi les jeux vidéos. Les résultats du dernier concours « CPCRetroDev 2020 » sont tombés et les jeux pour ce bon vieil amstrad CPC sont assez impressionnant.
Je dois dire que mon chouchou à première vue est un clone et hommage au célèbre jeu d’aventure et d’exploration « L’Aigle d’Or » du nom de « Throne Legacy » d’Arnaud Bouche, arrivé 6e sur 36 finalistes. Si j’ai le courage et l’envie, je ferai sûrement une vidéo dessus.
Voila, c’est tout pour ce court billet. Bonne fin de journée.
En ce moment, j’ai l’impression de vivre dans « Un jour sans fin », vous savez le grand classique avec Bill Murray et Andy McDowell sorti en 1993.
J’en suis arrivé à une saturation telle que je ne vois plus les semaines passer. Est-on lundi, mercredi ou vendredi, voire dimanche, je l’ignore. J’en profite donc pour essayer de me cultiver un peu entre deux vidéos que je poste sur les instances peertube sur lesquels j’ai un compte.
Il faut dire que parler du forcing de Microsoft pour imposer son navigateur Edge, c’est marrant et ça occupe !
Mais c’est aussi l’occasion pour découvrir certains films d’animation que je ne connaissais pas avant. Je dois avouer que j’avais laissé tomber les films Disney, même si les deux épisodes des aventures de Ralph m’ont fait rire aux éclats, spécialement le deuxième avec une trillion de références au grand nain ternet. Mais moins qu’une vieillerie que je n’avais pas vu : « Raiponce ».
Oui, je sais, ça date de 2010, mais étant célibataire sans enfant, je n’avais plus trop d’intérêt à visionner ce genre de film. Ce qui m’a fait échappé à la « Reine des Neiges ». Sur un conseil avisé, je me suis plongé dans la revisite du conte Rapuntzel des frères Grimm. Je dois dire que j’ai ri aux éclats durant une bonne moitié du film.
Que ce soit Pascal le caméléon ou encore Maximus le cheval qui se comporte comme un chien de chasse – on peut se dire que les scénaristes ont abusé de l’herbe qui fait rire – sans oublier les brigands de l’auberge du canard boiteux, y a de quoi se fendre la poire et plus d’une fois.
Mais il y a aussi des grosses déceptions comme le dernier épisode de l’énnéalogie Star Wars qui me fait dire : les épisodes 7 à 9 N’ONT JAMAIS EXISTÉ !
Désolé, quand on est énervé, ça soulage 🙂
Sinon, j’ai pu découvrir un excellent drama sud-coréen en 16 épisodes, « Goblin: The Lonely and Great God » dont vous trouverez un résumé sans aucune révélation à l’intérieur. Et c’est tant mieux, car les 16 épisodes qui durent entre 60 et 90 minutes sont excellents avec des rebondissements à chaque épisode.
Sur le plan musical, cela a été aussi l’occasion de découvrir que certains groupes de metal savent se la jouer débranché. C’est le cas de Persona qui a proposé en téléchargement à prix libre un concert acoustique. Entendre certains morceaux du groupe sans les guitares saturées, la batterie qui bastonne, c’est étonnamment bon !
Mis à part que je n’ai pas réussi à profiter du confinement pour me mettre à écrire à nouveau sur le plan littéraire, au moins, cela m’aura permis de découvrir quelques pépites et de vous les faire partager.
Ayant acheté une version numérique de l’album – en attendant sa version physique – voici donc un petit article pour vous le présenter plus en détail sur Persona.
Je dois le dire, j’apprécie le post-rock français que j’ai découvert il y a de nombreuses années avec les orléanais de Have The Moskovik.
L’album malgré son nombre important de pistes ne fait qu’un peu plus de 33 minutes. On est loin de l’image de l’album de post-rock avec des pistes dépassant les 7 voire 8 minutes. Ici on est dans le « on fait court et costaud » ce qui n’est pas plus mal.
L’album est assez copieux : 12 pistes pour environ 66 minutes. Autant qu’il y a de quoi se mettre dans les cages à miel. Les pistes sont assez longues et on sent que le groupe y a mis pas mal de coeur à l’ouvrage 🙂
J’écris l’article lors de la première écoute. Désolé pour le côté un peu « à la va-comme-je-te-pousse » :/