Petit amuse gueule auto-édité : « Allez sans rancune – Partie 1 »

Comme demain – au moment où j’écris ce court billet – j’aurai publié en accès libre mon roman d’uchronie, j’en ai profité pour boucler le premier quart de mes chroniques humoristiques et un brin misanthropique.

Ne vous attendez pas à du « méchant fred » comme quand je parle des distributions GNU/Linux finie à l’urine frelatée.

Non, c’est du plus doux qui n’oublie pas de taper là où ça fait mal. Vous pouvez y accéder et téléchargement librement le texte à cette adresse : http://www.atramenta.net/lire/allez-sans-rancune–partie-1/56710

Sur ce, bonne lecture !

Vieux geek, épisode 58 : Redneck Rampage, un des premiers FPS complètement déjanté.

Le monde des FPS aussi connu sous le nom de Doom-like a toujours été marqué par des ambiances sombres et sérieuses. Même si des projets comme Rise Of The Triad flirtait avec le déjanté, il faudra attendre l’arrivée de Duke Nukem 3D en 1996 (soit deux ans après la sortie de Doom et Doom 2) pour avoir un jeu qui ne se prend pas au sérieux avec au menu des blagues graveleuses et franchement en dessous de la ceinture.

Serious Sam, sortit en 2001, fut l’exemple parfait du FPS qui ne se prend pas la tête et qui tombe dans le parodique et l’humour non-sens en l’assumant. L’annonce de la libération de son code source en mars 2016 m’a fait me souvenir d’un titre développé par Xatrix Entainternment aussi connu sous le nom de Gray Matter Interactive et racheté par Activision en 2002.

On doit à Xatrix le premier expansion pack pour Quake 2, « The Reckoning », le mafieux « Kingpin », mais aussi un jeu plus que déjanté… J’ai nommé Redneck Rampage.

Sorti en 1997, il pousse le côté déjanté au maximum de Duke Nukem 3D – dont il utilise le moteur – en se plongeant dans le Sud des États-Unis, plus précisément dans l’Arkansas. Les protaganistes sont deux « rednecks », Leonard et Bubba. Le terme pour traduire redneck serait… « plouc » 🙂

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Humilions-nous en beauté… Mes prédictions pour l’année 2016.

Comme tous les ans, je m’amuse à participer au jeu des prédictions pour l’année à venir. Après un bilan somme toute pas trop mauvais pour les prédictions concerant l’année 2015 (cf le billet bilan de début décembre 2015), reproduisons l’exercice pour 2016. Je tiens à préciser que si l’article est daté du 26 decembre 2015, je l’ai rédigé la veille.

Allons-y gaiement. Commençons par le logiciel libre. Puisque c’est ma zone d’expertise, du moins sur certains plans 🙂

Selon moi, ce sera l’année du quitte ou double pour au moins une distribution : la Devuan. En effet, alors que je rédige cet article, à moins d’une semaine du nouvel an 2016, toujours aucune nouvelle de la version béta de la première Devuan officielle. Comme je l’avais précisé dans le billet bilan :

Pour la Devuan, comme je l’ai exprimé dans un billet récent, elle souffre d’un retard pris suite à la réécriture du système de gestion des périphériques, géré sous linux soit par udev, soit par eudev.

C’est ici le noeud du problème. De plus, ce qui n’aide pas, c’est que la Debian GNU/Linux Wheezy, la dernière en date à proposer par défaut un système d’init à la sysVinit sera supporté au moins jusqu’à mai 2018, par l’équipe LTS qui s’occupe des distributions en fin de vie technique.

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Le billet de « l’humiliation » : quel bilan pour mes prédictions concernant 2015 ?

Le 26 décembre 2014, je m’essayais au jeu des prédictions pour 2015. Le mois de décembre étant entamé, j’ai voulu faire le billet de l’humiliation du bilan. Voyons donc le résultat final. Je comptais poster le billet le samedi 5 décembre 2015, mais des imprévus m’obligent à avancer la publication.

Premier point :

[…]2015 sera une année où une forme de rationalisation se fera encore plus sentir. Nombre de projets mettront la clé sous la porte, et ce ne sera pas une grande perte.

D’ailleurs, en un an, on est passé de 77 à 67 distributions basées sur Ubuntu et encore vivantes. Ce qui fait 23,50% des distributions indexées et encore vivantes. Soit près de 3 points de moins en un an…

Sur ce plan, je me suis planté en partie. Cependant, sur le nombre de distributions basées sur Ubuntu et encore vivante, on est passé de 67 à 70. Une faible progression.

Ce qui représente en gros près du quart des distributions en vie indexées par Distrowatch. En effet, au 30 novembre 2015, il y a 278 distributions indexées marquées comme vivantes. Soit 25,17% du total.

Fin décembre 2014, il y avait 285 distributions marquées comme vivantes. Donc 7 qui sont mortes en l’espace d’un an. C’est quand même perte assez notable.

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Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 19 : « Benny Hill », presque un mauvais souvenir d’enfance.

Les enfants des années 1970 ont un point en commun : toute leur scolarité a été marquée par des week-end réduit d’un quart. Le samedi matin travaillé tuait le week-end et ne laissait pas une coupure complète pour reprendre ses esprits.

Le pire, c’était la journée du dimanche. Outre la messe télévisuelle qu’était Dimanche Martin et l’ancètre de la Massacr’Academy qu’était l’École des Fans, il y avait un passage incontournable le dimanche soir : l’émission hebdomadaire de Benny Hill sur FR3. France 3 n’est née qu’en 1992.

Dès les premières notes du générique, alors que le logo « Thames Television » se dessinait à l’écran, on savait qu’après une grosse demi-heure de sketchs plus ou moins porté sur la chose on aurait droit à la course poursuite traditionnelle en mode accéléré. Voici quelques sketchs assez cultes de la longue série d’émission.

Il faudrait alors enfiler son pyjama, et se préparer à deux longues journées d’écoles avant de goûter à la coupure du mercredi…

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