Avant une pause de week-end, un petit billet en vrac’
La LinuxMint 16 vient de sortir en version RC, avec Cinnamon et Mate Desktop. Préparez-vous à une tétrachiée d’articles sur la distribution dans les jours qui viennent.
Hier soir, j’ai donc pu récupéré l’album en version numérique. J’espère juste que la version physique – oui, je suis un grand collectionneur de galettes plastifiées – arrivera d’ici la fin du mois dans ma boîte aux lettres.
C’est un album d’une trentaine de minutes, constitués de douze pistes. Deux d’entre elles, dont la piste éponyme était déjà disponible sur le précédent album « A Song A Week ».
Ce sont des petites pépites folk qui s’enchainent les unes après les autres. Prenez une tasse de chocolat chaud, quelques biscuits. Enfoncez vous dans votre fauteuil, et laissez vous emporter par les mélodies qui vous carresseront les oreilles.
C’est une longue sensation de bien être, de relaxation qui vous accompagnera lors de l’écoute de l’album. Evidemment, j’adore la piste éponyme, mais rien n’est à jeter dans cet album. Toutes les pistes tapent juste. Elles sont courtes et bien remplies.
Que dire de plus ? Ecoutez-le si vous aimez la bonne folk anglaise. Sinon, découvrez-le ainsi que la folk anglaise 🙂
Lorsque j’ai entendu dire que leur nouvel album « Fire & Fortune » était disponible en précommande, j’ai sauté sur l’occasion. L’album est publié chez Navigator Records, un éditeur spécialisé dans la musique folk.
Et grace à la précommande, je l’ai reçu aujourd’hui, deux jours après sa sortie officielle 😉
Dès les premières mesures de la première piste, on se retrouve en terrain conquis : le jeu de guitare aérien de Ben Walker mélangé à la voix angélique de Josienne Clarke nous porte dans un monde de douceur, de nostalgie et de mélancolie.
Le groupe, principalement constitué du duo Tom Crosley-Thorne et Rebecca Leach, nous propose une folk rock assez classique, un peu teinté de country. Leur premier EP contient 4 titres et dure une grosse douzaine de minutes.
Avec le premier titre, on pourrait se croire dans un appartement des années 1960, l’air saturé de senteurs de patchouli, passant à l’envers la deuxième face de « Sergent’s Pepper Lonely Heart Club Band » des Beatles pour entendre le message subliminal contenu dans la dernière piste.
La deuxième piste nous envoie au far west avec des ambiances qu’on pourrait trouver autour d’un feu de camp, à la belle étoile.
La troisième piste est plus teinté pop-rock que les précédentes. La dernière piste clot l’EP en douceur, avec un mélodie à tendance country. Et on peut se dire : déjà ? C’est tout ? Allez, on se le remet 🙂
L’album n’est pas excessif côté prix, surtout pour un CD imitation vinyle, un poster de leur tournée et une petite étiquette avec le nom du groupe le tout pour 5£, soit 5,82€. Si vous ne voulez que la version numérique, il vous en coutera 4£, soit 4,66 €.
Inutile de préciser que j’ai acheté une version physique d’un des 200 exemplaires disponibles. Il me tarde de le voir rejoindre ma collection de folk anglaise déjà constitué de la discographie de Dave Gerard and The Watchmen et du duo Josienne Clarke et Ben Walker.
Petit ajout du 31 mai : la vidéo officielle du titre « When You Call ».
Celui de Sully, qui acheta un ukulele pour apprendre à en jouer. Ecrivant un titre par jour pour pour maitriser l’instrument, il a été rejoint par la suite par 25 autres musiciens de différents univers pour donner de la substance aux titres créés. Il en est resté un album de 15 pistes, « The Odd Sea« .
Mis il ne faut pas croire que c’est du simple ukulele. Il y a par exemple des mélanges intéressants.
Oui, je sais, je comptais ne rien publier aujourd’hui, mais j’ai changé d’avis.
Si vous aimez le bon gros rock qui ne se prend pas la tête, Ilan Rubin propose un nouvel album de son groupe « The New Regime », « Exhibit A ». Uniquement disponible en numérique, apparemment. Dommage, j’aurais bien voulu la galette qui va avec 😉
J’ai reçu il y a une quinzaine de jours un courrier d’un groupe espagnol « They » pour me vanter leur musique. Vous prenez des habits à la Blues Brother pour le chanteur et le guitariste, des titres en anglais classique pour du rock classique. Pas de quoi fouetter à mort un âne avec des figues molles, mais ça pourrait vous plaire, donc je fais toujours passer.
En février dernier, le groupe a proposé le résultat d’un projet fou, « A Song A Week ». Enregistrer une chanson par semaine sur 15 semaines.
Si vous aimez la folk « anglo-américaine » des années 1970, vous serez au paradis. J’avoue que la sortie a été épique, mais finalement, j’ai eu un des 100 exemplaires (le 12ième), et cet album est un bijou. Comme sur l’album précédent, les artistes invités ont la part belle : Josienne Clarke, Ben Walker, et d’autres pointures de la folk anglo-saxonne actuelle.
J’avoue que je me suis régalé tout au long de l’écoute. Si vous aimez de la musique qui vous caresse les oreilles, foncez, en espérant qu’il restera encore des exemplaires disponibles 😉
J’avais résumé le style en disant : « si vous aimez le mélange rock, pop à tendance acoustique et celtique. »
La sortie de son premier album officiel m’a permis de découvrir une nouvelle facette de cet artiste.
C’est une influence à la Robert Allen Zimmerman avec l’utilisation d’une guitare sèche seule mâtinée d’harmonica.
Après un très doux « Mother’s Nature Cure », on revient à des mélodies plus teintée rock avec « Giving Tree ».
« 4 of 5 » nous offre un titre plus doux, mais très entraînant. Un instrument revient souvent, c’est le piano. Un titre comme « How Things Change » lui donne la part belle.
Il y a aussi des titres qui fleurent bon les années 1960 dans leur composition, comme « Mary-Jane », et c’est très sympa d’avoir un titre aussi décalé.
« City in Ruin » a été pour moi le titre le plus sombre de l’album. « No Place for good men » pourrait d’ailleurs lui disputer cette place.
Bien que l’album soit en « name your price », j’ai donné 10$ car l’album les vaut largement.
Si vous aimez les mélodies douces, la guitare sèche, les influences pop, folk, rock, l’harmonica, foncez écouter l’album. Enfin, c’est vous qui voyez !
On retrouve ici toute la magie et les ambiances rêveuses qui ont fait le succès du premier EP.
On retrouve le mélange de guitares folk, de mélodies imparables, de textes finement cisélés qui font mouche à chaque fois. Sans oublier les mélodies au piano, comme dans « Atlas, At Last »
Mes coups de coeur à la première écoute ? « The Art of Being A », « Atlas, At Last », « Persephone » et bien entendu, le titre éponyme.
L’album en version physique coute 3£, et sera disponible à partir du 1er février. Inutile de vous dire que j’attends avec impatience de le rajouter à ma collection musicale.
J’ai donc fait des recherches, et j’avoue que j’ai eu un coup de coeur énorme. Loin du métal progressif qui a fait le succès d’album comme Blackwater Park, Still Life ou encore Ghost Reveries, le duo propose un album qui fait penser à l’album Heritage d’Opeth.
Les pistes sont assez longues (de 4 à 10 minutes). L’ambiance est celle d’un folk médiéval, matiné de rock, de musique douce, et surtout de mélodies qui emporte l’auditeur.
De la première piste « Drag Ropes », à la dernière « Ludjett Innan » (dont le titre commence par une portion chantée en voix de tête par Mikael Akerfeldt), c’est du pur bonheur. Les titres s’enchaînent comme des perles.