En vrac de fin de semaine.

En cette fin de semaine agitée sur fond de personnes se réclamant de la troisième religion monothéiste pour commettre des meurtres, j’ai eu envie de faire un petit en vrac’ fourre tout.

Commençons par le logiciel libre.

Dans le domaine musical ?

Voila, c’est tout. Je mets le blog en pause ce week-end, et je vous dit à lundi prochain !

« The Other Side » de Akoma : du bon métal symphonique du sud de la Scandinavie.

Il y a une variante du métal que j’aime beaucoup, c’est la variante dite symphonique. Avec la tendance progressive et le classique Heavy métal, c’est un genre de musique que j’apprécie. Il est habituel de dire que la Scandinavie au sens géographique large du terme, en rajoutant à la Norvège et à la Suède, la Finlande et le Danemark, le groupe Akoma en apporte la preuve.

Alors que je fouillais la catégorie métal symphonique pour me caresser les oreilles, je suis tombé sur le premier album du groupe Akoma, sortie en mars 2012. Je sais, cela fait presque 3 ans, au moment où je rédige ce billet, mais les découvertes tardives sont parfois très intéressantes.

Ici, nous avons un métal symphonique assez classique, qui propose un chant clair féminin. Aucun chant guttural n’est présent.

Les titres sont assez courtes, on a droit à des pistes qui rentrent directement dans le sujet. On est loin des pistes de 10 à 12 minutes d’un rock ou d’un métal progressif. L’album dure 27 minutes pour 6 pistes.

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Vieux motard que j’aimais… « Belighted » des iamthemorning en version deluxe :)

Avec le duo russe iamthemorning, c’est une longue histoire. Depuis leur premier album intitulé « ~ » dont j’ai parlé en mai 2013, je suis l’actualité du groupe. À la même époque, le groupe lançait une opération de financement participatif, couronnée de succès. Au début, l’album devait sortir en octobre 2013.

Cependant, entre temps, le groupe a été signé par KScope – où l’on retrouve entre autre des signatures comme Steven Wilson – et l’album a été reporté. Pour faire patienter les personnes du financement participatif, un EP est sorti début janvier 2014.

Finalement l’album est sorti en septembre 2014, et j’ai eu le plaisir en ce 30 décembre 2014 de recevoir le coffret deluxe pour lequel j’avais versé mon obole.

Pour l’album, c’est simple. Si vous avez aimé « ~ » et « Miscellany », vous aimerez celui-ci qui fait quand même 55 minutes !

Autant dire que sur le plan musical, l’année 2014 se termine en beauté, même si l’album a plus d’un an de retard sur la date prévue à l’origine !

Mon bilan culturel littéraire « papier » de l’année 2014 : « Ian » et « Jours de Sang ».

Depuis que j’ai une Kindle (je sais, vous les libristes qui me lisez régulièrement, la Kindle çapuecestpaslibre), j’ai pris l’habitude de lire sur tablette qu’au format papier.

Je n’ai fait que deux achats papiers (en dehors d’exemplaires papier de mes propres oeuvres pour avoir des archives et de me faire un peu de publicité) en cette année 2014. Ce billet est un complément de celui consacré à la culture musicale, que j’ai rédigé début décembre 2014.

Les bouquins papiers achetés en 2014

Le premier achat, c’est un livre de Pauline Picot, acheté en juin 2014, intitulé « Ian ». Comme son nom l’indique si vous vous intéressez au tournant musical de la fin des années 1970, c’est une forme de biographie adaptée de main de maître.

Quand le punk explose en 1976-1977, un vent de fraicheur et de spontanéité souffle sur la musique spécialement anglosaxonne. C’est la période qui verra naître des groupes mythiques, dont le célèbre Joy Division dont la carrière sera courte et puissante (1976 à 1980) avec deux opus : « Unknown Pleasures » et « Closer ».

Dans le livre de Pauline Picot, l’auteure fait parler certains proches de Ian Curtis, comme Sid V., Johnny R. ou encore David B. Besoin de préciser les noms qui ont été abrégé ? 🙂

Un livre très intéressant, loin des biographies conventionnelles.

Le deuxième livre est un petit roman de science fiction, écrit par Xavier Delgado, « Jours de Sang ». Nous sommes dans un futur presque apocalyptique. Le monde est divisé en plusieurs blocs : Euroka, Asiatika, Afrika et Amerika. Ce sont les « ETR », états terriens réunis.

Quand commence le roman, Enrique de Villavedon se lève tout juste. Soudain, on l’appelle. Une mission rouge lui est attribuée. Dans un endroit surnommé les « enfers », une terrible menace vient de manifester. Les jours de sang vont bientôt arriver, avec leur lot de douleurs…

Dans ce cours roman (en gros 140 pages) en deux parties, Xavier Delgado développe un style assez cinématographique. Le lecteur est ainsi envoyé d’un théatre d’opération à l’autre tout au long du livre. Ce style est un peu déroutant au début, mais c’est agréable d’avoir enfin un peu de changement au niveau de l’expression écrite. Il est disponible sur Lulu.com.

Les intrigues s’entremèlent et les personnages sont plus complexes qu’on pourrait le penser au premier abord. Xavier Delgado arrive à nous surprendre. Pour le plus grand plaisir du lecteur.

Une bonne petite surprise de fin d’année, même si le roman est sorti en 2011.

En vrac’ rapide et dominical.

Un petit en vrac’ rapide en ce dimanche qui précède la fête la plus commerciale de l’année.

Voila, c’est tout pour ce dimanche. D’ailleurs, je compte lever un peu le pied durant la très sincère période des fêtes de fin d’année.