Cosmic ground 5 : un retour planant.

J’ai déjà parlé par deux fois des créations de Dirk Jan Müller, pour ses deuxième et troisième opus respectivement en juillet 2015 et en septembre 2016.

Chaque année, il sort un nouvel opus dont un live en juin 2017. En octobre 2019, le cinquième opus studio est sorti, sous le nom très recherché de cosmic ground 5.

8 pistes pour 75 minutes. Entre l’introduction qui ne dure que 1 minute et 46 secondes et la septième qui dépasse les 18 minutes, on a toute une gamme de mélodie. Certaines personnes diront que c’est de la musique d’ascenseur, mais je dois dire que je prends un plaisir monstre à écouter ce genre d’albums quand j’écris, je fais quelques tests techniques ou que je me balade sur la toile.

C’est sombre, froid, glauque donc parfait pour se concentrer. Évidemment, il faut aimer ce genre musical inspiré du krautock, de l’ambiant et un peu du Tangerine Dream des années 1970. Mais putain que c’est bon !

En vrac’ de milieu de semaine…

Un petit billet en ce mercredi automnal et pluvieux.

Côté culture :

Bonne fin de journée ! 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Un peu court, désolé !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

  • Emma Fee, la chanteuse des Happy Endings vient de sortir son nouvel EP, « The Anachronist ». Miam ! Un article à venir bientôt.
  • Dans le domaine de la musique électronique tendance Krautrock, le groupe Cosmic Ground vient de sortir sa nouvelle galette, sobrement intitulée « Cosmic Ground IV », officiellement disponible à partir du 21 mai 2018.
  • La cagnotte de Péhä pour l’aider à financer des travaux liés à la maladie de son fils, souffrant d’un syndrome cérébelleux se termine au 30 mai 2018. 37% de la somme espérée a été récoltée. Plus d’infos sur la page Leetchi.
  • Un tout petit peu de publicité pour mon dernier bébé scriptural, un court roman policier, « Le Tueur au manchot », disponible sans DRMs sur Atramenta et sur Amazon (en papier et numérique sans DRM).

Bon week-end 🙂

« Cosmic Ground III », le retour sombre et hypnotique de Cosmic Ground :)

J’avoue que j’ai une faiblesse pour la musique électronique fortement inspirée des créations des années 1970. En juillet 2015, je parlais rapidement du deuxième opus de Dirk Jan Müller alias Cosmic Ground. Et voici donc le troisième album de la série, sobrement intitulé « Cosmic Ground III » 🙂

Plus court que l’album précédent, 70 minutes au lieu de 77, il n’en est pas point un album qui est vraiment planant. Il n’est disponible – au moment où je rédige cet article le 25 septembre 2016 – qu’en numérique et en précommande pour la version physique pour une publication aux alentours du 16 octobre 2016. Inutile de préciser que je l’ai précommandé.

Si dans la première piste, « Ground Control », il y a des sonorités jarresques de l’époque Oxygene / Equinoxe, dans la deuxième, ce sont d’autres influences qui arrivent. Mais qui fleurent bon la science fiction des années 1970 avec ses grands espaces et ses vaisseaux faits de bric et de broc. Ce sont les deux pistes les plus courts, tournant seulement dans les 16 minutes.

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Confession d’un amateur de musique, épisode 5 : ma découverte de la musique électronique avec « Ethnicolor » de Jean-Michel Jarre.

Cinquième épisode de cette série, c’est celui qui ressemble le plus à la confession diabolique pour le moment 🙂

Ma découverte de la musique électronique, je la dois à un titre publié en 1984 sur l’album Zoolook qui donne toute sa puissance en live, comme sur l’album « Houston-Lyon » de 1986. C’est avec cet album que j’ai découvert le compositeur.

Pour une personne qui apprécie le metal et ses guitares ultra-saturées, ça fait étrange d’avouer que mon adolescence a été bercée par Zoolook, Les Champs Magnétiques, Revolutions, Oxygène ou encore Equinoxe. Comme initiation à la musique électronique, c’est un sacré dépucelage auditif 😀

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