Dommage que ce soit du déjà entendu, épisode 2 : « Four Inches » de Pryzme

C’est via un article de Stéphane Gallay sur son blog que j’ai entendu parlé du premier album des français de Pryzme.

Quand j’ai lancé la lecture de l’album sur l’espace bandcamp dédié, j’ai tout de suite reconnu un style musical, celui d’un certain Steven Wilson, vous savez, le fondateur d’un petit groupe, Porcupine Tree.

L’album est très bon, les pistes entrainantes, mais cela sonne vraiment comme du Steven Wilson à ses grandes heures. À la copie, je préfère l’original 🙂

Les compositions sont propres, entrainantes, mais il manque un petit quelque chose qui pourrait éviter de donner l’impression d’écouter un groupe hommage que d’un groupe franchement indépendant.

Ce n’est que mon avis, et libre à vous dans les commentaires de me laisser votre impression.

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce mercredi pluvieux d’avril 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Vous aimez le free jazz ? L’improvisation ? Alors l’album « Elastic Flame » d’Elastic Tribe est fait pour vous.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Dommage que ce soit du déjà entendu, épisode 1 : « From the Ashes » de Lastera.

Une nouvelle série de billets, consacré à la musique. Je n’ai quasiment plus acheté de musique depuis le début de l’année 2021, étant donné que ma collection dépasse allègrement les 30 jours d’écoute en continu. Vous pouvez imaginer que j’ai plusieurs centaines de galettes plastifiées pour arriver à une telle durée 🙂

Je vais donc parler dans cette série d’albums que j’ai pu écouté et à qui il manquait un petit quelque chose pour passer à la caisse.

On commence avec le groupe Lastera et leur premier LP, « From the Ashes » des danois de Lastera.

Sorti fin janvier 2022, cet opus qui mélange le power metal et le metal symphonique bénéficie d’une réalisation très propre. Limite un peu trop.

Côté durée, on est dans les 48 minutes pour 9 pistes. Ce qui donne une moyenne de 5 à 6 minutes par piste.

Le problème est le déjà entendu. Il n’y a aucune surprise. La batterie est excitée comme il le faut, les guitares saturées, comme il le faut aussi. Il y a la classique balade avec « Larger than Life ».

Même si j’avais eu l’intention lors de la première écoute de passer à la caisse, la deuxième écoute m’a refroidi. Mais j’ai pensé que cet album pourrait intéresser certaines personnes qui lisent mon blog.

Même si je n’acheterai pas la galette plastifiée, ce groupe mérite d’être connu et de faire un deuxième album moins classique dans sa composition.

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce deuxième samedi de mars 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans le domaine des distributions GNU/Linux officiellement pour personnes débutantes, je demande la ZorinOS 16.1.
  • Votre Raspberry Pi 2/3/4 a faim de multimédia ? Alors la version 10.0.2 de LibreElec est la réponse à apporter.

Côté culture ?

  • Le groupe Cosmic Ground en attendant la parution de leur huitième album propose une compilation « decade 2012-2022 » regroupant les morceaux de choix de cette décennie d’existence.
  • Si vous aimez la folk typée britannique avec des accents « à la Beatles », alors laissez trainer une oreille sur l’album de Jeremy Dylan, « Lost in a Daydream ».

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier samedi de mars 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Suite du longplay pour « Briley Witch Chronicles », avec la dixième heure de jeu… La fin est toute proche.

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce finissant mois de février 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Une capture d’écran de Turdle qui montre le côté « pipi-caca » du vocabulaire du jeu 🙂

Côté culture ?

Rémy Delahaye alias Watchmaker vient de sortir un nouvel EP, « Lumières ».  Un article à venir dans la semaine ? Pas impossible 🙂

Suite du longplay pour « Briley Witch Chronicles », avec la sixième heure de jeu… Déjà !

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi de février 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Nouvel épisode du longplay consacré au jeu « Briley Witch Chronicles » avec la cinquième heure du jeu.

Sur ce, bonne fin de semaine !

« Oblikva » de Romeo Bonvin : un mélange au poil entre post-rock, électro et musique atmosphérique.

Je l’ai dit je ne sais combien de fois – et j’ai pas envie de passer pour un radoteur ! – des groupes et des artistes me contacte pour parler de leur dernier album ou EP. C’est encore une fois le cas avec l’helvète Romeo Bonvin. C’est un « vieux routard » du post-rock, de l’électro et de la musique atmosphérique car son premier album, « Game Over » est sorti en 2003. Depuis, 7 autres opus sont sortis dont le dernier, « Oblikva » date du 8 janvier 2022.

L’EP est assez court avec 5 pistes pour un peu plus de 24 minutes. C’est du post-rock bien « tassé » car on est loin des pistes dépassant les 6 à 7 minutes.

Dès le début de la première piste, éponyme de l’EP, on a droit à une ambiance éthérée et intime. Avec les habituels dialogues entre les guitares et les percussions.

La deuxième piste, « open the eyes » prend cette même ambiance, mais un peu plus positivement que la piste précédente. Un pur régal pour les oreilles. Le mélange de post-rock, d’électro et de musique atmosphérique donne très bien. On sent que la maitrise du trio est franchement poussée. Et c’est tant mieux !

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En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de janvier 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Sur ce, bonne fin de semaine !

« Paddy’s Club », nouvel album des Anozel : le post-rock français en a encore sous le pied.

Le 4 janvier 2022, je parlais de leur deuxième EP, « The Eternal Sunday ».

Je rédige et publie ce billet le 17 janvier 2022 au matin, quelques heures après l’officialisation de la publication de leur troisième EP, « Paddy’s Club ». Il y a 5 pistes pour un total de 28 minutes. Il faut dire qu’avec une piste d’introduction qui dépasse les 10 minutes, on pouvait s’attendre à plus long au final.

On commence l’EP avec la piste la plus longue, « Falaise » qui consomme à elle seule un tiers de la durée d’écoute. Ce que j’apprécie dans la piste, outre le rythme presque hypnotique de l’ensemble, c’est le duo des voix qu’on peut y entendre dans le premier tiers de la piste. Avec le solo de guitare saturée dans le dernier tiers.

À partir de « Mirliflore », on attaque des pistes assez courtes, de 3 à 5 minutes maximum. C’est ici qu’on comprend que l’EP est découpé en plusieurs « sous-pistes ». Encore une fois, le duo de voix, la guitare qui joue un rythme hypnotique rendent l’ensemble prenant.

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