« Revelations Adrift » du groupe Eric Baule : une sacrée claque musicale.

À cause de – ou grâce à – Stéphane Gallay, j’ai pris connaissance du premier LP du groupe Eric Baule qui s’appelle « Revelations Adrift ». Je n’ai pas l’intention de plagier son article, car il a dit pas mal de bons trucs dessus.

Je vais donc essayer de compléter son article. Le groupe a sorti son premier LP en mars 2015. C’est un rock progressif très classique et très moderne à la fois qui nous est proposé. La piste d’introduction en fait qu’une minute et des bananes. Mais la plupart des pistes restantes, c’est dans les 6 à 8 minutes. Une heure et dix minutes de rock progressif bien péchu.

La piste « Redemption » est une série de crochets de gauche et du droit qui vous laisse sans réaction sur votre chaise sauf de dire : que c’est bon ! Pour tout dire que je ne m’étais pas pris une telle dérouillée musicale depuis la première écoute de l’album « Insurgentes » de Steven Wilson.

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HandyLinux 2.3 : c’est une évolution ? Non Sire, c’est une révolution !

En reprenant et détournant une phrase célèbre attribuée à François XII de La Rochefoucauld accessoirement Duc de Liancourt (1747-1827), j’ai voulu introduire ainsi l’article sur la HandyLinux 2.3. Après avoir parlé de la HandyLinux 2.2 en septembre 2015 qui introduisait une image ISO en 64 bits, la 2.3 qui est sortie le 22 janvier 2016 pourrait correspondre à cette citation.

Sur l’article de blog annonçant la sortie de la Handy Linux 2.3, nom de code « Ian » pour Ian Murdock, fondateur de la Debian GNU/Linux, mort fin 2015, on apprend que nombre de nouveautés répondent à l’appel : nouvel handy menu, un gestionnaire de logithèque simplifié, un nouveau thème, un outil d’assistance avec une série de guide à suivre en cas de problème, un gestionnaire de mise à jour maison, et surtout le passage à une base Debian GNU/Linux 8.3 et un rétroportage du panneau, depuis la Debian GNU/Linux testing, de Xfce 4.12 (pour améliorer l’accessibilité). Sans oublier la migration de Slim vers LightDM. Autant dire que les notes de migration sont les bienvenues.

Un autre changement est le remplacementt de l’équipe fondatrice par un grand nombre de membres de la communauté HandyLinux. On peut interpréter ceci comme un signe de maturité de la part de ce projet encore assez jeune.

Autant dire qu’avec autant de changements, une numérotation en 3.0 aurait été justifié. Quoiqu’il n’y a rien de plus arbitraire qu’une numérotation de distribution après tout, et qu’une HandyLinux 3.0 collera mieux avec une base Debian GNU/Linux Stretch qui sortira courant 2017.

Bref, j’ai mis en route mon client de tipiakage torrent préféré pour aider à la propagation de la HandyLinux 2.3… Même si sur la capture d’écran, c’était pas la joie 🙁

Pour voir la HandyLinux 2.3 en action, j’ai utilisé mon ami VirtualBox avec l’image ISO 64 bits.

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Profitons de l’annonce de la béta de la Slackware Linux 14.2 pour avoir un aperçu de la future MicroLinux Enterprise Desktop.

L’annonce de la sortie de la Slackware Linux 14.2 béta 1 m’a donné une idée un peu farfelue pour compenser la nullité monstrueuse de l’actualité des distributions GNU/Linux : Tenter d’installer la MicroLinux Entreprise Desktop 14.2, du moins dans son état d’avancement en cette fin janvier 2016.

Oui, la méta-distribution basée sur la Slackware Linux 14.1 dont j’ai déjà parlé en janvier 2015.

Je tiens à préciser ceci :

  1. Je n’ai pas contacté l’auteur de la méta-distribution avant de faire cet article.
  2. C’est un travail en cours, utilisant le guide d’installation que j’ai adapté pour le faire fonctionner avec la Slackware Linux current, en version 14.2 béta en ce mois de janvier 2016.
  3. Ce n’est en rien définitif. C’est à l’image des distributions en alpha ou en béta que je présente parfois.
  4. Si vous voulez installer la MLED, il est FORTEMENT CONSEILLÉ de rester avec la version 14.1 à moins que vous ne vous sentiez une âme de CASSE-COU. Je suis clair ? 🙂

J’ai donc pris le guide d’installation en le modifiant pour le faire coller au but de cet article. J’espère que le créateur de la MLED ne m’en voudra pas trop ! J’aurais bien voulu voir ce que donnerait une SalixOS avec une base de Slackware Linux 14.2, mais au 23 janvier 2016, y a rien de disponible 🙁

Je suis parti d’une ISO de la Slackware Linux « current », datée du 17 janvier 2016, en partant d’un des miroirs des images d’Eric Hameleers alias Alien Bob pour gagner un peu en vitesse de récupération 😉

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c https://seattleslack.ryanpcmcquen.org/mirrors/slackware/slackware64-current-iso/slackware64-current-install-dvd.iso
–2016-01-23 20:11:16– https://seattleslack.ryanpcmcquen.org/mirrors/slackware/slackware64-current-iso/slackware64-current-install-dvd.iso
Résolution de seattleslack.ryanpcmcquen.org (seattleslack.ryanpcmcquen.org)… 104.24.103.14, 104.24.102.14
Connexion à seattleslack.ryanpcmcquen.org (seattleslack.ryanpcmcquen.org)|104.24.103.14|:443… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 2750414848 (2,6G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « slackware64-current-install-dvd.iso »

slackware64-current 100%[=====================>] 2,56G 2,63MB/s ds 10m 25s

2016-01-23 20:21:42 (4,19 MB/s) — « slackware64-current-install-dvd.iso » sauvegardé [2750414848/2750414848]

Une dizaine de minutes pour environ 2,6 Go, ça c’est du miroir qui envoie du pâté ! 🙂

Mon ami VirtualBox a donc été mon allié dans cette quête pas franchement des plus utiles…

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque samedi ou dimanche, en un vrac’ mixte pour terminer la semaine. Commençons par le monde des théoriciens enfermés dans leur tour d’ivoire, j’ai nommé le logiciel libre.

  • La distribution GNU/Linux au nom sternutatoire sort une version révisée de sa dernière mouture. La Kwort Linux 4.3.1 est disponible au téléchargement.
  • Puisque la mode est au rolling release, la Kali Linux spécialisée dans la sécurité informatique propose sa première version pour 2016. Plus d’infos sur le site officiel.
  • Vous aimez les distributions GNU/Linux lourdingue qui n’apporte rien au schmilblick ? Alors la ExTiX 16.1 fera votre bonheur.
  • Dans la série, « tiens elle est encore en vie ? », je demande la ZorinOS 11 béta basée sur la Ubuntu 15.10… Riche idée à moins de 3 mois de la sortie de la prochaine Ubuntu LTS… 🙂

Passons à la culture. Non, je ne parlerai pas de mes deux projets en cours de production, n’étant pas comme certain(e)s auteur(e)s auto-édité(e) incapables de comprendre leurs erreurs. Parlons musique.

  • Vous aimez le piano-jazz comme à la grande époque de Norah Jones (avant qu’elle ne tombe dans la daube musicale avec son troisième opus ? Alors Julia Barry pourra vous parler.
  • Si vous aimez le blues-rock avec des voix féminines, alors le premier EP éponyme des Elephant Bone Blues pourra vous plaire.
  • Si c’est la folk acoustique qui vous parle, alors laissez donc traîner l’oreille du côté des créations d’Angharad Drake.

Voila, c’est tout. Bon week-end 🙂

Les projets un peu fous du logiciel libre, épisode 5 : ECWolf.

Pour ce cinquième billet de la série « Les projets un peu fous du logiciel libre », j’ai eu envie de parler de ECWolf. Comme pour le premier billet de la série, j’ai voulu rester dans le domaine ludique. Après avoir abordé FreeDoom, je me suis dis que j’allais parlé de la continuation de l’ancètre le plus connu de tous les FPS, Wolfenstein 3D.

Note en passant : le billet était prévu pour le 22 janvier 2016, mais comme il squattait mon disque dur… 🙂

Est-il besoin de présenter Wolfenstein 3D ? Vraiment ? Alors très rapidement.

Sorti en 1992, ce premier FPS développé par la toute jeune société id Software pour Apogee Software nous mets dans la peau de BJ Blazkowicz, un prisonnier de guerre américain durant la deuxième guerre mondiale.

Dans le premier épisode, on doit s’évader de la prison où est détenu BJ Blazkowicz, avec pour seule arme un couteau, un pistolet, une mitraillette et un mitrailleuse portative qui ressemble à la Gatling, symbole de la guerre de Secession. Inutile de préciser que le jeu fut interdit à la vente en Allemagne à cause de l’utilisation de symboles nazis : la swastika, le portrait d’Adolf Hilter ou encore le drapeau à croix gammée.

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