Mais replongeons-nous en 1983. Dans l’émission phare RécréA2, une nouvelle série dont seul 13 épisodes sur les 22 seront doublés arrive : « Monsieur Merlin », traduction littérale de Mr Merlin. La série diffusé fin 1981 et début 1982 part d’un postulat étrange.
Merlin l’Enchanteur a survécu à l’épopée d’Arthur et se retrouve à travailler comme garagiste à San Francisco.
Voulant prendre une retraite bien méritée, il désigne un adolescent du nom de Zac comme son successeur.
Il y avait aussi le générique du journal de 13 heures ou de 20 heures sur la toute jeune TF1, inséparable de Roger Gicquel et d’Yves Mourousi. Et oui, y a du lourd 🙂
Il y a eu de nombreuses émissions qui ont eu droit à leurs génériques en dessin animé. Par exemple :
Ou pour les amateurs de sport :
Sans oublier une émission mythique des années 1970, présentée par Danielle Gilbert, j’ai nommé Midi Première. Je n’ai pas trouvé le générique seul, mais un extrait d’une émission de 1979. Ça pique côté présentation 🙂
Il y en a d’autres, qui sont sûrement inclus dans cette compilation de l’INA. J’avoue ne pas l’avoir regardé en entier, pour éviter de me prendre un trop gros coup de vieux…
Je vous laisse (re)découvrir les génériques d’émissions parfois oubliées. Allez, bon courage 🙂
Je constate la lente dégradation de Youtube qui s’amplifie d’années en années. J’ai quitté Youtube en tant que créateur en novembre 2018. J’avais à l’époque quelque chose comme 4900 abonnés, puis des personnes se sont abonnées, ce qui fait qu’en 3 ans, je suis à pas très loin de 5800 abonnés. Bizarre pour une chaine au point mort depuis fin 2018.
[…]
Que ce soit sur peertube.fr ou tux’n’tube, j’ai retrouvé le plaisir de faire des vidéos sans me soucier des dévaliseurs de bijouterie familiale. Ou je n’ai plus rien à craindre du robot copyright de Youtube qui peut balancer des avertissements qui peuvent entraîner au final la destruction de ta chaine.
Même si je ne fais plus que quelques dizaines voire quelque centaines de vues par vidéo, ce n’est pas grave. Je suis revenu à la création de vidéo pour le plaisir et quand j’ai envie d’en faire. C’est aussi simple et bénéfique que cela. Peertube ne sera jamais un concurrent dangereux pour youtube, mais ne plus dépendre de cette plateforme du monde de Google, ça fait plaisir 🙂
Sur ce, je vous laisse et je vous souhaite une bonne fin de journée.
Ce sont les dernières mésaventures arrivées à Frédéric Molas alias le Joueur du Grenier qui me font penser que vouloir conserver des vidéos monétisées, c’est un vrai chemin de croix.
Note en passant : Je sais par avance que des personnes appartenant au « camp autoproclamé du bien » vont me taxer de fasciste ou d’extrême-droite car j’ose reprendre une vidéo de Psyhodelik qui revient sur les déboires du JDG. Avec ce genre de personnes, 98% de la population mondiale est d’extrême-droite 🙂
Il y a le problème de se faire quelques piécettes en utilisant YouTube. Il y a plusieurs options :
La publicité encastrée, mais il est tellement facile de rajouter un bloqueur de publicité…
Les partenariats… Mais quand on subit pour la 35e fois du blabla sur NordVPN, ça finit par gaver…
Passer par un financement collectif comme Tipeee par exemple.
Sur le premier point, je vous renvoie à la vidéo ci-après avec le bloqueur en carton-pâte de publicité intégré dans Vivaldi. En effet, celui-ci se base sur la liste noire de Google… Et comme Google vend de la publicité, peut-on faire confiance à un acteur qui est juge et partie ? De plus, selon un article du blog du modérateur, on était dans les 30% d’internautes bloquant la publicité pour 2019. Il en manque encore 70% à mon avis 🙂
Ajout à 11 h25 : le réglage par défaut du bloqueur de publicité est désactivé.
Aussi utile que de vouloir enfiler une capote en gardant son emballage. Sinon, un anti-pub débranché, ça sert à quoi au final ?
Sur le deuxième point, que dire de plus ? Marre de NordVPN et compagnie. Au moins, il y a une partie des vidéastes qui mettent ce genre de blabla promotionnel en fin de vidéo. Je pense par exemple à Nota Bene.
Sur le dernier point, c’est un saut dans l’inconnu. Car c’est parier sur la fidélité de la communauté – du moins du nombre d’abonné(e)s que l’on affiche sur son compteur. Car même en comptant l’euro symbolique, quelle somme pourra être récoltée au final ? Cela serait une mauvaise surprise pour une partie non négligeable des vidéastes, qui s’apercevraient alors de la volatilité de leur audience.
Mais entre subir les démonétisations sauvages de YouTube, les placements de produits plus que casse-bonbon et les financements collectifs, c’est quoi le moins pire des trois ? 🙂
On va commencer par un gros youtubeur francophone, John-John qui est en train de migrer petit à petit toutes ses vidéos de youtube vers son instance peertube. Y a du boulot de transfert, mais c’est déjà bien commencé 🙂
Dans la série des comptes et chaines à suivre de près, je vous conseille en espérant que votre instance est assez communiquante :
A la fin de la vidéo, j’ai eu eu mal à éteindre la machine virtuelle. J’ai eu la réponse sur le canal IRC. Il fallait installer les paquets ConsoleKit et upower0.
J’ai aussi rapporté l’ensemble des petits bugs que j’ai pu constaté pour améliorer la distribution. En tout cas, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à regarder la vidéo que j’ai pris à la faire.
J’ai voulu me livrer à ce petit exercice pour savoir si en partant d’une ISO d’installation avec les scripts, on pouvait installer une Archlinux avec Xfce en une grosse demi-heure.
C’est possible, mais il faut avoir une bonne connexion et un dépot qui dépote 🙂
J’ai donc enregistrer deux vidéos qui montrent l’installation d’une Archlinux avec une machine BIOS et une avec une machine UEFI.
Voici donc les deux vidéos, même si pour la version BIOS, j’ai oublié d’installer l’applet de NetworkManager, et pour celle de la version UEFI, j’ai oublié d’installer QuodLibet. Mais voir démarrer Xfce à chaque fois, quel plaisir 🙂
Et la version avec UEFI :
Bon visionnage, vous allez sûrement apprécier les aléas du direct qui rendent tout de suite plus « vivantes » les vidéos 🙂
Quand on a grandi entre 1975 et 1985, les références d’émission pour la jeunesse sont nombreuses. En dehors de l’ultra-connue « Ile aux enfants », il faut citer d’autres émissions. Commençons par « Les visiteurs du Mercredi » (1975-1982).
Diffusée par TF1 qui était encore une chaîne publique à l’époque, l’émission proposée par Christophe Izard fut présentée par Frédérique Hoshédé alias Dorothée (janvier à juin 1975), puis par Soizic Corne. Elle a permis de diffuser des dessins animés assez mythiques, comme la première génération de « Scooby Doo », « Le Capitaine Caverne », « Satanas et Diabolo », « Calimero » mais aussi des séries comme « Le Club des Cinq », « Matt et Jenny », « L’autobus à impériale ».
En face, une autre émission mythique, sur Antenne 2, avec Récré A2 (1978-1988). Autour de Dorothée, on retrouvait François Corbier, Jacky, Ariane, Cabu, William Leymergie, mais aussi Fabrice (qui présenta La Classe sur FR3 quelques années plus tard) ou encore Gérard Majax.
Et côté séries, la liste serait tellement longue que ce serait lassant. Mais citons entre autres, « Goldorak », « Candy », « Les mystérieuses cités d’or », « Albator » et « Albator 84 ». En images réelles ? « San Ku Kai », « Zora La Rousse », « Monsieur Merlin ». Et encore j’ai du en oublier.
Mon enfance a été bercée par les génériques les plus étranges et parfois vraiment clichés et stéréotypés qu’ils soient possible d’imaginer.
Préparer le pop-corn, y a du lourd. L’un des premiers génériques, c’est celui d’une émission produite par Christophe Izard. Non, ce n’est pas « L’Ile aux Enfants », mais « Les visiteurs de Noël » qui a été diffusé entre 1976 et 1982.
Générique entièrement animé, les clichés sont nombreux. Je vous laisse les découvrir. J’ai pris la version chantée par Marie Myriam.
Deuxième générique qui m’a marqué car long, et assez étrange (pour ne pas dire pire), c’est celui de la série « Les 400 coups de Virginie ».
Dans le précédent épisode, j’évoquais le massacre de certains génériques de séries japonaises et autres sentai produit entre 1975 et 1985 et diffusé sur les « trois chaines en couleurs » pour reprendre une partie des paroles de l’adaption de « No particular place to go » de Chuck Berry par Claude Moine alias Eddy Mitchell.
J’avoue qu’à l’époque, le nombre de séries américaines que je regardais proposait soit le générique d’origine, souvent instrumental soit en langue anglaise.
Cependant, il m’est resté en mémoire quelques séries dont parfois la traduction du titre d’origine est un massacre pur et dur. Commençons par la série maudite, « Diff’rent Strokes » (1978-1986), plus connu en France sous le nom de « Arnold et Willy ».
Cette série parle de l’adoption par un riche homme d’affaire de deux enfants noirs ceux de sa gouvernante mourante, joués par Gary Coleman et Todd Bridges. Cette sitcom est très célèbre. Mais le destin des acteurs et actrices est assez morbide.
Gary Coleman (Arnold) : ruiné par ses parents qui avait siphonné ses cachets, il sera condamné pour coups et blessures. Ne trouvant plus de rôle, il deviendra gardien de parking et décède en 2010 à l’age de 42 ans.
Todd Bridges (Willy en VF, Willis en version originale) : est tombé dans le duo drogue et alcool, puis a connu la prison.
Dana Plato (Virginia en VF, Kimberly en version originale) : arrêtée pour vol à main armée, a posé pour Playboy et a tourné dans un film érotique. Suicide par overdose de médicaments en 1999. Elle avait 34 ans.
Voici le générique original, avec la chanson anglaise. Au moins, la musique d’origine a été conservée pour la VF.
Passons ensuite à une des plus célèbres séries policières américaines, multi-rediffusée et encore de nos jours. Oui, je parle bien de « Starsky et Hutch », en version originale « Starsky and Hutch » (1975-1979).