Il devient quoi GNU/Icecat, le Mozilla Firefox à la sauce FSF ?

Dans le petit monde des navigateurs internet, il y a deux moteurs : celui de Chromium aussi connu sous le nom de Blink et celui de Mozilla Firefox, connu sous le nom de Gecko.

Et c’est tout. Pour les serveurs web, un navigateur sera reconnu comme Google Chrome ou comme Mozilla Firefox, plus rarement comme Safari.

Que ce soit pour Brave, Chrome, Opera ou encore Vivaldi, ou le nichesque Falkon (anciennement Qupzilla) pour KDE des sites comme Whatismybrowser ou encore sur la page dédiée de chez SmallSEOTools, la réponse restera la même : Chrome. Seul Gnome Web sera reconnu comme étant Safari, vous savez le navigateur maison d’Apple.

Dans le monde mozillien, que ce soit avec Firefox ou Librewolf et Waterfox, ce sera Mozilla Firefox qui apparaîtra. Seul Seamonkey est traité comme tel. N’oublions pas de mettre un voile pudique sur Palemoon qui mélange la paranoîa de ses créateurs et la continuation de technologies obsolètes comme UXP, continuation du XUL et des greffons NPAPI abandonnés par Mozilla Firefox avec la sortie de la version 57 en novembre 2017. N’oublions pas non plus la crise de nerfs quand en 2018 les mainteneurs de FreeBSD avaient voulu supporter le navigateur. J’ai failli oublier le TOR Browser, mea culpa !

Il ne reste plus qu’un navigateur dans la famille mozillienne dont je n’ai pas parlé, c’est GNU/Icecat, la version libérée – au sens GNUien du terme – de Mozilla Firefox.

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième vendredi du mois de septembre 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Un article sur la création sur Internet qui m’a franchement plu et que je voulais vous partager. C’est sur le blog de Corentin Quique.

Sur ce, bon week-end !

Nouveau bilan de ma dé-GAFAM-isation : quel bilan en septembre 2023 ?

La dernière que je consacrais un billet à ma dé-GAFAM-isation, c’était en juillet 2021. À l’époque, j’avais franchi un pas en mettant en place une instance Funkwhale. Mais depuis, rien n’a vraiment bougé.

Je n’ai aucune dépendance envers deux des cinq mastodontes : aucun produit de Microsoft, ni d’Apple.

Mes « dépendances » actuelles ?

  1. Un compte sur Facebook qui me sert à faire pas mal de choses, et non pas uniquement partager des photos de chatons.
  2. Un compte gmail, mon courrier électronique principal, qui existe depuis 2005, à l’époque, on s’inscrivait en recevant une invitation.
  3. Un compte sur Amazon pour tout ce qui est culturel. Il faut le dire, se passer d’Amazon, c’est dur, limite impossible vu sa place dans le domaine de la culture.

Et puis c’est tout. Je suis bien tenté par moment d’aller sur une instance diaspora*, mais je sais que j’y trouverai un vide intersidéral ou presque.

Je ne suis pas près à mettre en place mon propre compte de courrier électronique, c’est énormément de travail pour un résultat qui n’est pas forcément à la hauteur.

Bref, ça stagne, mais je peux difficilement faire mieux que ce que je fais actuellement.

Vieux geek, épisode 342 : ARJ, l’archiveur des années 1990.

Depuis les débuts de l’informatique, on archive et compresse des données, quelque soit le type : texte, image, son, etc.

Au fil des années, il y a eu des archiveurs qui ont marqué leur époque. L’archiveur roi des années 1990, c’était ARJ qui offrait une compression plus poussée que le grand classique zip de PKZip.

Pour la petite anecdote, c’est avec une archive arj multi-volume – traduire plus de deux disquettes – que j’avais récupéré à l’époque de mon service militaire un certain économiseur d’écran, « Johnny Castaway », dont j’ai parlé dans le billet n°243 de la série vieux geeks, en décembre 2020.

ARJ ? Archiver by Robert Jung. Il existe toujours le site arjsoftware.com où on peut récupérer la dernière version en ligne de commande (sortie en 2012(??), la version 2.86) et la version pour MS-Windows, ARJ32 en version 3.20 qui apporte le support de MS-Windows 7 et 8.

L’archiveur était aussi puissant que complexe au niveau de sa ligne de commande. Mais le mieux est de vous le montrer en action.

Vous avez pu voir que les commandes et options sont plutôt nombreuses et sentent bon la grande époque du MS-DOS tout puissant. On aurait presque l’impression d’être devant des outils GNU de coreutils, pour les linuxien(ne)s qui lisent l’article.

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier mercredi d’août 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Pour finir, une petite vidéo sur les nouveautés de la version 2.5 de « Tower and Dragon ».

Sur ce, bonne fin de semaine !

Entre le monde du rétro-ludique et le monde du libre, mon choix est fait.

Depuis plusieurs années, j’ai développé une série de billets orientés rétro-ludique avec des jeux fonctionnant sur des ordinosaures – ou les émulateurs – comme le Commodore 64, l’Amstrad CPC, le ZX Spectrum, les ordinateurs Atari 8 bits, voire l’Apple II.

Que ce soit avec « Tenebra » et sa suite « Tenebra 2 », « Attack of the Petscii Robots », « Planet X3 », « Briley Witch Chronicles » ou plus récemment « Tower and Dragon », j’ai pu constater qu’il n’y a pas de guerres de clochers aussi poussées comme dans le monde du logiciel libre.

Allez donc faire communiquer ensemble un Debianiste, un Ubuntero, un Manjariste ou encore un Archlinuxien. Tôt ou tard des bisbilles arriveront et les fanboys / fangirls (ne soyons pas sexiste) commenceront à s’étriper virtuellement.

J’évite de tels travers. Je suis à la fois Archlinuxien (PC fixe et Raspberry Pi 4), Manjariste (PC portable) et Debianiste (eeePC 1005 HAG). Je sens déjà que certaines personnes veulent sortir la grosse artillerie pour me flinguer, virtuellement parlant.

Que les personnes en question sachent une chose : tout commentaire inadéquat sera sucré sans autre forme de procès.

Pour finir, je prendrai une citation des Inconnus dans le sketch, « Jésus II, le retour » : « Vous allez finir par vous aimer les uns les autres, bordel de merde ? »

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier samedi du mois d’août 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Pour les personnes aimant les distributions GNU/Linux orientées sécurité, je demande la Kali Linux 2023.3.
  • Dans la série des distributions GNU/Linux qui proposent leurs propres environnements de bureau, je demande la Bodhi Linux 7.0, une base Ubuntu avec Moksha Desktop, un fork d’enlightenment.
  • Le dernier jeu d’aventure textuel de Sakis, « RODOLFO SKYLARRIENTE, THE ARCHAEOLOGIST » est sortie en version grecque, anglaise, espagnole et française.
  • Avec un peu de retard, souhaitons un bon anniversaire à MS-Windows 95 sorti le 24 août 1995. 28 ans, déjà !

Côté culture ?

Sortez les fourches et les torches : Gaston Lagaffe revient en novembre 2023 avec un autre dessinateur que Franquin (décédé en 1997).

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième samedi du mois d’août 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette semaine.

Sur ce, bon week-end !

« Tower and Dragon », une semaine après, qu’en dire ?

Il y a une semaine – au moment où je rédige cet article, le 18 août 2023 – que je parlais pour la première fois en long, en large et en travers du dungeon crawler « Tower and Dragon ».

Comme je le disais, j’étais impressionné par le niveau de finition, surtout quand on sait quelles contraintes techniques étaient imposées.

J’en étais à l’époque du premier billet arrivé au troisième niveau de la tour, sur les quatre plus le niveau du boss final qui est impressionnant. Pour tout dire, j’ai dû m’y prendre à 3 fois pour savoir comment gérer le boss et le vaincre.

J’avais quand même atteint le niveau 9 en terme d’expérience, ce qui voulait dire vider consciencieusement chacun des niveaux intermédiaires.

Certains adversaires m’ont botté durement l’arrière-train, comme les mini-démons qui sont vraiment une plaie à vaincre.

Sans spolier le jeu, la fin est vraiment touchante. Rien que pour cela, ça récompense le fait de s’être investi jusqu’à 35 minutes par niveau pour les explorer complètement, car les passages secrets sont plutôt nombreux.

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En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi d’août 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bonne fin de semaine !