En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième samedi du mois de juin 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bon week-end

L’outil run0 de systemd, un pataquès à venir pour pas grand-chose au final ?

À chaque nouvelle version majeure ou presque de systemd, sa polémique. Cette fois-ci, avec l’arrivée de Systemd 256, un clone de sudo a été développé sous le nom de run0. C’est une volonté d’écrire une alternative à sudo en se basant sur systemd-run. Ma source ? Cet article de programmez.com.

Mis à part le doas d’OpenBSD – qui est disponible aussi sur Archlinux via AUR entre autre ou encore sur la Debian 12 – qui n’a pas eu droit à des grands cris d’orfraie à sa sortie, il n’y a pas grand-chose côté outils permettant une élévation temporaire des privilèges.

En passant, bien que certains outils de Systemd existe comme le ntpd connu sous le nom de systemd-timesyncd ou encore l’outil de connexion réseau systemd-networkd n’a pas éradiqué Network Manager, on peut aisément penser que run0 ne tuera pas sudo.

D’ailleurs, si on entre run0 tout seul, c’est comme si on utilise la commande su. On est connecté au compte root. Si on entre une commande après le run0, l’outil se comporte comme sudo.

Mais le mieux est de montrer quelques fonctionnalités basique de run0, le tout dans une machine virtuelle avec une Archlinux proposant KDE. J’ai dû utiliser les dépôts de test – car au 7 juin 2024, moment où je rédige l’article – pour avoir accès une version quasi-finale de systemd 256, sa quatrième release candidate.

Vous avez pu le voir, il n’y a rien de maléfique dans cet outil. Comme pour systemd-timesyncd ou systemd-networkd, il n’y a aucune obligation à l’utiliser. Je vais rester fidèle à ce bon vieux sudo. Sûrement de vieilles habitudes que j’ai du mal à me séparer.

« The Key » en version française. L’attente en valait la peine.

Le jeu d’aventure point’n’click à la troisième personne pour Amstrad CPC est enfin sorti en version française. Il faut dire que la traduction, c’est quelque chose de long, rébarbatif et franchement casse-pieds surtout quand on doit jongler avec une quantité de mémoire vive restreinte.

J’ai enfin pu jouer à la VF, et mis à part deux bugs de traduction sur lesquels je reviendrai, le jeu reste jouable. C’est le principal. Les bugs de traductions ? Dans un couloir, il y a un buste que l’on peut examiner. Au lieu de « examiner buste » on a « examiner casser ».

Le deuxième ? Dans la salle de bain, au lieu de « examiner vidange », on a « examiner vidanger ».

Et c’est tout. Du moins, ce que j’ai pu voir en allant directement à la solution la connaissant ayant déjà fait un longplay de la version anglaise.

Donc voici la solution complète de la version française. Bon visionnage. Bien entendu, si vous voulez finir le jeu par vous-même, ne regardez pas la vidéo 🙂

À ce que j’ai pu lire sur twitter, pardon sur X, la deuxième partie de l’histoire est en cours de création, en espérant que les traductions en anglais et en français soient rapidement disponibles 🙂

La scène rétroludique du Commodore Vic20 est parfois impressionnante.

Dans un article de juillet 2023, je faisais par de mon étonnement face aux titres sortis sur ordinosaures, principalement orienté vers le Commodore 64 qui est devenu un coup de coeur sur le tard, n’ayant pas eu accès à un vrai Commodore 64 durant sa période d’exploitation commerciale.

Le Commodore Vic20 est une plateforme qui me parle un peu moins. Cela n’empêche pas la sortie de titres que l’on pensait théoriquement impossible sur le Commodore Vic20… Ok, il est souvent recommandé d’avoir une extension mémoire de 32 Ko pour les titres dont je vais parler dans cet article.

C’est en découvrant le shoot’em’up « Future Fighter » pour le Commodore Vic20 en configuration par défaut avec sa petite nouveauté de faire perdre des points quand les ennemis atteignent le bas de l’écran, que j’ai pris connaissance des créations de Mika « Misfit » Keränen.

Elles sont assez nombreuses et on doit frôler la bonne vingtaine. Dans le lot, il y a deux titres qui poussent les limites du Commodore Vic20, c’est par ordre chronologique « Pentagorat » (2016) et « Cheese and Onion » (2017) et dont la dernière révision date de 2021.

Continuer la lecture de « La scène rétroludique du Commodore Vic20 est parfois impressionnante. »

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier mercredi de juin 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Puisque j’ai parlé de systemd-boot, autant republier cette vidéo qui montre l’ajout ou la suppression dans Systemd-boot. Plutôt simple à vrai dire, loin des complexités grubesques 🙂

Sur ce, bonne fin de semaine !