Micro-R OS : RIP, Déjà ?

Dans les vidéos que je poste sur youtube et qui alimentent les articles de cet humble blog, j’ai parfois des questions plus ou moins techniques, voire pas technique du tout.

Une personne m’a posé la question suivante : « Quelle est la pire distribution que tu as testé ? »

J’avoue que j’ai du réfléchir cinq bonnes minutes avant de répondre. Deux distributions se bousculaient dans mon esprit. PearOS (mais qui avait quand même le mérite de rester utilisable), et Micro-R OS. J’ai donc choisi cette distribution dans ma réponse.

Pour info, à l’époque de l’article, en septembre 2014, la version 1.0 était proposée à la fois en 32 et 64 bits.

J’ai eu donc envie de voir si la distribution survivait encore, annonçant de manière un peu péremptoire qu’elle ne passerait pas la fin de l’année 2014. La dernière annonce sur le blog (et l’avant dernier billet de celui-ci) annonce dans un anglais tout à fait scolaire et rempli de fautes qu’un élève de quatrième avec déjà 3 ans d’apprentissage dans la langue de Shakespeare ne ferait pas :

Micro-R OS was available in a new version. More easy, more powerful, more stable, more light and more speed.

In two version: English and French. Mounted on a 32-bit achitecture (i386) for adapt to all types of hardware.

The 1.3 i386 LTS version was the final version of Micro-R OS and is supported until 2019.

If you need helps contact us or read the documentation.

Je ne vais pas faire mon prof d’anglais, mais déjà annoncer une sortie en employant le verbe « to be » au prétérit (en gros l’équivalent soit de l’imparfait soit du passé simple français), ça fait mal. La première phrase se traduisant par : « Micro-R OS était disponible dans une nouvelle version. »

Lapsus révélateur ? 🙂

On sent qu’un outil de traduction automatique aurait presque fait mieux. De plus, la dernière phrase ne veut rien dire. Sauf erreur de ma part, le mot « help » se traduisant par « aide » ne prend jamais de « s ».

Mais cessons d’être taquin. J’ai récupéré l’ISO et je l’ai installé sans la mettre à jour. Même si le site annonce un support jusqu’en 2019, j’ai envie de faire une chose tout à fait basique : installer les mises à jour de la distribution basée sur Ubuntu.

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Double coup de gueule libriste : la Blag Linux et les versions LTS+1 d’ubuntu et de ses dérivées.

Oui, deux coups de gueule pour le prix d’un. Le premier concerne la Blag Linux qui me semble être une distribution où la mauvaise foi est congénitale. J’ai étrillé la distribution dans un article en date du 23 octobre 2014.

Dans l’article en question, avec capture d’écran à l’appui (et avec une capture vidéo aux alentours de la 4ième minute), on pouvait lire sur la page de l’outil de suivi qu’une version stable à venir était prévue pour le 22 octobre 2014.

Que peut-on lire maintenant ?

BLAG 200000 is available for testing. There are 32bit and 64bit isos for GNOME, LXDE, MATE, MINI and XFCE. You can contribute to the development of this release by downloading your desktop of choice, testing and providing feedback on our developers mailing list or chat with us on IRC.

Ce qu’on peut traduire par :

La BLAG 200000 est disponible pour les tests. Il y a les ISOs 32 bits et 64 bits pour GNOME, LXDE, MATE, MINI et XFCE. Vous pouvez contribuer au développement de cette version en téléchargeant votre bureau de choix, tester et fournir des retour vers nos développeurs via liste de diffusion ou discuter avec nous sur IRC.

Et la goutte d’eau qui fait déborder le vase ? L’annonce de publication de la version qui s’avère être une… version alpha ! En clair, on est passé (capture d’écran et vidéo à l’appui) d’une version dite stable à une alpha qui est le premier stade de développement d’une distribution !

Si cela n’est pas du « on se moque du monde » en version XXXL, qu’est-ce que c’est ? Autant dire que le projet GDNewHat qui était vraiment utilisable, modulo le caricatural GNU/Icecat fourni avec la distribution s’est sabordé pour rien.

Autant dire que désormais, vous n’entendrez plus parler de cette escroquerie technique qu’est la Blag Linux.

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L’ubuntu-bashing : un effet de mode pour bien se faire voir dans certaines communautés linuxienne ?

Il y a une tendance latente dans le petit monde des utilisateurs de distributions GNU/Linux, surtout quand ceux-ci après s’être fait les dents sur Ubuntu partent vers des distributions plus techniques, voire carrément sur des distributions mères, comme la Debian GNU/Linux par exemple.

C’est de casser, avec une mauvaise foi digne de celles des personnes prises les doigts englués dans le pot de confiture, Ubuntu en lui faisant porter la responsabilité de tous les malheurs du monde.

Un peu comme les personnes qui s’étonnent actuellement que la version alpha de MS-Windows 10 récupère des données via un outil à la keylogger pour avoir des informations technique à exploiter par la suite et améliorer le produit final.

Ce sont aussi les mêmes personnes qui vont mettre des données plus ou moins intime sur leur compte chez le fesseur de caprins et de s’étonner qu’on sache tout d’eux. Mais passons.

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Toi aussi, deviens un expert linuxien… Crée ta distribution GNU/Linux grâce à RemasterSys… C’est tellement bien pour ton CV :D

Si les dérivées d’Ubuntu ont eu tendance à se démultiplier, pour le meilleur (la Linux Mint) comme le pire (non, pas de liste, ce serait trop long), c’est grace à des outils dédiés, dont un, RemasterSys

Même si le logiciel n’est plus développé sous ce nom, suite à une lassitude du développeur d’origine (cf la gueulante ci-dessous), il est toujours possible d’installer l’outil et d’appliquer une légère modification pour que le tout fonctionne encore du moins avec les Ubuntu 14.04 LTS.

Pour la gueulante ?

I have been doing this for almost 7 years now and after all the bs some folks created for me I have decided to stop development of remastersys and it will no longer be available.

Ce qui donne traduit :

J’ai travaillé dessus pendant près de 7 ans maintenant et après toutes les conneries (NdT: bs étant la réduction pour bullshit) que certaines personnes ont faites pour moi, j’ai décidé d’arrêter le développement de remastersys et il n’est plus disponible.

Est-ce à dire que l’auteur en a eu marre des distributions GNU/Linux qui se multipliaient comme des petits pains ? Apparemment, le projet existerait encore sous le nom de Black Lab au coût 50$ pièce avec des mises à jour à vie.

J’ai donc voulu créer ma propre distribution GNU/Linux simplement. J’ai pris une Xubuntu 14.04 LTS que j’ai très légèrement modifié :

  1. Remplacement du duo Abiword et Gnumeric par LibreOffice
  2. Remplacement de Parole par VLC
  3. Remplacement de gmusicbrower par Quodlibet
  4. Fond d’écran différent
  5. Utilisation du thème Numix
  6. Petit barre de taches en bas (non conservée durant la création de l’ISO ?)

Ensuite, j’ai lancé remastersys-gtk. J’ai demandé à ce qu’il utilise ma personnalisation (section « User whose current settings will be used as default »), puis j’ai lancé la création de l’ISO.

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Emmabuntüs 3 : le retour de la distribution GNU/Linux anti-gaspillage.

Ah, l’Emmabuntüs… J’avais déjà parlé de sa version 3 quand elle était en bêta, et quelques mois auparavant lors d’une révision de sa version 2. Comme sa version 2, la Emmabuntüs se base sur la Xubuntu LTS à savoir la 14.04 pour la version 3, la version 2 étant basée sur la Xubuntu 12.04 LTS.

Avec la Handy Linux, c’est une distribution qui est dédiée, mais pas uniquement, aux vieilles machines et à leur recyclage pour éviter des scandales écologiques comme celui de la pollution au Ghana.

Ayant été invité par un des développeurs principaux de la distributions à aider au débogage de cette version, j’ai eu droit en avant première à une image ISO de la version 3. J’ai récupéré l’ISO en 64 bits, sachant qu’il existe aussi une version en 32 bits. Et non, je ne donnerais aucun lien, étant donné que la publication officielle est prévue pour le premier septembre 2014.

Donc, c’est avec environ 48 heures d’avance  que je vais vous présenter en capture d’écran et en vidéo la nouvelle version de la Emmabuntüs qui aura été longue à déboguer. Seule information que je peux vous donner, c’est que la première version finale est la cinquième release candidate.

Il y avait de nombreux petits bugs dans la version bêta dont j’ai parlé en juin 2014, et qui ont été corrigés : le menu de démarrage est entièrement francisé, la résolution écran est correcte dès le départ dans une machine Virtualbox fraîchement installée, Cairo Dock est lisible. Mais parlons des petites nouveautés.

On peut noter la présence des extentions https everywhere et de la page de démarrage startpage dans le navigateur, une synthèse vocale pour les personnes ayant des problèmes de vue, la possibilité d’enlever les langues inutilisées dans la distribution, le tout de manière très simple et automatisée.

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La Ubuntu MATE, enfin un espoir raisonnable pour les fans de Mate Desktop et d’Ubuntu ?

En mai 2013, je faisais un article au vitriol sur l’éléphantesque Australis LTS, un peu la MateBuntu qui manquait à l’appel. Mais la distribution en question était tellement lourde (9 Go), et si contradictoire avec l’esprit de légèreté qu’on attribue à Mate Desktop, que je concluais l’article ainsi :

Comment conclure ? Si vous voulez tuer tout l’intérêt de Mate Desktop, à savoir avoir une environnement léger, qui répond en un claquement de doigts, cette distribution sera celle qui vous conviendra le mieux. Sans oublier que contrairement à d’autres dérivées d’Ubuntu, celle-ci ne permet pas de récupérer les traductions à l’installation (ou aurais-je manquer l’option ?), ni de les gérer facilement 🙁

Cette distribution a tellement voulu personnaliser Mate Desktop qu’elle en fait trop, et devient insupportable à l’utilisation, surtout si on veut retrouver la rapidité d’un Gnome 2.x, dont Mate Desktop est le descendant technique. Dommage, mais je pense qu’une « Matebuntu » plus ou moins officielle aurait son public.

Lisant la gazette hebdomadaire de Distrowatch, j’ai pu lire que la Ubuntu MATE a fait une demande pour être listée comme une dérivée officielle de la Ubuntu.

En effet, sur le billet qui annonce la préparation et l’arrivée de la beta 1, on voit que l’équipe a déposée une demande d’intégration dans la courte liste des dérivées officielles.

Outre le fait que ce serait une excellente nouvelle et éviterait des choses comme la Australis LTS), cela permettrait d’offrir une solution de bonne qualité et surtout légère aux fans de Mate Desktop.

Pour voir ce que la Ubuntu MATE à dans le ventre, et n’ayant pas envie d’attendre la sortie de la Beta 1 (prévue pour le 28 août), j’ai récupéré l’ISO de l’alpha 2 et je la mettrais à jour en utilisant apt-get. Le tout dans une machine virtuelle VirtualBox. Autant dire qu’à trois jours de la sortie de la beta 1, j’aurais une version très proche de ce que sera la beta 1 réelle.

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Trisquel GNU/Linux 7… Un espoir en vue pour les distributions 100% libre ?

Dans le petit monde des distributions GNU/Linux 100% libre au sens de la Free Software Foundation, il n’y a pas grand nombre de distributions qui soit à la fois fraiche et libre. Il n’y a que la Parabola GNU/Linux pour rester réaliste et dans une moindre mesure, la Trisquel GNU/Linux avec sa version 6.0. Cette dernière sortie avec près d’un an de retard sur sa base Ubuntu 12.04 LTS avait mis à mal sa réputation.

Fouillant sur la liste de publications concernant les utilisateurs, j’ai vu quelques fils qui réclament à corps et à cris une Trisquel GNU/Linux. Sur un d’entre eux, j’ai pu voir qu’il y a avait une adresse pour récupérer une pré-version de la Trisquel GNU/Linux 7 alias Belenos.

J’ai donc fait chauffer mon wget et j’ai récupéré une ISO internationale pour tester la nouvelle mouture de cette distribution GNU/Linux 100% et utilisable sans trop de limite. J’ai pu trouver une ISO du 7 août 2014.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://devel.trisquel.info/makeiso/iso/trisquel_7.0-20140807-i18n_amd64.iso
–2014-08-21 07:44:48– http://devel.trisquel.info/makeiso/iso/trisquel_7.0-20140807-i18n_amd64.iso
Résolution de devel.trisquel.info (devel.trisquel.info)… 91.121.223.90
Connexion à devel.trisquel.info (devel.trisquel.info)|91.121.223.90|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1590689792 (1,5G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « trisquel_7.0-20140807-i18n_amd64.iso »

100%[====================================>] 1 590 689 792 1,07MB/s ds 14m 5s

2014-08-21 07:58:53 (1,80 MB/s) — « trisquel_7.0-20140807-i18n_amd64.iso » sauvegardé [1590689792/1590689792]

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SymphonyOS 14.1 : un phénix un brin déplumé ?

Il y a des projets dont on se dit qu’ils sont morts et enterrés. C’était le cas pour moi avec le projet SymphonyOS qui n’avait plus donné signe de vie depuis 2009. En faisant ma visite matinale et quotidienne sur Distrowatch, j’ai lu une annonce sur la renaissance de SymphonyOS, avec l’annonce d’une version béta, la 14.1.

Après m’être pincé pour voir si je ne rêvais pas, j’ai été sur la page officielle et j’ai récupéré cette distribution qui s’avère la énième dérivée d’Ubuntu 14.04 en date.

Je me souviens plus quelle était la base de la SymphonyOS en 2009. Mais comme pour les versions précédentes, elle utilise un environnement de bureau spécifique, Mezzo.

Vous prenez le vénérable fvwm, vous lui rajoutez une interface utilisant le moteur de rendu Webkit (en gros celui de tous les navigateurs sauf de Mozilla Firefox, Seamonkey et Internet Explorer), et voila 😉

La page sur les 10 ans de SymphonyOS résume bien l’ensemble du projet.

J’ai donc utilisé mon ami wget pour récupérer l’ISO (qui n’est qu’en 32 bits pour le moment), et j’ai lancé le tout dans une machine VirtualBox.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://eu.symphonyos.com/SymphonyOS-14.1-i386.iso
–2014-08-18 08:12:00– http://eu.symphonyos.com/SymphonyOS-14.1-i386.iso
Résolution de eu.symphonyos.com (eu.symphonyos.com)… 188.226.131.12
Connexion à eu.symphonyos.com (eu.symphonyos.com)|188.226.131.12|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 922746880 (880M) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « SymphonyOS-14.1-i386.iso »

100%[======================================>] 922 746 880 1,93MB/s ds 8m 10s

2014-08-18 08:20:10 (1,80 MB/s) — « SymphonyOS-14.1-i386.iso » sauvegardé [922746880/922746880]

J’ai démarré directement sur l’installateur. Pour avoir un clavier en français (car la gymnastique mentale pour transformer un clavier Azerty en Qwerty de bon matin, bof !) et pouvoir utiliser la distribution avec plus de souplesse.

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ElementaryOS « Freya » beta 1 : tout ça pour ça ?

La sortie officielle de la beta 1 de la ElementaryOS « Freya » met fin à un battage médiatique qui court depuis le début de l’année 2014 dans le petit monde des distributions GNU/Linux.

Basée sur la Ubuntu 14.04 LTS, elle apporte une interface « novatrice » (sauf si on connait l’apparence générale de MacOS-X), Pantheon. On apprend dans les notes de publications que cette première béta est basée sur Ubuntu 14.04.1 LTS, qu’un outil de gestion de comptes en ligne spécifique nommé « Pantheon Online Accounts« , que le support de l’UEFI est encore en cours. Sans oublier une poignée de bugs typiques d’une version béta.

Qui dit Ubuntu 14.04.1 LTS, dit noyau linux 3.13 (abandonnées par les développeurs depuis le 22 avril 2014, problème lié au gel de la Ubuntu 14.04.x LTS), mais aussi une salo…saleté de bug quand on installe une Ubuntu 14.04.x (ou une de ses dérivées) dans VirtualBox : une résolution maximale de 640×480. Il faut alors installer le paquet virtualbox-guest-x11 et redémarrer pour contourner le dit problème.

J’ai récupéré via Bittorrent l’ISO (comme conseillé) dans l’article qui annonce la sortie de la version « Freya » béta 1 d’ElementaryOS, et j’ai ensuite créé une machine virtuelle VirtualBox pour la suite de l’article.

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Peach OSI : suite et fin… C’est vraiment de la distribution à oublier.

Dans un article récent, je taillais une croupière haut de gamme à la Peach OSI, surtout à cause d’un serveur qui était aussi lent qu’une tortue rhumatisante à trois pattes.

En effet, je constatais une vitesse de récupération de 25 Ko/s. Ayant envie de ne pas rester sur cet échec, j’ai retenté ma chance aujourd’hui. Même si je n’ai pas eu une vitesse digne de ma connexion ADSL 20 Mbps, j’ai réussi à avoir une vitesse honorable, même si j’ai eu droit à des coupures de téléchargement récupérable via l’outil wget. Heureusement, j’ai pu vérifier la validité de l’ISO finale avec le fichier MD5 fourni.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://www.peachosi.com/sites/default/files/DownloadFiles/PeachOSI.14.04.64Bit.iso
–2014-07-28 09:08:49– http://www.peachosi.com/sites/default/files/DownloadFiles/PeachOSI.14.04.64Bit.iso
Résolution de www.peachosi.com (www.peachosi.com)… 23.229.196.156
Connexion à www.peachosi.com (www.peachosi.com)|23.229.196.156|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 2456813568 (2,3G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « PeachOSI.14.04.64Bit.iso »
[…]
–2014-07-28 09:27:05– (essai : 3) http://www.peachosi.com/sites/default/files/DownloadFiles/PeachOSI.14.04.64Bit.iso
Connexion à www.peachosi.com (www.peachosi.com)|23.229.196.156|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 206 Partial Content
Taille : 2456813568 (2,3G), 1622540529 (1,5G) restant [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « PeachOSI.14.04.64Bit.iso »

100%[++++++++++++========================>] 2 456 813 568 1,00MB/s ds 31m 50s

2014-07-28 09:59:05 (829 KB/s) — « PeachOSI.14.04.64Bit.iso » sauvegardé [2456813568/2456813568]

J’ai ensuite créé une machine virtuelle dans VirtualBox pour tester cette énième dérivée de la Ubuntu.

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