En vrac rapide et libre.

Un petit en vrac’ rapide et libre matinal.

C’est tout pour aujourd’hui. Petit en vrac’, mais costaud au final 😉

Petite piqûre de rappel : Ce qui nous attend avec Loppsi 2…

Une petite vidéo pour se souvenir que la loppsi signifie la fin de la neutralité d’internet…

Tout cela au nom de la lutte contre la pédopornographie… La réaction de l’association l’Ange Bleu n’est pas piquée des hannetons.

Un site filtré une heure pourra sans aucun obstacle migrer vers un nouveau serveur l’heure suivante. Tant que le diffuseur n’aura été arrêté et le contenu détruit, ce dernier restera toujours présent sur la toile.
Des techniques permettent de contourner anonymement les filtrages imposés par les autorités, par l’usage par exemple de proxys.
[…]
Il est fort à craindre en effet que les diffuseurs de pédopornographie prennent acte de ce dispositif pour déployer toutes les ressources en leur possession afin de sécuriser et renforcer leurs traffics si ce n’est déjà fait. De part notre expérience auprès du public concerné, nous confirmons qu’aucun filtrage d’Internet ne saura répondre aux objectifs visés.
[…]
Le célèbre site d’encyclopédie en ligne fut bloqué dans ce pays selon le principe repris par la LOPPSI de filtrage des contenus pédopornographiques, après avoir renseigné leur liste noire d’une seule de ses pages présentant la pochette de l’album « Virgin Killer » du groupe Scorpions.

Ce pays étend désormais le filtrage à beaucoup d’autres contenus que la seule pédophilie ce qui pour nous constitue une source supplémentaire d’inquiétudes. En effet et pour faire un parallèle, pensons au précédent du fichage ADN en France. Quels usages en a-t-il été fait au cours de cette décennie ? Initialement destiné spécifiquement aux grands criminels, il a peu à peu été étendu à des catégories de délits mineurs jusqu’à toucher aujourd’hui les sans-papiers, les faucheurs OGM, voire des manifestants.

Et une dernière pour la route…

Maintenant, vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas…

Jolicloud 1.1 : l’informatique nuageuse en action ou quand la route de l’Enfer est pavé de bonnes intentions…

Après la grande mode du web 2.0, le « cloud computing » (en gros, tout sur l’internet, rien en local) risque de devenir la nouvelle mode. Avant la sortie prévue du Google ChromeOS d’ici quelques semaines, j’ai voulu voir à quoi ressemblait JoliCloud dont la version 1.1 est sortie récemment.

Comme d’habitude, j’ai utilisé l’environnement de test classique : 32 GiO de disque virtuel, 1,5 GiO de mémoire vive :

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f raw disk.img 32G Formatting ‘disk.img’, fmt=raw size=34359738368 [fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom Jolicloud-1.1.iso -boot cd &

Au démarrage, on peut soit démarrer en liveCD classique, soit directement installer l’OS. pour commencer j’ai choisi la version live.

A noter que le fond d’écran de démarrage est soigné.

Continuer la lecture de « Jolicloud 1.1 : l’informatique nuageuse en action ou quand la route de l’Enfer est pavé de bonnes intentions… »

En vrac’ rapide et libre

Un petit vrac’ rapide et libre pour finir la semaine.

C’est tout pour aujourd’hui !

Bluegriffon… Evolution rapide…

Sur le blog de BlueGriffon, Daniel Glazman annonce les avancées. Le 23 novembre, l’éditeur CSS devient franchement « intelligent » et intègre une option pour ajouter les préfixes aux CSS en fonction du navigateur. La vidéo est bluffante, et le résultat sympa.

Et aujourd’hui, Daniel annonce l’arrivée de la version française… Qui est disponible depuis la révision 398 du code de BlueGriffon. Quelques captures d’écran… Daniel, pitié, ne m’incendie pas pour les captures d’écran qui suivent…

Choix de la langue dans BlueGriffon

Les crédits et l'interface en français

L'éditeur de CSS en français

Pour tout dire, BlueGriffon est un outil qui est en train de me réconcilier avec la création de pages en HTML… Et c’était pas gagné d’avance, étant donné que j’utilise la plupart du temps des CMS comme WordPress.