En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier mercredi de mars 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans le petit monde des BSDs libres, je demande la dernière révision en date de la branche 13 de FreeBSD alias FreeBSD 13.3.
  • Le bureau Linux bat des records. 4% en ce début mars, dixit StatCounter. On sabre le champomy ? 😀
  • Dans le genre bizarreries, je demande un projet désirant porter Nix sur FreeBSD. Son nom ? NixBSD 🙂
  • Fan de jeu d’aventure textuel ? Alors la sortie de la revision 13 du jeu « The Ghosts of Blackwood Manor » vous plaira. Il est assez costaud. J’essaye de le résoudre et je suis arrivé au deuxième jour du jeu presque par hasard… Ça pique !
  • Dans le genre « distributions de niche », je demande « Minki’s Crappy Linux » qui demande au minimum un 486DX2 66Mhz et 4 Mo de mémoire vive. Autant dire que c’est dépouillé 😉

Côté culture ?

Vous vous souvenez des Forces de Protection (FDP) de Tubonia ? Un album dérivé de l’univers en question et intitulé « Le Soulèvement des Viouveurs » est disponible à la précommande sur Ulule. Les précommandes se termineront fin mars.

Sur ce, bonne fin de semaine !

« Les sirènes ne mettent pas des bottes », le retour attendu de Have The Moskovik.

Have The Moskovik est un groupe de post-rock français que je suis depuis leur premier album, « Une Simple Th​é​orie des Glaces en Terrasse » sorti en 2011. Je les ai découvert courant 2012.

J’attendais avec impatience leur quatrième album. Et je n’ai pas été déçu par le résultat.

On commence avec un titre assez lourd, « 30CrNiMo8 » ce qui n’est pas déplaisant. Dès la deuxième piste, on retrouve la classique mélodie appliquée sur un texte parlé.

Dans les textes, on trouve des extraits d’Arthur Raimbaud pour la piste « Pas une dentelle d’été » et de Charles Baudelaire pour la piste « De vin, de poésie ou de vertu ». Comme quoi on peut se cultiver en écoutant du post-rock. Tout est donc possible 🙂

Une piste instrumentale « Asparagus acutifolius » s’insinue entre les pistes « textes » pour apporter un peu de variété à l’album. Elle est très bonne et on ne voit pas les quelques 7 minutes passer.

Pour conclure, c’est un excellent opus des Have The Moskovik. Au moment où je rédige l’article, le 1er mars 2024 je n’ai pas encore acheté l’album en version physique, mais c’est prévu pour courant mars 2024 si tout va bien.

« Encastés », ma dernière publication en auto-édition.

L’année 2024 est une année chargée en ce qui concerne mes productions en auto-édition. Après le dernier volume de la trilogie « Trois femmes », voici donc un court roman dystopique que je définirai ainsi : une louche de « Meilleur des mondes », une couche de « 1984 ». Autant dire que c’est un monde rempli de joies que je décris dans ce petit livre d’une grosse centaine de pages.

Pour l’anecdote, c’était un texte que j’avais écrit il y a environ 4 ans et que j’avais un peu oublié. Je l’ai retrouvé en faisant quelques recherches. Je l’ai relu, lui a passé une bonne couche de correction grammaticale et orthographique. J’ai rajouté une préface et une postface pour compléter l’ensemble.

Le bouquin est disponible au format numérique sans DRM et au format papier sur Amazon. Oui, je sais, c’est un méchant des Gafam mais c’est aussi le seul qui propose gratuitement de publier des textes…

J’ai fait une petite vidéo pour présenter rapidement le bouquin.

Je n’ai plus qu’une chose à vous souhaiter, c’est une bonne lecture. Je pense que je ne vais plus rien publier jusqu’à la fin de l’année, histoire d’avoir de la matière à retravailler 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi de février 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Vous aimez le black metal atmosphérique avec une dose de death metal ? Alors l’album de RHÛN, intitulé « Conveyance in Death » pourrait vous parler.

Sur ce, bonne fin de semaine !

« underboro », le retour en fanfare de Romeo Bovin.

Il y a plus de deux ans, je parlais du précédent album de Romeo Bovin, « oblikva ».

J’ai été contacté par lui pour me parler de son dernier opus, « underboro ». C’est un album de longueur moyenne, avec 8 pistes pour un peu moins de 36 minutes. On est sur des pistes assez courtes.

Dès la première piste éponyme, on retrouve le style qui a fait le succès du premier album. Une espèce de dialogue entre les percussions et les synthétiseurs, avec ce fond éthéré qui entraîne l’auditeur. On peut y rajouter la quatrième piste « black hole » ou encore la piste « hover » ou « swirl ». Autant dire que c’est le style majeur de l’album.

La deuxième piste est un peu plus post-rock dans sa composition. On peut y ajouter la piste « rush » qui redonne un coup de fouet à l’album après plusieurs pistes assez calme.

Avec la troisième piste, on a une composition digne d’un orchestre de musique classique.

On conclue avec « elsewhere » qui reprend la lignée de la première piste.

Au final, c’est un album que j’ai bien aimé, car il est reposant d’écoute. Ce qui fait du bien par moment.