Quand un blog consacré à l’auto-édition relance la machine à fantasmes…

Je suis un auteur auto-édité depuis l’année 2014, mais en gardant à l’esprit que pour une personne élue, il y a 100000 personnes déçues. C’est pas franchement mieux que la rentrée littéraire de septembre où chaque année il y a plusieurs centaines de titres qui sont publiés en un mois. 524 pour septembre 2019…

Passant principalement par Atramenta et en complément par Amazon, j’ai touché énormément d’argent via les canaux en question. En tout et pour tout, depuis 2014, sur Atramenta ?

Et sur Amazon ?

Un calcul rapide m’indique qu’en ayant fait juste le minimum de publicité, à savoir quelques articles de blog, quelques tweets, j’ai touché environ dans les 230€…

Quelle fortune ! Pour tout dire, et parlons d’argent, le plus que j’ai pu toucher dans le monde de l’édition, c’est quand j’ai eu la chance en 2014 de signer un contrat avec Larousse pour un livre sorti pour les fêtes de fin d’année…

Les avances versées sont remboursées par les ventes, ce qui a fait que je n’ai eu des royalties qu’en 2018 ! Il y en a pour 2000€, oui, mais c’est du brut. Il faut sortir 20% de cotisations diverses et variées. Donc, j’avais pu touché en l’espace de quelques mois six fois plus que l’auto-édition m’a rapporté en cinq ans !

Mais pourquoi ce pavé, me direz-vous ? C’est juste pour parler d’un article rapidement écrit – du moins vu son argumentation, c’est à espérer – publié sur un blog dénommé « L’instant auto-édité » qui est hébergé par WordPress via un service de réservation de nom de domaine home.blog. En clair, du gratuit 🙂

Si vous connaissez la loi de Brandolini, vous vous doutez bien que la suite va être saignante… Je ne ferai pas mon grammar nazi, car ce serait mal venu. Tout le monde peut fait des fautes d’inattention.

Pour info, voici comment on résume la dite loi : « La quantité d’énergie nécessaire pour réfuter des idioties est supérieure d’un ordre de grandeur à celle nécessaire pour les produire. « 

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En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Avec un vent à décorner tous les cocus de la Terre !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui !

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui !

Bonne journée 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Assez court cette semaine, l’inspiration pointant aux abonnées absentes !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui !

Bon week-end 🙂

Auto-édition, le retour :)

Un blogueur très connu et ultra-influent – tiens, mon cynicomètre vient d’imploser ! – sur la blogosphère francophone a fait une remarque qui m’a marqué. Je le cite :

« Et puis, je me suis trouvé d’autres hobbys, comme le jardinage, le bricolage… je me suis aussi replongé dans d’anciens hobbys comme l’aquariophilie et les consoles de jeux. »

Je dois dire que l’informatique libre me gonfle pas mal, surtout à cause des personnes engoncées dans leurs dogmes et qui oublie que l »es faits sont têtus » (Lénine) et que ce n’est pas aux faits à se plier aux théories et aux opinions mais l’inverse. Une théorie qui est démentie par les faits est une théorie à abandonner. C’est aussi simple que cela.

Mais sur ce point, je n’ai pas envie de revenir, sachant que je serais constamment contredit. Mais peu importe au final.

Je vais rapidement parler d’un projet que je suis en train de terminer. Pour placer rapidement le contexte, il y a environ un an, je suis allé passer une semaine auprès de mes amis et de mes filleuls. J’avais envie de leur faire un cadeau plus intéressant que la dernière console de jeu à la mode.

J’ai donc commencé la rédaction d’un conte de trois pages. Comme ils avaient accroché, j’en ai fait d’autres. Les textes se sont accumulés, et au final, il y en a une trentaine. J’en ai terminé la rédaction en avril 2019. J’ai tout posté sur Atramenta.

Je tiens à remercier Péhä pour la couverture. J’ai décidé de m’attaquer à la relecture des textes récemment pour corriger les inévitables coquilles, qu’elles soient grammaticale, orthographique ou encore des oublis de mots. Au moment où j’écris ce billet, j’ai retouché déjà un tiers des textes sur le plan grammatical et orthographique.

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« Maddie, si tu savais… », le nouveau roman réussi d’Isabelle Rozenn-Mari.

S’il y a une auteure que je suis depuis pas mal d’années, c’est bien Isabelle Rozenn-Mari. En janvier 2018, je parlais de son précédent roman, orienté suspense « Les larmes d’Alyssa ».

J’ai été contacté par Isabelle au mois d’avril 2019. Elle m’avait demandé si je voulais être un des bêta-lecteurs de son nouveau roman. Après la fantaisie de son cycle « Les enfants de Dana », Isabelle s’est lancé dans une histoire teintée de science-fiction. Ici, nul extra terrestre à peau verte ou vaisseau spatial.

Le quatrième de couverture est plutôt parlant et intrigant :

Un regard, et tout bascule.
Entre Matthieu et Maddie, c’est le coup de foudre immédiat. Ce que Maddie ignore, c’est que Matthieu connaît son avenir. Un avenir terrifiant, douloureux, pire que la mort.
La préoccupation principale de Matthieu, journaliste scientifique, sera dès lors de sauver Maddie. Mais le temps se dresse entre eux telle une barrière infranchissable.
Une lettre pourrait tout changer. Mais parviendra-t-elle à temps à Matthieu ?

Comment un scientifique qui est guidé par la raison peut-il connaître le futur d’une chanteuse de cabaret ? C’est tout le noeud de l’intrigue.

Je dois avouer que j’ai dévoré la version presque terminée du texte en l’espace de trois jours tellement l’histoire est passionnante et qu’on veut savoir ce qu’Isabelle nous cache.

Je ne vous gâcherai pas le plaisir, mais tout ce que je peux dire est qu’ici on a une revisite d’un grand classique de la science-fiction. Inutile de m’en demander plus, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat !

Allez, bonne lecture !

En vrac’ de milieu de semaine…

Ça faisait longtemps que je n’avais pas eu de quoi remplir un billet en vrac’ en plein milieu de la semaine. Profitons-en !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture.

Bonne fin de journée ! 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… On va essayer de rester dans le consensuel cette fois !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine… Spécial fêtes de fin d’année !

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Et comme au moment où j’écris cet article on est à 4 jours de Noël…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, avec une note d’humour et de geekerie, l’épisode 45 de ma série « C’est trolldi, c’est permis » sur Archlinux et les flatpaks :

Bon week-end et Noyeux Joël 🙂

Parlons un peu bande dessinée : les FDP de Tubonia.

Je dois dire qu’avec mon activité frénétique sur Youtube, je n’ai pas eu trop le temps de me plonger dans des livres ou des BD depuis le début de l’année 2018.

Il faut remonter à fin janvier 2018 pour un article rapide sur le roman d’Isabelle Rozenn-Mari, « Les larmes d’Alyssa ».

Mais je vais aborder dans ce court article une BD née sur Youtube – encore ? – et qui a connu un financement explosif sur Ulule, je parle bien entendu des FDP de Tubonia. FDP ? Pour Force De Protection 🙂

Après avoir atteint un gros demi-million d’euros de financement (soit 3478% du montant d’origine), la BD dont le projet est né dans le trio de youtubeurs français Absol Vidéos, Antox Colaboy et Sir Gibsy, à la mi-juin 2017, il aura fallu environ 15 mois au Dessinator et son bras droit Florianks pour finir le premier tome d’une BD qui reprend le monde Youtube d’une manière déjantée.

Le 4ème de couverture est plus que parlant…

Dans le royaume de Tubonia, un déséquilibre dans les énergies qui régissent le monde vient pertuber la vie de ses habitants.

Les Tuboniens, héros et protecteurs du royaume, cessent peu à peu d’animer leurs belles cités, et les transforment en des lieux de débauches… Certains même n’apparaissent plus depuis longtemps, plongeant Tubonia dans une ambiance délétère.

Alors que Saint-Antoine est censé faire son apparition annuelle afin de répandre une grande dose de bonheur dans tout le royaume, celui-ci se trouve aussi aux abonnés absents. Sa cité infestée de haiteurs se retrouve saccagée.

Mais le mage Absol, Sir Gibsy et Anthox Colle-à-Bois décident de partir à sa recherche afin d’élucider tout ce mystère. »

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