Guide d’installation d’Archlinux, version de juillet 2018.

Voici la cinquante-sixième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de juin 2018.

Note : des versions plus dynamiques sont disponibles sur mes espaces github et framagit.

Attention ! La section pour l’UEFI a été refondue, et je tiens à remercier Kevin Dubrulle pour une commande bien intéressante. Si vous pouviez me faire des retours sur cette section, j’en serai ravi !

De plus, il y a un bug connu entre le noyau linux 4.17 et VirtualBox 5.2.12, ce qui a entraîné l’ajout – temporaire – d’un contournement.

Si vous avez besoin d’une image ISO en 32 bits, le projet archlinux32 vous en proposera une.

Côté environnements : Gnome 3.28.2, Plasma 5.13.x, Xfce 4.12.0 et Mate-Desktop 1.20.3 en gtk3.

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Après la Peppermint 9 la semaine dernière, les distributions basée sur Ubuntu 18.04 LTS se bousculent… Du très lourd avec la LinuxMint 19 en saveur Cinnamon, Mate-Desktop et Xfce, avec son énorme nouveauté dont le principe remonte à l’époque de MS-Windows Millenium : une forme de restauration système en cas de pépin. Plus d’infos sur l’article de Distrowatch qui lui est consacré.
  • Toujours la famille des dérivées d’Ubuntu, je demande la Pinguy OS en version 18.04… J’ignorais qu’elle était toujours en vie !
  • La DGLFI de la semaine ? La AlumaOS, elle aussi basée sur Ubuntu 18.04 qui utilise un Cinnamon retouché et Plank… Quelle nouveauté… Ou pas !

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

« Piano Works », le deuxième EP pour 2018 de Lucy Claire.

En mars 2018, Lucy Claire proposait son premier EP de l’année 2018, « String Works » et dont j’ai parlé dans cet article.

Dans ce deuxième EP, légèrement plus long que le précédent – on dépasse les 23 minutes au lieu de 19 – le piano est mis au centre de l’oeuvre.

Après un piano très mélancolique « avec « Nettle », on a droit à une petite piste intitulée « Thumb » dont l’ambiance est très étrange, presque enfantine, qui fait une transition en douceur avec « Sage » enregistré avec le violoncelliste Ren Ford et la violoniste Marie Schreer.

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Vieux Geek, épisode 129 : « Infernal House », le meilleur jeu d’aventure point’n’click de l’Amstrad CPC.

Les jeux d’aventures sur Amstrad CPC à la fin des années 1980 jusqu’en 1993, c’est essentiellement du textuel, du semi-textuel avec des images représentant les différents lieux et beaucoup plus rarement du point’n’click comme sur les Atari, Amiga et autre PCs de l’époque.

Il y a eu quelques ovnis comme le Manoir de Mortevieille, sorti en 1988 ou 1989 chez Lankhor. Toujours chez Lankhor, 1991 verra la sortie d’un point’n’click du nom d' »Infernal House ». Graphiquement et techniquement, c’est une sacrée claque.

On y joue le rôle d’un détective privé qui voir une vieille affaire revenir à l’actualité, suite à la disparition d’une amie proche, Sophie.

L’interface est entièrement graphique, le pointeur étant contrôlé par les touches fléchées et la barre d’espacement. On a une dizaine d’actions disponibles pour résoudre cette énigme dans un temps plutôt limité : 2 h 30 et pas une seconde de plus.

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De la constipation mentale actuelle…

Je dois dire que depuis pas mal de temps, je constate une forme de constipation mentale. Comme si les idées ne pouvaient plus être débattues sereinement.

Comme si la moindre remarque était prise comme une agression. Comme si la moindre critique devenait automatiquement un casus belli et une obligation de traiter plus bas que terre la personne qui ose ouvrir sa grande bouche.

Comme j’ai tendance à ouvrir mon clapet et dire ce que je pense sans trop de pincettes, je suis souvent attaqué par des personnes qui – quand je leur réponds de manière posée mais franche et directe – me qualifient d’agressif, d’acariâtre voire me comparent à un déchet. Drôle de conception de la discussion.

Des personnes pour qui j’ai un seul défaut : être qui je suis et oser dire ce que je dis de manière un peu trop franche. Ce qui est un mal absolu de nos jours, il faut l’avouer.

On ne peut plus faire d’ironie. Sur des commentaires sur une vidéo youtube, j’ai osé poser la question suivante à un commentaire.

L’éthique compte-t-elle plus que l’attractivité ou l’ergonomie ? Vous avez quatre heures et deux copies double pour répondre 😀

Autant dire que la réponse de la personne en face fût de me dire que j’étais acariâtre et méprisant… L’éthique, c’est bien. Avoir des outils ergonomiques, c’est quand même mieux. Enfin, je dis cela, mais je dis rien.

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