« Scape Works », le troisième et dernier EP de Lucy Claire pour 2018.

Fin novembre 2018 est paru le troisième et dernier EP de Lucy Claire pour l’année 2018.

Après « String Works » en mars 2018 et le désormais indisponible « Piano Works » en juin 2018, voici donc le dernier opus.

Plus intimiste que les deux premiers, « Scape Works » nous plonge dans les voyages effectués par Lucy Claire.

Durant les presque 19 minutes de l’album, nous sommes soit dans l’ambiance d’un voyage en train « All Its Colours on Me », ou dans une ambiance un peu plus « forestière » comme dans la piste « Ninety-Nine Stone » où l’on peut entendre le violon de Marie Schreer s’exprimer une nouvelle fois, après sa participation sur l’EP « Piano Works ».

On termine avec une ambiance digne d’un métro avec la piste « Underground ». Cette piste me rappelle un peu la piste « Ethnicolor II » de Jean-Michel Jarre, en moins électronique.

J’attends avec impatience de voir – et d’entendre – ce que Lucy Claire proposera pour l’année 2019 maintenant !

En vrac’ de milieu de semaine…

Pour varier un peu les plaisirs, un en vrac’ de milieu de semaine.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne fin de semaine ! 🙂

« Persona », premier album de François Merlin… Du post-rock français comme je l’aime !

Comme je l’avais dit dans l’article consacré au nouvel opus de KesakoO, voici donc un autre article musical, consacré au premier album de François Merlin. Compositeur et interprète spécialisé post-rock, il m’avait contacté pour me parler de son premier album que j’ai eu l’occasion d’écouter et d’apprécier en avant première.

Ayant acheté une version numérique de l’album – en attendant sa version physique – voici donc un petit article pour vous le présenter plus en détail sur Persona.

Je dois le dire, j’apprécie le post-rock français que j’ai découvert il y a de nombreuses années avec les orléanais de Have The Moskovik.

L’album malgré son nombre important de pistes ne fait qu’un peu plus de 33 minutes. On est loin de l’image de l’album de post-rock avec des pistes dépassant les 7 voire 8 minutes. Ici on est dans le « on fait court et costaud » ce qui n’est pas plus mal.

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« In my head », le nouvel album de KesakoO.

En attendant un article qui sera publié après celui-ci et qui sera aussi musical, commençons avec KesakoO. J’en ai déjà parlé lors de ses précédentes créations, en octobre 2017 avec l’EP « Noctis » (dans un article consacré à ma découverte du trip-hop) ou bien avant avec « Merysland ». Quand j’écris cet article, en novembre 2018, Kesakoo continue le financement participatif d’une version physique de l’album dont je vais vous parler dans cet article.

Donc, en ce mois de novembre 2018, KesakoO remet une couche avec son nouvel album, « In my head », au prix modique de 5€ au format numérique sur Bandcamp.

L’album est assez court, un peu plus de 27 minutes pour 7 pistes. Ce qui fait qu’on change régulièrement d’ambiance. On commence avec la piste éponyme.

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« Repeat Please! » de Healing Unit : entre jazz classique et improvisation pure, quel bonheur !

Le Fondeur de Son est un label de jazz que j’apprécie énormément et dont j’ai déjà eu plusieurs fois l’occasion de parler, étant donné qu’ils m’ont gracieusement fait parvenir plusieurs albums : avec « Serious Stuff & Lots of Lightness » (en avril 2017), « Imaginary Africa Trio » (en septembre 2017) et « MAr0kAït » (en novembre 2017).

C’est via leur liste de publication que j’ai appris l’existence du troisième album de Healing Unit, projet créé par le pianiste et percussionniste Paul Wacrenier, en collaboration avec le trompettiste Xavier Bornes, le saxophoniste Arnaud Sacase, le bassiste Marco Quaresimin et le batteur Benoist Raffin. Il propose un jazz assez traditionnel, mais qui n’hésite pas à aller défricher les terres du jazz expérimental.

C’est le cas avec cet album qui le rend très agréable à l’écoute.

On commence avec une piste d’introduction qui semble partir dans tous les sens, mais très vite, on revient aux canons du jazz tout ce qu’il y a de plus classique.

C’est ce qui m’a plu dans cet album : toujours à flirter entre des pistes d’un classicisme presque caricatural et d’autres qui sont largement plus libres.

La piste éponyme de l’album est dans ce cas, très classique. Elle s’enchaîne sans interruption avec « Blues for AEC » qui nous plonge dans une ambiance digne des années 1920. Le petit grain de folie est présent avec le saxophone qui part parfois un peu dans les aigüs.

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En vrac’ de milieu de semaine…

Pour varier un peu les plaisirs, un en vrac’ de milieu de semaine.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Une bonne nouvelle pour les fans de distributions en rolling release : la Void Linux propose enfin de nouvelles images ISO d’installation… Il faut dire que les précédentes avaient quelque chose comme un an d’ancienneté. Plus d’infos sur les notes de publication.
  • Pour les fans de projets alliant le fou à l’inutile, je demande la ReactOS 0.4.10, vous savez la réécriture de MS-Windows en logiciel libre et open-source. Outre le fait que l’OS soit reconnu comme NT 5.2 (alias Windows 2003 Server), il rajoute un système de fichiers indispensable : Btrfs !
  • La DGLFI de la semaine, qui sera sûrement abordée par Adrien Linuxtricks sur sa chaine youtube, la Bentoo. Prenez une Funtoo, rajoutez dessus des paquets précompilés, et voila !

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

« Dionysus » de Dead Can Dance, suite logique de « Spiritchaser » ?

En 1996, Dead Can Dance sortait son excellent « Spiritchaser ». Tribal, chaud, il était au bout du cycle entamé quelques années plus tôt par « Into The Labyrinth ».

En 1998, le duo sort « The Lotus Eaters » qui ne sera disponible que sur la compilation « Wake ».

Il faudra attendre 2012 pour que sorte « Anastasis » qui renouera à l’époque avec les ambiances collant plus au début du groupe. J’avais pu voir le groupe à l’occasion de la tournée mondiale liée à la sortie de cet album, à Nîmes en 2013.

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A Whale’s Lantern, un groupe fondé via le réseau Mastodon

Mastodon, c’est l’équivalent ouvert et réussi de Twitter. Alors que le réseau a fêté ses deux ans le 14 octobre 2018, c’est pour moi l’occasion de parler d’un groupe musical né via Mastodon, A Whale’s Lantern, dont les créations sont téléchargeables à prix libre sur Bandcamp.

C’est un groupe de musiciens, qui à l’image de Tryad créé en 2005 collaborant via internet, a pris mastodon comme support de mise en contact.

Le groupe a sorti trois albums depuis décembre 2017. Le noyau dur est constitué principalement par Kevin Hogson, Mascha et Michael Silverstone. D’autres artistes se sont joints ponctuellement ou sur la durée pour les albums suivants.

Après « Flight into The Nebula » en décembre 2017 et « Everything Is Made of Smaller Parts » en avril 2018 (qui est aussi l’album le plus long), en octobre 2018 est sorti « Field Trip« .

Quant au genre musical ? Comme le précise si bien le groupe, c’est un mélange de folk plus ou moins expérimentale, avec quelques tendances électroniques spécialement sur le dernier opus. Mais je vous laisse découvrir tout cela. Au moins, cela prouve une chose : si des personnes considèrent Mastodon comme complètement inutiles, elles se sont trompées !

Bonne écoute !

« The 13th Hour » des Onirik Illusion : vive le chiffre 13 :)

Il y a des albums qui vous laissent une marque dans le cerveau dès la première écoute. Le premier album des Onirik Illusion en fait partie.

Quand je vous dirai que c’est un mélange metal gothique et symphonique, de chant guttural masculin, de chant clair et guttural féminin, c’est certain que la réponse est : « encore une fois ? »

C’est vrai que dans le domaine du metal, tout a été fait ou presque. Mais il y a des albums qui reprenant des recettes sur-employées sortent du lot.

C’est le cas ici. L’album est sorti en mai 2017 et j’ai du l’écouter la première fois aux alentours de juin-juillet 2018. La première écoute m’avait fait dire : « Tiens, c’est pas mal ». J’avais mis une option sur l’album. Je l’ai réécouté entre temps et j’ai finalement décidé de l’acheter au format physique en ce début septembre 2018.

Nous voila donc face à un album qui fait une petite heure avec 13 pistes. Tout tourne dans l’album autour de ce chiffre à la triste réputation. Après une courte introduction qui rappelle le début de « Black Sabbath » avec son carillon, on est plongé dans le vif du sujet.

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En vrac’ de fin de semaine…

Ou de début de mois, c’est vous qui voyez. Un petit billet pour alimenter le blog qui va fêter – ou aura fêté – ses 13 ans d’ici une vingtaine de jours.

Côté informatique et internet.

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui. Et n’oubliez pas : « Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. » (Euclide).