En vrac’ de fin de semaine.

Comme tous les samedis ou dimanches depuis quelques temps, un en vrac’ pour boucler la semaine. Commençons par le panier de crustacés qu’est le logiciel libre.

  • En dehors de la floppée des versions officielles de la Ubuntu Linux, il faut noter la sortie de la nouvelle version de CloneZilla, outil bien pratique pour cloner son disque dur à des fins de sauvegardes. Distribution qui utilise une base Debian GNU/Linux Sid. Plus d’infos sur les notes de publication.
  • L’équipe de la LinuxMint a annoncé la sortie de Cinnamon 2.8. Elle est réservé pour le moment aux fondu(e)s ! Plus d’infos sur le billet qui annonce la publication.
  • Un nouveau venu dans le monde du blog consacré au libre : Maxso. Je lui souhaite une bonne continuation !
  • Un nouveau forum consacré au logiciel libre a pointé le bout de ses octets récemment : Torrent Libre.

Passons à la culture. Après le gros billet du mercredi 21 octobre, je n’ai pas vraiment grand chose à me mettre sous la souris 🙁

  • Vous aimez le death metal melodique ? Laissez donc trainer une oreille sur le premier EP éponyme des Watch Them Burn. Merci Twitter 🙂
  • Dans le genre plus doux – c’est pas difficile – je demande le premier album d’Andrea Lucia, « Eschaton ».
  • Prenez du post-rock, ajoutez une dose de progressif, un peu de shoegaze, et mélangez bien le tout. Vous obtiendrez « In the midst of chaos there is stillness » du groupe Fleur de Lis originaire d’Oslo.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui. Bon week-end 🙂

Ah, les noms de code des diverses versions d’Ubuntu… Merci à Lucy in the Sky with Diamonds ? :)

Alors que la 22ième publication d’Ubuntu est encore toute fraîche, et que le grand manitou de Canonical, j’ai nommé Mark Shuttleworth a annoncé le nom de code de la 6ième LTS de l’histoire de la distribution, j’ai eu envie de revenir sur les noms de code qui sont les plus… bizarroïdes jamais proposés.

Le nom de code la Ubuntu 16.04 LTS étant hors concours, bien qu’il est assez tiré par les cheveux, car il faut y penser à Xenial Xerus. Dixit Mark Shuttleworth, Xenial signifierait amical ou hospitalier. Le Xerus fait un peu penser aux suricates dans l’apparence générale, bien qu’ils soient affiliés aux écureuils. Bizarre, non ?

Mais il y a d’autres noms de code depuis la sortie de la première Ubuntu en octobre 2004 qui valent leur pesant de « Mais comment ils ont pu trouver ça ? ». Voici donc mon top 5, rangé par ordre chronologique.

À tout seigneur, tout honneur. Commençons par la Ubuntu 4.10, sortie en octobre 2004. Inaugurant le principe d’une Debian GNU/Linux « simplifiée », la première Ubuntu avait pour nom de code… Warty Warthog, ce qu’on peut traduire par « phacochère verruqueux ». Non, je n’ose même pas m’imaginer la tête d’un phacochère souffrant de verrues. Pauvre bête !

À l’époque la seule interface disponible était Gnome 2.8 avec Mozilla 0.9 (mise à jour par la suite en version 1.0.x), et OpenOffice.org 1.1…

Continuer la lecture de « Ah, les noms de code des diverses versions d’Ubuntu… Merci à Lucy in the Sky with Diamonds ? 🙂 »

En vrac’ de fin de semaine un brin vachard !

Pour finir cette semaine, un en vrac’ assez chargé et spécialement vachard. Y a des jours comme ça…

Commençons par le logiciel libre :

  • Après de nombreux mois de développement, la NuTyX 8.0 alias Houaphan (dont j’avais parlé le 17 septembre 2015) est officiellement disponible.
  • Dans la série « je fais un bond énorme en terme de numérotation », je demande la OpenSuSE Leap 42.1 rc1. La version 42.1 finale, qui suivra la OpenSuSE 13.2, est prévue pour le 30 octobre.
  • La Emmabuntüs 3 vient de sortir sa nouvelle révision mineure, la version 1.02… Qui sur certains plans aurait bien mérité une numérotation 2.0 🙂

Passons maintenant au monde merveilleux des liens bien vachards.

Pour finir, on va parler musique.

C’est tout pour aujourd’hui ! Bon week-end !

Quel bilan pour les distributions GNU/Linux basées sur Arch, en dehors de Manjaro Linux ? Dernière partie.

Après la Archbang Linux, la BBQLinux et la Bridge Linux, continuons cette série de distributions GNU/Linux basées sur Archlinux.

Au début je comptais faire un article sur la Kademar Linux, mais deux facteurs m’ont fait changé d’avis. Le premier, c’est que j’en ai parlé en mars 2015.

Le second, c’est la politique bizarre de la distribution. Quand j’ai fait l’article à la mi-mars 2015, j’avais pris la version avec Xfce. Or, près d’un mois avant, une version avec Plasma avait été publiée, mais non proposée par défaut en téléchargement comme version principale, car comme sa consonnance l’indique, c’est une distribution qui est principalement basée sur KDE. C’est quand même étrange. Parler d’une version et ne pas la proposer à un téléchargement plus large, pourquoi ? Quant à faire migrer une session de KDE SC 4 vers Plasma, c’est source d’ennuis sans fin 🙁

J’ai donc décidé de faire l’impasse et de me replier sur la PoliArch, vu l’énorme activité sur le site de la Kademar

Distribution d’origine italienne, PoliArch est basée sur Xfce avec pour but principal d’être une trousse à outils pour récupérer des données et réparer des ordinateurs. Je l’ai donc récupérée pour voir si, comme pour la BBQLinux elle peut être détournée de sa fonction d’origine ou pas.

Le point noir, c’est la sortie d’ISO semestrielle. Donc au moment où je rédige cet article, le 15 octobre 2015, la dernière en date a été publiée début avril 2015.

Comme d’habitude, j’ai utilisé mon ami VirtualBox avec la configuration habituelle (2 Go de mémoire, 128 Go de disque dur, 2 CPUs virtuel) m’a bien aidé dans cette tâche 🙂

Continuer la lecture de « Quel bilan pour les distributions GNU/Linux basées sur Arch, en dehors de Manjaro Linux ? Dernière partie. »

Quel bilan pour les distributions GNU/Linux basées sur Arch, en dehors de Manjaro Linux ? Troisième partie.

Après la Archbang Linux et la BBQLinux, continuons cette série de distributions GNU/Linux basées sur Archlinux. Au tour de la Bridge Linux. Distribution dont j’ai déjà parlé, la dernière fois en juin 2014.

Au moment où je rédige cet article, le 13 octobre 2015, la dernière ISO est une certaine 2015.02, en date de février 2015. Étant donné que c’est une archlinux basée à l’origine sur Xfce, j’ai pris sa version Xfce.

Quand j’ai parlé pour la dernière fois de la Bridge Linux, je n’ai pas mâché mes mots, avec une conclusion plus que lapidaire :

Bridge Linux ? Passez donc votre chemin pour éviter de vous arracher la moitié de votre masse capillaire.

La question est donc la suivante : est-elle toujours autant à l’origine de calvitie précoce ou pas.

Comme d’habitude, j’ai utilisé mon ami VirtualBox avec la configuration habituelle (2 Go de mémoire, 128 Go de disque dur, 2 CPUs virtuel) m’a bien aidé dans cette tâche 🙂

Continuer la lecture de « Quel bilan pour les distributions GNU/Linux basées sur Arch, en dehors de Manjaro Linux ? Troisième partie. »