Oui, pour la conclusion de cette série, je reprends le titre sortit par Ray Ventura et ses collégiens en 1935 :
Oui, je sais que le contenu est clairement à contre-sens du titre. Je tiens aussi à préciser que je ne publierai pas cet article sur le journal du Hacker comme je comptais le faire à l’origine. Il faut dire que ce genre de réactions me fait dire que les personnes qui ont tendance à produire de l’urine proche du zéro absolu sont légion dans le monde du libre.
Quoiqu’il en soit, après onze billets, j’ai pu tracer le tableau de l’aveugleument du monde du libre.
Entre les développeurs et les utilisateurs qui ne peuvent pas se sentir à cause de la proportion de cons et de connes dans chaque entité…
Entre les guerres intestines pour des points de techniques ou encore les communautés qui ne peuvent pas se sentir…
Entre les développeurs qui passent à l’as les tests préliminaires, l’envie de garder un jouet pour geeks ou encore l’oubli que nombre de développeurs ont été aussi des débutants…
On arrive à des résultats qui feraient bondir de rage le linuxien ou la linuxienne type des années 1990… À raison, j’y viens dans la suite de l’article.