J’ai déjà parlé par deux fois des créations de Dirk Jan Müller, pour ses deuxième et troisième opus respectivement en juillet 2015 et en septembre 2016.
Chaque année, il sort un nouvel opus dont un live en juin 2017. En octobre 2019, le cinquième opus studio est sorti, sous le nom très recherché de cosmic ground 5.
8 pistes pour 75 minutes. Entre l’introduction qui ne dure que 1 minute et 46 secondes et la septième qui dépasse les 18 minutes, on a toute une gamme de mélodie. Certaines personnes diront que c’est de la musique d’ascenseur, mais je dois dire que je prends un plaisir monstre à écouter ce genre d’albums quand j’écris, je fais quelques tests techniques ou que je me balade sur la toile.
C’est sombre, froid, glauque donc parfait pour se concentrer. Évidemment, il faut aimer ce genre musical inspiré du krautock, de l’ambiant et un peu du Tangerine Dream des années 1970. Mais putain que c’est bon !