Dans le petit monde des navigateurs internet, il y a deux moteurs : celui de Chromium aussi connu sous le nom de Blink et celui de Mozilla Firefox, connu sous le nom de Gecko.
Et c’est tout. Pour les serveurs web, un navigateur sera reconnu comme Google Chrome ou comme Mozilla Firefox, plus rarement comme Safari.
Que ce soit pour Brave, Chrome, Opera ou encore Vivaldi, ou le nichesque Falkon (anciennement Qupzilla) pour KDE des sites comme Whatismybrowser ou encore sur la page dédiée de chez SmallSEOTools, la réponse restera la même : Chrome. Seul Gnome Web sera reconnu comme étant Safari, vous savez le navigateur maison d’Apple.
Dans le monde mozillien, que ce soit avec Firefox ou Librewolf et Waterfox, ce sera Mozilla Firefox qui apparaîtra. Seul Seamonkey est traité comme tel. N’oublions pas de mettre un voile pudique sur Palemoon qui mélange la paranoîa de ses créateurs et la continuation de technologies obsolètes comme UXP, continuation du XUL et des greffons NPAPI abandonnés par Mozilla Firefox avec la sortie de la version 57 en novembre 2017. N’oublions pas non plus la crise de nerfs quand en 2018 les mainteneurs de FreeBSD avaient voulu supporter le navigateur. J’ai failli oublier le TOR Browser, mea culpa !
Il ne reste plus qu’un navigateur dans la famille mozillienne dont je n’ai pas parlé, c’est GNU/Icecat, la version libérée – au sens GNUien du terme – de Mozilla Firefox.
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