En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

Et si on faisait un bilan au de bout de 5 ans des distributions GNU/Linux ? Dernière partie.

Le 12 novembre 2017, je m’attaquais à l’avant-dernier épisode de cette fouille archéologique de mes archives de blog de l’an 2012.

En ce froid début de décembre, autant s’attaquer à l’ultime billet de la série.

En l’honneur de l’apocalypse ratée de décembre 2012, reprenons le titre de Rainbow que j’avais utilisé pour le 30 décembre 2011 :

Maintenant que c’est fait, plongeons-nous dans les archives de décembre 2012.

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Fedora 27, encore une révolution ? Non sire, juste une évolution :)

Le monde des distributions GNU/Linux, mise à part les infâmes DGLFI n’évolue plus que par petites touches depuis des années.

On est désormais dans un routine qui se résument à mettre en place les dernières versions des grands environnements, avec un noyau récent qu’il soit LTS ou pas, le dernier Xorg ou son successeur Wayland, le dernier LibreOffice, bref, pas de quoi casser trois pattes à un palmipède.

La dernière fois que j’ai consacré un article complet à une Fedora, c’était à l’époque de la bêta de la version 26, en octobre 2016.

D’ailleurs, si on regarde les notes de publications, on s’aperçoit que ce sont des montées en version, dont du tablettisant Gnome 3, LibreOffice 5.4, ou encore l’arrivée de saveurs pour les Raspberry Pi (2 et 3) et autres périphériques à base de processeur ARM.

Mais ce n’est pas une raison pour bouder son plaisir. J’ai donc utilisé mon client de tipiakage favori pour récupérer l’image ISO de la Fedora 27 Workstation.

Mon ami VirtualBox a ensuite pris le relai pour m’aider à voir ce que cette nouvelle mouture de la distribution au chapeau a dans le ventre.

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Et si on faisait un bilan au de bout de 5 ans des distributions GNU/Linux ? Avant-dernière partie.

On arrive enfin au mois de novembre 2012. Après un article consacré au mois d’octobre 2012 et sorti le 13 octobre 2017, replongeons-nous dans le mois qui précéda la plus célèbre apocalypse ratée de ce début de 21ième siècle.

Voyons cela.

2 novembre : la Mozillux, une DGLFI avant l’heure…
3 novembre : la Paldo GNU/Linux et son gestionnaire de paquets écrit en mono !
4 novembre : la Crux 2.8, source d’inspiration d’une certaine… Archlinux
5 novembre : l’AtlasX, mélange de Debian et d’Enlightenment
6 novembre : la Slitaz GNU/Linux. Dans le domaine de l’ultra-léger, c’est une référence !

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Et si on faisait un bilan au de bout de 5 ans des distributions GNU/Linux ? Quatrième partie.

Après le mois d’août 2012, attaquons-nous à l’actualité du libre en septembre 2012… Oui, je sais, je publie l’article le 31 août 2017 dans l’après-midi. Pour quelques heures, on ne va pas chipoter, non plus ?

Un mois plutôt chargé…

6 septembre : un article sur OpenSuSE 12.2 et son amour particulier pour Gnome

10 septembre : un article sur la défunte (??) PureOS, une Debian modifiée de mémoire.

15 septembre : un article sur la Sabayon Linux 10 et son côté indigeste.

19 septembre : un article sur la version alpha de la Fedora 18… Nom de code Spherical Cow… Jamais plus je ne me moquerai des noms de code de Canonical 😉

19 septembre : un article sur la elementaryOS, la 0.1 à l’époque, basée sur Ubuntu 10.10.

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Fedora 25 béta : où est en la distribution au chapeau ?

La Fedora 25 béta est sorti très récemment. Je l’ai abordé dans un billet en vrac’ récent – du moins au moment où je rédige cet article, le 12 octobre 2016 – et j’ai voulu en utilisant l’outil des tipiakeurs récupéré l’ISO de cette étape de développement de la distribution communautaire de Red Hat. Les notes de publications de cette versions sont disponibles sur le site officiel de la Fedora.

Je m’étais pourtant promis de ne pas faire d’articles sur la Fedora 25 béta, mais la curiosité a été la plus forte 🙂

Selon Phoronix, qui avait vu juste, Wayland est toujours d’actualité pour la Fedora 25 béta, j’ai donc du me replier sur Qemu, vu que le support de Wayland avec VirtualBox est… limité, faute de main d’oeuvre et d’apport de code.

J’ai donc utilisé les commandes suivantes pour lancer la Fedora 25 béta. La machine virtuelle étant équipée d’un disque de 128 Go, de 2 Go de mémoire allouée et de deux CPUs virtuels.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qec disk-fedo.img 128G
Formatting 'disk-fedo.img', fmt=qcow2 size=137438953472 encryption=off cluster_size=65536 lazy_refcounts=off refcount_bits=16
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk-fedo.img -cdrom Fedora-Workstation-Live-x86_64-25_Beta-1.1.iso -boot order=cd &

Pour mémoire, les raccourcis (ou alias) sont définis ainsi dans mon .bashrc :


qec='qemu-img create -f qcow2'
kvm64='qemu-system-x86_64 -smp cpus=2,threads=1 -k fr -m 2048 -soundhw ac97 -enable-kvm -vga virtio -usb -sdl'

L’option -vga virtio permet d’avoir un circuit récent pour l’affichage vidéo. Et surtout qui gère la 3D. Pour des raisons pratiques, j’ai utilisé une version de développement de qemu dite qemu-git pour être certain que l’affichage de Wayland fonctionne un brin mieux 😉

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En vrac’ mercurien.

Un rapide en vrac’ mixte de milieu de semaine, ça faisait longtemps que je n’en avais pas fait un ! Il y a de quoi se mettre sous la souris ! 🙂

Commençons par le logiciel libre :

Côté musique et livres ?

Voila, c’est tout pour aujourd’hui et bonne journée.

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Côté logiciel libre et informatique :

Côté musique ?

Bon week-end !

Viperr 9 : une évolution en douceur ?

Comme tous les 6 à 8 mois, j’ai le plaisir de voir arriver une nouvelle édition de la seule distribution GNU/Linux au nom qui ravirait les herpétologues, j’ai nommé la Viperr. Dans les deux mois qui suivent la sortie d’une nouvelle Fedora, cette version revampée pour utiliser OpenBox est rendue disponible.

La dernière fois que j’avais parlé de la Viperr, c’était pour Noël 2015. J’ai donc appris l’annonce de la sortie de la Viperr 9 nom de code Vipera Dagon. De l’aveu même des auteurs, c’est une version mineure, qui n’apporte rien de transcendant. Mais est-ce un mal ?

J’ai donc fait chauffé mon ami wget et j’ai fait récupérer les 1,2 Go de l’ISO d’installation de la Viperr 9

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://coyotus.com/viperr/iso/Viperr9_x86_64.iso
–2016-08-17 12:47:21– http://coyotus.com/viperr/iso/Viperr9_x86_64.iso
Résolution de coyotus.com (coyotus.com)… 2001:41d0:1:1b00:213:186:33:4, 213.186.33.4
Connexion à coyotus.com (coyotus.com)|2001:41d0:1:1b00:213:186:33:4|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1272971264 (1,2G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « Viperr9_x86_64.iso »

Viperr9_x86_64.iso 100%[===================>] 1,19G 3,82MB/s in 5m 22s

2016-08-17 12:52:48 (3,77 MB/s) — « Viperr9_x86_64.iso » sauvegardé [1272971264/1272971264]

Ensuite, mon ami VirtualBox a pris le relai pour faire fonctionner cette nouvelle version de la Viperr.

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Bien choisir sa distribution GNU/Linux – édition 2016.

En avril 2015, je proposais un petit guide qui a été transformé en page. Un an plus tard, il fallait bien mettre à jour les conseils, non ? 🙂

Note : l’article est copié dans une page dédiée par simple sécurité.

Note 2 : j’ai rajouté quelques éclaircissements en fin d’article, suite à quelques commentaires.

Il m’arrive de recevoir des courriers électroniques qui me demandent : quelle distribution choisir ? Avec presque 275 distributions indexées encore vivantes, début juillet 2016, sur la bible de l’actualité linuxienne, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin sans avoir de détecteur de métaux pour se simplifier la tâche.

Voici donc une série de cinq commandements pour vous permettre de dégrossir votre recherche. Les listes ci-dessous sont aussi exhaustives que possible.

Premier commandement : Tu n’iras pas au-dela de la première génération descendante des distributions mères.

Par distribution mère, je parle des distributions nées entre 1992 et 2002 et toujours en vie de nos jours. Par ordre alphabétique :

  1. Archlinux (née en 2002)
  2. Debian GNU/Linux (née en 1993)
  3. Gentoo Linux (née en 1999) et sa « jumelle » Funtoo Linux plus simple d’accès par endroit
  4. Red Hat Linux (née en 1994) surtout connue pour son projet communautaire Fedora Linux (né en 2003)
  5. Slackware Linux (née en 1993)
  6. SuSE Linux (née en 1994) surtout connue pour sa dérivée OpenSUSE.

Si on prend leurs descendantes directes les plus connues, cela donne principalement :

  1. Manjaro Linux
  2. Ubuntu et ses saveurs officielles : Kubuntu, Xubuntu, Lubuntu, Ubuntu Gnome, Ubuntu Mate, Ubuntu Kylin
  3. Sabayon Linux ou encore la Calculate Linux
  4. CentOS Linux ou encore la Scientific Linux. Sans oublier l’excellent Viperr.
  5. SalixOS

Pour OpenSUSE, je n’ai rien qui me vienne à l’esprit 🙁

Pour la Debian GNU/Linux, je rajouterai des projets comme la HandyLinux par exemple. Les rares exemples de distributions « petites-filles » qui valent la peine ? LinuxMint, Emmabuntüs (classique ou en saveur Debian) sont les deux premiers noms qui me viennent à l’esprit.

J’allais oublier une distribution qui me tient à coeur, la descendante de la mythique Mandrake Linux, j’ai nommé la Mageia.

Deuxième commandement : toujours l’original à la copie tu préféreras.

Nombre d’environnements sont portables dans le monde GNU/Linux. Ce qui permet souvent d’avoir un environnement spécifique disponible sur les bases listées ci-dessus. Cependant, il y a un principe à appliquer. Si un environnement est proposée par une distribution, la meilleure expérience qu’on pourra en avoir est sur la dite distribution.

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