Oui, je sais, vous allez me dire que je publie ce billet le 11 mai 2020 et que techniquement, l’année 2020 n’est pas encore arrivée à sa moitié. Je suis d’accord, mais après 7 semaines de confinement (17 mars au 11 mai), on a l’impression que cela a duré bien deux fois plus longtemps en réalité.
Ma collègue Agnès du blog Destination Passions a profité du confinement pour faire le grand nettoyage dans son blog. Au bout de 8 ans, cela est nécessaire.
De mon côté, j’ai fini la première version du long texte que j’ai écrit pour mes filleuls et qui paraitra – si je le décide ainsi – en auto-édition. Rien n’est décidé pour le moment, et pour tout dire, depuis le billet que j’ai écrit le 13 novembre 2019 – donc il y a 6 mois – je n’ai plus lu une seule ligne d’un texte auto-édité. Je vais être plus franc, depuis le roman « Maddie si tu savais » d’Isabelle Rozen Mari, paru en juin 2019, je n’ai plus touché à un texte auto-édité.
Manque de temps ? D’envie ? Pas seulement. Pour reprendre la conclusion de mon article du mois de novembre 2019 :
[…]
Pourquoi les maisons d’édition auraient-elles peur d’un phénomène qui leur permet d’avoir un comité de lecture énorme à titre gracieux. Il suffit de laisser les lecteurs et lectrices faire le tri dans le magma de l’auto-édition pour voir ce qui fonctionne… Du moins, si cela est un minimum de qualité 🙂
[…]
Sur ce, je vous laisse, j’ai la vraie vie, celle où l’auto-édition est un infâme magma de productions vendues horriblement cher pour un contenu à la typographie ignoble, à la grammaire et l’orthographe indignes d’un enfant de CE2.
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