« Hit The Head » des Corbeaux : du bon post-rock instrumental qui décalamine les oreilles :)

Il y a des albums qui sont des claques dès la première écoute, et ce dans de nombreuses domaines. Je citerai par exemple « Insurgentes » de Steven Wilson, « Blackwater Park » d’Opeth, « Paranoid » de Black Sabbath, « On Stage » de Rainbow, « Year Zero » de NiN, « A Night At The Opera » de Queen, « In The Court Of The Crimson King » de King Crimson ou encore « A Love Supreme » de John Coltrane. Je sais, c’est éclectique, mais ce sont les albums de ma musicothèque qui m’ont le plus marqué dès la première écoute.

Dans le domaine du post-rock, qui est le sujet de cet article, il y a deux albums qui m’ont fait cet effet : « Holy Ground NYC Live » de Mono et « Une simple théorie des glaces en terrasse » des Have The Moskovik.

Du moins c’était le cas, jusqu’à ce que sur la framasphere*, point d’accès au réseau social décentralisé diaspora*, je tombe via je ne sais plus qui (désolé !) sur l’album des Corbeaux, un groupe des environs de Quimper. Une raison de plus de ne plus fréquenter le réseau des fesseurs de caprins 🙂

L’album des Corbeaux commence avec des sonorités blues rock classique, mais la montée en puissance est assez rapide. En l’espace d’une minute, on est dans le vif du sujet. « Cran d’arrêt » nous propose un post-rock sombre et entraînant à la fois. Le morceau a quelques périodes de respiration, avec un dialogue entre les guitares et la batterie, avant de reprendre sur un rythme effrené. C’est avec la dernière piste, la plus longue de l’album.

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En vrac’ rapide et à tendance culturelle.

Alors que je suis en train de mettre les premières pierres à un projet de manuscrit avec des tendances uchroniques (que j’espère publier vers septembre ou octobre 2015 si tout se passe bien), un petit en vrac’ culturel en attendant des articles plus consistants.

C’est tout pour aujourd’hui. Il faut dire que la crève monstrueuse que j’ai attrappé refuse le divorce… Dommage 🙁

En vrac’ rapide !

Un petit billet en vrac’ pour jeter quelques liens divers et avariés 🙂

Commençons par l’informatique en général, qu’elle soit libre ou privatrice.

Parlons maintenant culture et musique.

Voila, c’est tout pour le moment. J’ai pas mal d’articles sur « le feu ». Il ne faut pas les laisser brûler 😀

En vrac de fin de semaine.

En cette fin de semaine agitée sur fond de personnes se réclamant de la troisième religion monothéiste pour commettre des meurtres, j’ai eu envie de faire un petit en vrac’ fourre tout.

Commençons par le logiciel libre.

Dans le domaine musical ?

Voila, c’est tout. Je mets le blog en pause ce week-end, et je vous dit à lundi prochain !

« The Other Side » de Akoma : du bon métal symphonique du sud de la Scandinavie.

Il y a une variante du métal que j’aime beaucoup, c’est la variante dite symphonique. Avec la tendance progressive et le classique Heavy métal, c’est un genre de musique que j’apprécie. Il est habituel de dire que la Scandinavie au sens géographique large du terme, en rajoutant à la Norvège et à la Suède, la Finlande et le Danemark, le groupe Akoma en apporte la preuve.

Alors que je fouillais la catégorie métal symphonique pour me caresser les oreilles, je suis tombé sur le premier album du groupe Akoma, sortie en mars 2012. Je sais, cela fait presque 3 ans, au moment où je rédige ce billet, mais les découvertes tardives sont parfois très intéressantes.

Ici, nous avons un métal symphonique assez classique, qui propose un chant clair féminin. Aucun chant guttural n’est présent.

Les titres sont assez courtes, on a droit à des pistes qui rentrent directement dans le sujet. On est loin des pistes de 10 à 12 minutes d’un rock ou d’un métal progressif. L’album dure 27 minutes pour 6 pistes.

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Vieux motard que j’aimais… « Belighted » des iamthemorning en version deluxe :)

Avec le duo russe iamthemorning, c’est une longue histoire. Depuis leur premier album intitulé « ~ » dont j’ai parlé en mai 2013, je suis l’actualité du groupe. À la même époque, le groupe lançait une opération de financement participatif, couronnée de succès. Au début, l’album devait sortir en octobre 2013.

Cependant, entre temps, le groupe a été signé par KScope – où l’on retrouve entre autre des signatures comme Steven Wilson – et l’album a été reporté. Pour faire patienter les personnes du financement participatif, un EP est sorti début janvier 2014.

Finalement l’album est sorti en septembre 2014, et j’ai eu le plaisir en ce 30 décembre 2014 de recevoir le coffret deluxe pour lequel j’avais versé mon obole.

Pour l’album, c’est simple. Si vous avez aimé « ~ » et « Miscellany », vous aimerez celui-ci qui fait quand même 55 minutes !

Autant dire que sur le plan musical, l’année 2014 se termine en beauté, même si l’album a plus d’un an de retard sur la date prévue à l’origine !

Mon bilan culturel littéraire « papier » de l’année 2014 : « Ian » et « Jours de Sang ».

Depuis que j’ai une Kindle (je sais, vous les libristes qui me lisez régulièrement, la Kindle çapuecestpaslibre), j’ai pris l’habitude de lire sur tablette qu’au format papier.

Je n’ai fait que deux achats papiers (en dehors d’exemplaires papier de mes propres oeuvres pour avoir des archives et de me faire un peu de publicité) en cette année 2014. Ce billet est un complément de celui consacré à la culture musicale, que j’ai rédigé début décembre 2014.

Les bouquins papiers achetés en 2014

Le premier achat, c’est un livre de Pauline Picot, acheté en juin 2014, intitulé « Ian ». Comme son nom l’indique si vous vous intéressez au tournant musical de la fin des années 1970, c’est une forme de biographie adaptée de main de maître.

Quand le punk explose en 1976-1977, un vent de fraicheur et de spontanéité souffle sur la musique spécialement anglosaxonne. C’est la période qui verra naître des groupes mythiques, dont le célèbre Joy Division dont la carrière sera courte et puissante (1976 à 1980) avec deux opus : « Unknown Pleasures » et « Closer ».

Dans le livre de Pauline Picot, l’auteure fait parler certains proches de Ian Curtis, comme Sid V., Johnny R. ou encore David B. Besoin de préciser les noms qui ont été abrégé ? 🙂

Un livre très intéressant, loin des biographies conventionnelles.

Le deuxième livre est un petit roman de science fiction, écrit par Xavier Delgado, « Jours de Sang ». Nous sommes dans un futur presque apocalyptique. Le monde est divisé en plusieurs blocs : Euroka, Asiatika, Afrika et Amerika. Ce sont les « ETR », états terriens réunis.

Quand commence le roman, Enrique de Villavedon se lève tout juste. Soudain, on l’appelle. Une mission rouge lui est attribuée. Dans un endroit surnommé les « enfers », une terrible menace vient de manifester. Les jours de sang vont bientôt arriver, avec leur lot de douleurs…

Dans ce cours roman (en gros 140 pages) en deux parties, Xavier Delgado développe un style assez cinématographique. Le lecteur est ainsi envoyé d’un théatre d’opération à l’autre tout au long du livre. Ce style est un peu déroutant au début, mais c’est agréable d’avoir enfin un peu de changement au niveau de l’expression écrite. Il est disponible sur Lulu.com.

Les intrigues s’entremèlent et les personnages sont plus complexes qu’on pourrait le penser au premier abord. Xavier Delgado arrive à nous surprendre. Pour le plus grand plaisir du lecteur.

Une bonne petite surprise de fin d’année, même si le roman est sorti en 2011.

En vrac’ rapide et dominical.

Un petit en vrac’ rapide en ce dimanche qui précède la fête la plus commerciale de l’année.

Voila, c’est tout pour ce dimanche. D’ailleurs, je compte lever un peu le pied durant la très sincère période des fêtes de fin d’année.

Une opération culturelle vraiment intéressante – le retour.

Il y a un an, Agnès de Destination Passions avait mis en route une petite opération pour permettre à des personnes de s’offrir un petit cadeau culturel pour Noël.

Cette année, Agnès a remis le couvert et elle a lancé la deuxième édition de cette opération culturellement caritative.

Vous trouverez des participations de Christelle Morizet, Jérôme Dumont, Wendall Utroi, Cara Vitto (je me suis régalé avec le « Sorcier Blanc »), Isabelle Rozenn-Mari, et votre serviteur. Car contrairement à l’année dernière, j’avais de quoi faire une offre.

Tous les détails de participation sont détaillés dans l’article. Et non, il n’y a pas à signer de son sang pour tenter sa chance.

Voila, maintenant à vous de voir. La culture n’est pas limité aux rayonnages des Fnac, Cultura ou autre librairie comme Mollat (une référénce en Aquitaine).

Bonne découverte.

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 11 : L’aventure des plantes.

Presque 9 mois après le dernier épisode de cette série de billets sur mes mémoires télévisuelles, voici dont un nouvel article.

Dans cet épisode, j’ai eu envie de me replonger à une époque lointaine, quand TF1 proposait des émissions culturelles. Ne riez pas, cela a existé. Une émission qui connut « deux saisons », l’une en 1982 (dont je n’ai presque aucun souvenir) et la deuxième en 1986 (qui est resté ancré dans ma mémoire pour son générique en dessin animé), c’était « L’aventure des plantes ».

Une émission de 26 minutes, par série de 13 épisodes qui racontait la vie des plantes et des insectes, que ce soit les plantes vivants les milieux les plus hostiles (par le froid, la chaleur, les conditions d’humidité), les symbioses entre animaux et plantes, les diverses méthodes inventées pour aider à la reproduction des plantes, et bien d’autres choses.

Je dois dire que l’épisode sur les plantes carnivores m’avait fait faire quelques cauchemars…

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