S’il y a une saga policière matinée d’un humour toujours bien dosé, c’est celle écrite par Jérome Dumont. Dans le huitième tome de la série, nous sommes à la fin de l’été. En cette période de calme estival plus que trompeur, Gabriel Rossetti essaye de profiter du beau temps pour liquider les dernières affaires en cours.
Entre un client un brin ombrageux, et dont la masse des dossiers laisse penser qu’une facturation au kilo serait plus réaliste qu’un forfait horaire, une chanteuse de Jazz qui demande à divorcer et les ennuis de sa chère et tendre épouse Amandine MacLane qui doit gérer des travaux qui s’éternisent, il n’a malheureusement pas de quoi souffler.
Un petit billet en vrac’ écrit depuis mon lieu de vacances. Il n’y aura pas grand chose, étant donné que j’ai envie de profiter un peu de mes soirées en famille 🙂
Pour le monde immature agité du logiciel du libre :
Si vous aimez les ambiances folk western matinées de psychédélisme, alors les créations des Two Old Vagabond Shoes pourraient vous plaire. Une découverte que je dois à un courrier électronique d’un des membres du groupe. J’en parlerai plus en longueur la semaine prochaine. Vous pouvez écouter leur premier EP sur leur site ou sur leur espace soundcloud.
On appelle Moyen Âge central, la période de l’histoire européenne entre l’an 1000 et l’épidémie de peste des années 1340. Bien quel’époque médiévale fut une période de progrès lents sur le plan scientifique – l’Église Catholique Romaine ayant un poids énorme sur le pouvoir politique et la société – c’est aussi une période qui vit naître des mouvements comme le Fin’Amor appellé amour courtois par la suite.
Une tradition importée dans le royaume de France par une certaine duchesse peu connue, Aliénor d’Aquitaine qui pour les britanniques est connue sous le nom d’Éléanor de Guyenne…
Désolé pour cette longue introduction, mais il faut bien mettre en place le contexte pour pouvoir apprécier à sa juste valeur le premier album solo de Claire Bénard alias Korydwenn. J’avais découvert son projet de chant médiéval sur Ulule – où vous pouvez écouter un extrait du dit album – et j’avais décidé à l’époque d’apporter mon don pour financer le projet.
J’ai reçu l’album récemment, et j’ai eu envie de faire une rapide chronique de celui-ci.
Il m’avait demandé si j’étais intéressé pour devenir scénariste d’une petite série de planches humoristiques à publication mensuelle. J’ai répondu par la positive, et quoi de mieux que de me moquer du « blogueur influent » que certaines personnes se targuent d’avoir.
Voici donc la première planche…
Si vous n’arrivez pas à lire le texte en anglais de la deuxième case, c’est l’annonce d’une énième distribution basée sur Ubuntu qui ne fait que changer le thème d’icônes ou le fond d’écran… En clair, des productions du genre feu Micro-R OS…
Note : si cliquez dessus vous aurez une version plus grande et plus lisible au niveau des petits caractères 🙂
Quatrième épisode de cette série, il sera plus fourre-tout que les précédents, car il ne concerne pas un genre en particulier. Mais une méthode de publication, la musique libre.
C’est vers 2006 ou 2007 que je découvre Jamendo, ainsi que des sites comme Altermusique ou dogmazic. Je ne sais plus par quel moyen j’entends parler d’un mouvement que je trouve bizarre : la musique sous licences libres. De la musique qu’on pouvait récupérer gratuitement et légalement, comme je l’avais fait pour mon système d’exploitation.
Un des albums qui cartonnait à l’époque, c’était « Listen » de Tryad. Je sortais d’une époque où je récupérais illicitement un peu de musique commerciale sur des réseaux comme Kazam ou encore sur Limewire… Toute une époque 🙂
J’étais déjà utilisateur de logiciels libres, mais de la musique sous licence libre, je me suis dit « Quoiiiiiiii ? »
J’ai donc lancé la lecture de l’album, m’attendant au pire, et une fois passé la première piste, je tombe sur « Breathe ». Et c’est le coup de coeur.
Je me suis alors mis à fouiller frénétiquement les sites de musique libre, et comme pour la musique commerciale, j’ai trouvé à boire et à manger.
Mais surtout des artistes que j’ai continué de suivre par la suite : Ehma, Roger Subirana (dont je reparlerai dans un futur billet), Zero Project, Strange Zero, In Limbo, Marker Beacon ou plus récemment Lily Anne Jutton. J’ai dû en oublier une tripotée ou deux, mais cela m’a permis de m’ouvrir à des univers musicaux que j’aurais boudé autrement…
Dans la catégorie « Tiens, elle est encore en vie », je demande la Rosa Linux R8, vous savez la version commerciale de l’OpenMandriva… Du moins au début du projet OpenMandriva 🙂
Trouvé via le réseau préféré du clash instantané, je demande les Bulgares de Metalwings qui proposent du métal symphonique et gothique avec des influences celtiques.
Pour les amoureuses et amoureux de la folk anglaise, Josienne Clarke et Ben Walker ont annoncé la disponibilité en précommande de leur prochain opus, qui sortira le 14 octobre 2016. Il s’appelle « Overnight ».
J’ai découvert très jeune le duo folk. C’était via une compilation de leur cinq albums studio sorti à la fin des années 1980, début des années 1990. Ce fut mon cadeau d’anniversaire. Même si j’ai eu du mal avec les deux premiers albums du duo, mon coup de coeur primaire a été avec les créations du duo a été l’album « Bookends », l’avant-dernier album studio officiel sorti en 1968.
Il contient un de mes titres préférés, « Old Friends ».
Octobre 1981. Sur France Régions 3 à 19h55, passe une série franco-japonaise par tranche de 5 minutes chaque soir, en entier le samedi : « Ulysse 31 ». Le scénario de base est simple. Les auteurs – Jean Chalopin et Nina Wolmark – ont repris l’histoire d’Ulysse et l’ont transposé en série de science fiction. Au lieu de se situer en Mer Méditerranée, Ulysse – Odysseus en grec ancien – est envoyé dans le mystérieux univers de l’Olympe après avoir terrassé le Cyclope et s’être mis à dos Poséidon qui a demandé l’intervention de Zeus.
Tout comme dans l’histoire originale d’Homère. Outre le fait que les principales étapes soient respectées comme avec Calypso, Circée, le duo de Charybde et Scylla, un passage chez Éole ou encore les sirènes, il existe des épisodes comme « Les révoltés de Lemnos » ou « Le fauteuil de l’oubli » qui sont des créations pures et dures. Il y a aussi d’autres histoires tirées de la mythologie grecque : Sisyphe, sans oublier la présence d’épisodes avec des dieux Atlas ou encore Chronos. L’histoire se terminait au bout de vingt-six épisodes avec l’arrivée au Royaume d’Hadès.
Quand j’étais tout petit, dans les années 1980, Genesis avait déjà amorcé son tournant pop-rock. Ce n’est que dans les années 1990, avec une émission musicale de M6 qui m’a beaucoup aidé à mon éducation culturelle que j’ai pu découvrir ce qui allait mettre des années à germer dans mon esprit : l’amour du rock progressif des années 1970.
C’est vers 1991 ou 1992, que dans un numéro de « Culture Rock » consacrée à l’année 1973 que j’ai vu apparaître une séquence de l’introduction du titre « Dancing with the Moonlit Knight » interpreté par Peter Gabriel.
Ma première et seule réaction à l’époque fut de me dire : « C’est quoi ça ? »
Mais la graine était plantée, il fallait lui laisser le temps de germer. Cela a pris une bonne douzaine d’années, durant lesquelles j’ai écouté la bonne sousoupe commerciale des maisons de disques, avec des exceptions notables comme quelques albums des Who (« Tommy » et « Who’s Next ») ou encore des Beatles.