« Never Two Without Three » : découvrez le « Horstcore ».

Il m’arrive d’être contacté, soit via courrier électronique, soit par un message via le réseau à l’oiseau bleu, par des artistes et groupes.

Cette fois, c’est un courrier électronique que j’ai reçu de la part du groupe Horst. Situé à Paris, il pratique un genre musical à part entière, baptisé Horstcore. C’est un mélange de post-rock et d’un genre qu’on appelle le math rock. Non, ce n’est pas un genre musical inventé par les mangeurs d’équations et de théorèmes au noms (a)variés.

C’est – merci Wikipedia – un mouvement né au milieu des années 1980, qui se composent de riffs et de mélodies le tout mâtiné d’une compléxité rythmique. En gros, des compositions tout sauf simplistes 🙂

Horst m’a donc contacté pour me parler de la disponibilité de leur troisième opus auto-produit, en téléchargement à prix libre et médiator sur la guitare (oui, faut bien adapter les expressions, non ?) sous licence Creative Commons CC-BY-NC-SA.

L’album dure un peu moins de 39 minutes. Avec 5 pistes entre presque 6 minutes et une qui approche les 11, c’est normal, non ? 🙂

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Les projets un peu fou du logiciel libre, épisode 8 : GNU/Hurd.

Je sais, j’ai mis énormément de temps à sortir ce nouvel épisode de la série « Les projets un peu fous du logiciel libre », mais l’attente en valait la peine. Le huitième épisode est donc consacré à GNU/Hurd, qui est sûrement le projet le plus fou et le plus moqué du logiciel libre.

Noyau du projet GNU, il est plus vieux que Linux lui même… Dans la célèbre « dispute » entre Linus Torvalds et Andrew Tannenbaum, concernant le choix d’un noyau monolithique au lieu d’un micro-noyau (comme celui prévu pour GNU) en janvier 1992, Linus Torvalds déclara :

« […]If the GNU kernel had been ready last spring, I’d not have bothered to even start my project: the fact is that it wasn’t and still isn’t. Linux wins heavily on points of being available now.[…] »

Ce qui donne traduit ?

« […]Si le noyau de GNU avait été prêt au printemps dernier, je n’aurais pas pris la peine de même commencer mon projet: le fait est qu’il n’a pas été et est toujours pas. Linux gagne en grande partie sur le fait d’être disponible dès maintenant.[…] »

Le printemps dernier étant bien entendu celui de l’année 1991. Bref, 25 ans sont passés, et si on va sur le site officiel de GNU/Hurd, on s’aperçoit que les options sont limités. La seule distribution fonctionnelle ? Une image disque avec une Debian GNU/Hurd.

J’ai donc récupéré l’image ISO de la dernière version (mars 2016), et j’ai donc suivi les instructions disponibles aussi sur la page du projet chez Debian pour tester l’ensemble. Le noyau GNU/Hurd ne semblant être fonctionnel qu’en 32 bits pour le moment.

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« La tentation de la pseudo-réciproque » : dernière…

Voici donc le quatrième et dernier billet sur cette eptalogie en 9 tomes – Douglas Adams, sort de mon esprit ! – écrite par Kylie Ravera.

Après un billet sur le premier tome, puis un deuxième sur les tomes 2 et 3, puis sur les tomes 4, 5 et 6, voici donc le billet avec les tomes 7, 7,5 (oui !) et 8.

J’avais fini mon précédent billet ainsi :

Si vous ne connaissez pas la saga, foncez, vous ne serez pas déçus !

Je dois dire que cette phrase s’applique très bien aux ultimes tomes de la saga. Commençons donc par le tome 7, « Là où les tortues luttent« .

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Côté logiciel libre :

Dans le domaine « fourre-tout » :

  • Le Joueur du Grenier s’est éclaté pour parler de l’étron intersidéral qu’est le dernier film sur les Chevaliers du Zodiaque… Comment dire, je suis entièrement d’accord avec lui ?
  • Le 24 juin 2016, c’était le 20ème anniversaire de la sortie d’un FPS plus que classique : « Quake ». Le studio de développement suédois Machine Games (qui a développé deux titres dans la série des Wolfenstein) propose un épisode complet pour l’occasion. Le vieux Quaker que je suis suis (une partie de temps en temps, ça soulage après s’être tapé la dernière étronicielle en date) n’a pas pu s’empêcher de le tester… Et c’est de la bonne, même si l’accès au niveau de difficulté Nightmare est trop facilement trouvé 😉

J’aurai pu rajouter l’accès au Dopefish caché dans cet épisode, mais non, vous le trouverez 🙂

Côté livre ? Rien, étant plongé dans la saga de « La Tentation de la Pseudo-Réciproque » de Kylie Ravera.

Côté musique ?

« La tentation de la pseudo-réciproque » de Kylie Ravera : suite et pas encore fin :)

Il y a une semaine jour pour jour, je parlais des tomes 2 et 3 de la saga de roman policier de Kylie Ravera. En l’espace d’une semaine, j’ai pu dévorer les tomes 4, 5 et 6. Voici donc mon retour.

Arrive donc le tome 4 de la série, « L’abominable canard des neiges ».

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« Nizhâm » des Dayazell : pour une fois que la fête de la musique annonce une bonne nouvelle… :)

Enfin, je voulais surtout parler de la date symbolique du 21 juin. Le 13 septembre 2013 – qui était accessoirement un vendredi – je parlais du premier album du quatuor Dayazell.

Depuis j’avais gardé un oeil sur l’activité du groupe. Et le 21 juin, le groupe annoncé la sortie de son nouvel opus sobrement intitulé Nizhâm.

Ici, tout ce qui fait le charme de l’album éponyme du quatuor refait surface.

Avec cet album qui frôle l’heure – un peu plus de 57 minutes pour être exact – on retrouve toutes les influences du groupe. Que ce soit les chants traditionnels scandinaves avec « Mitt Adertonde Ar », des chants soufis avec « Ah Nice Bir Uyursun », des chants européens médiévaux avec « Mariam Matrem Virginem » ou des instrumentaux comme avec « Sahar », « Eol » et « Shashkin » qui occupe une bonne partie de la deuxième moitié de l’album.

Autant dire que l’auditeur n’a pas le temps de s’ennuyer. C’est du grand Dayazell qui montre que les influences musicales. Inutile de préciser que l’album en version physique ira bientôt rejoindre son « grand frère » dans ma collection.

Merci Dayazell !

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Même si l’article est un peu tardif, le publiant le 19 juin vers 18 heures.

Côté logiciel libre :

Côté livre ? Sauf contre indication, je me base sur les extraits librement téléchargeable.

Côté musique ? Rien cette semaine pour me caresser les oreilles… Si ce n’est que le groupe Elfika propose une version physique de sa première démo. J’avais déjà parlé du groupe dans un billet en vrac’ d’août 2015.

Bon semaine de… À vous de compléter ! 🙂

« La tentation de la pseudo-réciproque » de Kylie Ravera : les tomes suivants tiennent-ils leurs promesses ?

Après le premier tome de la saga « La Tentation de la pseudo-réciproque » dévorée en 48 heures, j’ai décidé de m’attaquer à la suite des aventures de Peter Agor et d’Eléanore Marolex.

Je vais donc parler rapidement des tomes 2 et 3 de la saga, respectivement « À l’X, le bicorne est incontournable » et « Carrément à l’OUEST ». Commençons donc par la deuxième partie des aventures de Peter et de son nouveau camarade, le chat Perpilopette.

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« La tentation de la pseudo-réciproque » de Kylie Ravera… Ou comment l’auto-édition remonte un peu dans mon estime.

Je dois dire que récemment l’auto-édition était tombé très bas dans mon estime, vu les magouilles que j’avais pu constater et qu’Agnès de Destination Passions a listé.

Suite au conseil de « The SF Reader » sur twitter, j’ai téléchargé gratuitement le premier tome de l’eptalogie de Kylie Ravera, « La tentation de la pseudo-réciproque ».

L’histoire commence en un froid mois de février par une disparition mystérieuse du côté d’un lycée prestigieux qui accueille les classes préparatoires aux grandes écoles, Pépin-Le-Bref. Dès le premier chapitre, nous voyons le pauvre Peter Agor en train d’attendre avec une douloureuse impatience sa note du dernier contrôle de maths… Qui est aussi cultivé que sadique.

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En vrac’ dominical.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Côté logiciel libre et informatique en général :

Pour les archives, le voici 🙂

parabolaCôté livre ? Sauf contre indication, je me base sur les extraits librement téléchargeables. Bien qu’ayant décidé d’arrêter de chercher les quelques rares pépites de l’auto-édition, vu l’offre plus que pléthorique et me méfiant comme de la peste des comptes twitter spécialisés dans le domaine, il pourra m’arriver d’en parler 🙂

  • Prenez une dose de policier, une dose d’humour bien léché sans tomber dans l’élephantesque, des personnages truculents sans tomber dans le lourdingue et un cadre rêvé : un lycée de classe préparatoire. Secouez le tout et vous obtiendrez « La tentation de la pseudo-réciproque » de Kylie Ravera. Pour info, j’ai dévoré près d’un tiers du bouquin en l’espace de deux heures. Merci à The SF Reader sur twitter pour le tuyau.
  • Après une comédie policière, Marylise Trécourt se lance dans une biographie mâtinée de suspense, « Otage de ma mémoire ». J’ai téléchargé l’extrait, on verra bien !

Côté musique ? Rien cette fois-ci.

Bon week-end 🙂