En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

  • Je ne savais pas que mon collègue blogueur Didier alias Iceman avait pondu un album de musique électronique en 2002… Le voici donc pour les personnes curieuses. Il s’intitule « A Curse through the Groove ».

C’est tout, je sais, c’est court… Mais quand y a rien à rajouter… 🙂

Bon week-end 🙂

Vieux Geek, épisode 137 : Quand le premier Doom était franchement sulfureux…

S’il y a bien un jeu qui a marqué le monde vidéoludique, c’est le premier Doom publié par ID Software fin 1993, début 1994. Donc, 25 ans au moment où je rédige cet article.

Alors que John Romero prévoit la sortie courant février 2019 d’un cinquième épisode pour les 25 ans de Doom au doux nom de Sigil qui s’insèrera entre la fin de l’épisode « Thy Flesh Consumed » et Doom II, j’ai eu envie de revenir sur une anecdote assez connue, celle du svastika contenu dans les premières versions de Doom.

En utilisant les archives du dite DooMGate.de, j’ai pu mettre la main sur les versions partagicielles 1.0, 1.1, 1.2 et 1.4 beta de Doom.

Doom II est connu pour ses deux niveaux secrets qui sont un énorme hommage aux précédents titres d’id Software, Wolfenstein3D et Commander Keen… Mais il y avait eu un précédent.

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Sachons nous moquer de la nudité technique avec humour et décontraction.

Puisque l’on est dimanche, je vous partage une vidéo que j’ai faite sur ce qui se fait de pire dans le monde technique francophone. Non, je ne parle pas du mythique Bob Morris et de ses bracelets anti-statiques, mais du roi du drama technique que je ne citerai pas directement ici.

Le Saint en question est nu, comme le roi des contes d’Andersen. Comme les tailleurs se moquèrent de l’empereur et de sa vanité, je fais ici de même mais pour montrer la nudité technique complète qu’on peut voir.

C’est de l’humour et rien d’autre. Comme disait un certain chanteur peu connu, dans un titre de de 1978 que tout passe mieux en chanson 🙂

Nous sommes dans le monde du libre, donc libre à vous de suivre les conseils de cet ironique Saint… Et d’en payer les conséquences à termes. Ce ne sera pas mon problème, mais les votres.

Bref… Je n’en dirais pas plus ! Vous comprenez pourquoi j’ai fini par quitter Youtube et son grand cirque !

Les liens de la vidéo ?

https://www.youtube.com/watch?v=_K8-9Q0PSHM et https://twitter.com/sibe39/status/1089158043068186624

Allez, bon dimanche !

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

La route du logiciel libre à 100% est-elle pavée de bonnes intentions ?

Note au 18 janvier 2019 : suite à une prise de bec dans les commentaires à cause d’une fausse manipulation de ma part, je ferme ceux-ci après avoir virés les dits commentaires. Désolé, mais je n’ai pas le temps physique de gérer actuellement une nouvelle crise.


Cela fait maintenant près de 23 ans que j’ai goûté pour la première fois au monde linux. C’était via une Slackware Linux proposée avec le magazine PC-Team et son numéro 9 de janvier 1996.

Autant dire que ça date pas mal… Au fur et à mesure des années, j’ai connu les grands noms de l’époque dont une partie a survécu avec plus ou moins de succès. Depuis presque 10 ans j’utilise au quotidien Archlinux. Ce qui m’a sensibilisé au logiciel libre et à la volonté de réduire la dépendance maximale aux composants logiciels non libres.

Cependant, comme toute volonté de se libérer le plus possible, voire complètement, cette route est pavée de pas mal d’embuches. Entre 2008 et 2009, j’ai dû batailler ferme avec un circuit wifi Atheros qui n’était pas encore complètement reconnu en utilisant l’enrobeur ndiswrapper.

Au fil des années, j’ai pu me passer de la quasi-majorité des codes non-libres qui ont tourné sur mes équipements successifs, le plus gros succès ayant été l’utilisation au quotidien de Nouveau pour faire fonctionner mes cartes Nvidia successivement abandonnées par leur créateur.

Mais je n’ai toujours pas franchi le cap de l’installation du noyau linux-libre, vous savez le noyau dont les composants non-libres, spécialement les micrologiciels ont été enlevés.

Pour une simple et bonne raison : sans des micrologiciels non libres comme le microcode AMD pour mon Ryzen3 2200G, gérer correctement le GPU est une galère sans nom et j’ai dû batailler ferme pour faire supporter complètement mon GPU durant plusieurs mois. Sans le microcode non-libre, je n’imagine pas les galères que j’aurais encore dû supporter.

Sur le plan des distributions officiellement adoubées par la Free Software Foundation, les progrès ont été énormes, bien que des écueils comme la BLAG (une mauvaise idée au final vue la facilité théorique de libérer complètement une Fedora Linux vue la politique de RedHat pour les logiciels non-libres) aient existé. J’en ai d’ailleurs parlé dans cet épisode de ma série « Les distributions GNU/Linux (in)justement oubliées.

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Comment bien commencer la semaine ? Avec du metal, voyons !

Un court article cumulatif sur deux albums qui m’ont fait craquer récemment et dont j’attends la réception avec impatience.

Le premier entretient la tradition scandinave du metal. Nombre de groupes de metal sont originaires du trio Danemark, Norvège et Suède. On rajoute souvent à tort la Finlande à la liste, du moins sur le plan géographique. Outre des grosses pointures comme Opeth (Suède) ou encore Myrkur (Danemark), il y a des plus petits groupes comme l’excellent Apocalypse Orchestra.

Prenez des inspirations folk, doom metal et une larme de musiques médiévales. Vous obtiendrez plusieurs orgasmes auditifs via l’album « The End Is Nigh ».

Avec des pistes comme « The Garden of Early Delights » ou « Flagellants’ Song », il y a de quoi s’en mettre plein les cages à miel. Dire que j’ai manqué un tel album sorti en 2017, c’est limite impardonnable !

L’album est écoutable sur spotify ou deezer.

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En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Le dernier pour l’année 2018 !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Nostalgique de la Crunchbang ? Alex anciennement connu sous le pseudo de Darthwound, papa de la Viperr en remet une couche avec un script dénommé CRubuntuNG qui permet de transformer une ubuntu minimale en Crunchbang de la grande époque. Plus d’infos sur le site d’Alex.
  • La cousine d’Archlinux, KaOS sort une ultime version pour l’année 2018 avec sa version 18.12.
  • Pour les personnes plutôt orientée monde gentoo, je demande la Calculate Linux 18.12.
  • Tiens, il y a encore des personnes pour s’acharner sur Fluxbox ? Apparemment, c’est le cas avec la Fluxuan (Fluxbox avec Devuan).

Côté culture ?

  • Kesakoo, qui mélange les sonorités hip-hop et triphop, a rallongé de quelques jours sa campagne de financement participatif pour son nouvel album qui sortira début 2019. Plus d’infos sur la page de la campagne.
  • Vous aimez le power metal avec du chant clair féminin ? Alors, laissez traîner une oreille du côté du premier album des italiens de Frozen Crown, intitulé « The Fallen King ».
  • Si le metal symphonique – toujours avec du chant clair féminin – est votre tasse de thé, alors les bulgares de Metalwings vous plairont avec leur premier album « For All Beyond »

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine… Spécial fêtes de fin d’année !

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Et comme au moment où j’écris cet article on est à 4 jours de Noël…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, avec une note d’humour et de geekerie, l’épisode 45 de ma série « C’est trolldi, c’est permis » sur Archlinux et les flatpaks :

Bon week-end et Noyeux Joël 🙂

« Post-crash » de Missing Waves : un mélange improbable et pourtant tellement bon !

Il m’arrive d’être contacté par des groupes pour me parler de leurs créations. C’est le cas avec Missing Waves et leur premier album, « Post-Crash ». C’est un groupe qui mélange la pop, le jazz, la pop plus ou moins « réveuse » avec une dose de dadaisme.

Oui, cela peut apparaître étrange. Et c’est le cas pour cet album qui dure une petite quarantaine de minutes.

On peut trouver dans l’album des pistes foncièrement jazzy comme « Horizon », « Are We Like Clouds? », « Bassékilendo », au milieu de pistes plus pop comme « All Is Done », « Where Are You? »

Il y a aussi les très bonnes pistes « Les îles et les lacs » et « Là-hauts », ballades à la limite de la méditation, qui frôle les 10 minutes à elles deux.

Sans oublier la piste qui fait exploser le bizarroïdomètre avec « Flying Cats » et ses ronronnements.

La dernière piste « Boys Don’t Cry » est aussi une petite ballade qui conclue en douceur l’album.

Même si je n’ai pas encore acheté l’album au moment où j’écris cet article, le 19 décembre 2018, je compte le faire en passant par le site de leur label courant janvier 2019, Brocoli records. Et oui, cela ne s’invente pas !