« This Is For Our Sins », le chef d’oeuvre de Lowercase Noises.

J’avais déjà parlé de Lowercase Noises en septembre 2012, avec l’album « Carry Us All Away ».

En avril 2014, Andy Othling alias Lowercase Noises a sorti ce qui est sans aucun doute un chef d’oeuvre, « This Is For Our Sins« .

L’album qui dure une heure raconte l’histoire vraie de la famille Lykov qui a vécu pendant une quarantaine d’année isolée au beau milieu de la Sibérie. Famille découverte par hasard par des géologues en 1978.

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Vendredi musical, deuxième : « The Dark Symphony » du groupe Le Reverie.

J’avoue que j’ai un péché mignon : le metal symphonique avec une chanteuse derrière le micro. Cela peut donner le meilleur comme avec Selene ou Seven Nails, comme le pire. Et pour le pire, je ne donnerais pas de noms 🙂

Fouillant sur Bandcamp pour assouvir ma soif de metal symphonique avec une chanteuse derrière le micro, je suis tombé sur le groupe californien « Le Reverie » et sur leur premier album, publié en octobre 2012.

Après une intro classique à base de cords, vous pouvez vous préparez à une cinquantaine de minutes d’un metal symphonique tout ce qu’il y a de plus « classique », avec une entrée en force dès la piste éponyme.

La voix de la chanteuse Allie Jorgen est porté par les mélodies à la fois puissantes et entrainantes.

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Vendredi musical, première : « Creatures » de Terraformer.

Pour commencer ce vendredi musical, je voudrais vous parler d’un album du groupe belge « Terraformer ». Cet album du nom de « Creatures », le deuxième de leur discographie.

Il est sorti en avril 2014, et s’adresse aux fans de post-rock instrumentale, aux tendances progressives, car il faut savoir que la plus courte des pistes, « Louve » ne fait que 1 minutes 25, les autres pistes montent allègrement dans les 6 à 7 minutes.

Pour décrire leur style ? Comment dire sans tomber dans les références élitistes ? C’est difficile. Pour les personnes qui connaissent un peu le post-rock, je pense que c’est une version plus metallesque de ce que propose les japonais de Mono.

Ou vous prenez les mélodies de l’époque bénie de King Crimson, vous lui rajoutez une dose de metal, et vous aurez un premier aperçu de ce que propose Terraformer dans cet album.

Si vous aimez les bons vieux disques vyniles qui craquent, il faut savoir que le groupe propose l’album sur son site officiel.

Le plus simple ? Ecoutez donc l’album. Si vous aimez les mélodies enlevées, les guitares électriques, et qu’un album de 43 minutes de bon gros son qui décrassent les cages à miel vous branche, foncez 🙂

Cerise sur le gateau ? L’album est publié sous licence Creative Commons BY-NC-ND.

Bonne écoute.

« Revers de fortunes » d’Antoni Lenormand… L’argent et le bonheur, est-ce compatible ?

J’avoue que je n’accroche pas facilement aux thrillers et aux policiers. Il y a trop de productions dans le domaine, ce qui le noie sous les pires nullités jamais proposées. Cependant, un article d’Agnès sur son blog parlant rapidement du livre a évéillé ma curiosité.

Cependant, le sujet du roman, un type un peu perdu, qui d’un seul coup décroche d’une manière peu conventielle le gros lot de la loterie nationale, et qui voit les revers s’accumuler est intéressante.

Surtout quand la faucheuse abat son instrument de travail à intervalles réguliers.

Un roman que j’ai dévoré en l’espace de quatre jours, ce qui est un exploit pour moi qui ne suit pas un fan du genre.

La fin est très surprenante, largement moins convenue qu’on pourrait le penser…

Un roman qui n’oublie pas les pointes d’humour noir, le cynisme, et les réflexions du personnage principal qui mériterait quelques baffes de temps à autres…

Ah, les effets de mode… :)

Tout est cyclique, spécialement les modes. J’en veux pour preuve deux domaines qui m’intéressent à savoir celui des romans et des distributions GNU/Linux.

Quelques exemples ?

La saga de l’Héritage de Christopher Paolini. J’ai décroché à la moitié du troisième volume, « Brisingr », tellement l’ennui était palpable. Par la suite, combien de saga avec des dragons ont envahi les étalages ?

Mais n’oublions pas les histoires de vampyres après le succès de la saga Twilight ou encore la série de plus en plus barbante et prévisible des romans policiers de Camilla Läckberg qui sont de moins en moins intéressant depuis le tome 5, « L’enfant allemand ».

Je ne parlerais pas de la mode des polars et autres thrillers qui envahissent les étagères virtuelles ou réelles jusqu’à la nausée.

Combien de livres de saga qui sont des photocopies peu inventives finissent au pilon ?

Je dois dire qu’en dehors de quelques livres, comme « Un Genou à terre« , ou encore « Trois balles dans le buffet« , l’ennui est intégral quand je veux lire un roman policier ou un thriller. Même si je suis tombé sur une exception récemment dont je vous parlerai dans quelques jours, le temps de le finir.

Autant dire que quand j’ai auto-édité mon premier roman, en utilisant un thème de science fiction dystopique, je suis allé à contre courant de la mode actuelle… Ce qui est une très mauvaise idée sur certains plans 🙂

Mais assez parlé de littérature, parlons un peu d’informatique libre.

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