Il y a aussi des utilisateurs et utilisatrices qui en tiennent une sacrée couche. Dans l’épisode 3 de la série publiée le 7 septembre 2017, je parlais en mots choisis de la dichotomie entre la sphère des développeurs et celles des utilisateurs.
S’il y a des développeurs qui sont tellement imbus de la puissance retirée par le fait de savoir écrire des programmes en C, C++, Java, Rust, Ruby, Python ou encore en Brainfuck et qui finissent par ne plus sentir leur sphincter de l’urètre se détendre, il y a aussi des utilisateurs et des utilisatrices qui poussent le bouchon.
Il y a des utilisateurs et des utilisatrices qui ne voudront rien comprendre à l’informatique et qui verront les personnes qui s’y connaissent un peu comme des « super informaticiens » corvéables à merci.
Il y a aussi des personnes qui ayant un peu trop d’aisance ont tendance à vouloir rajouter les derniers gadgets à la mode – que ce soit via des PPAs sous les Ubuntu-like ou des paquets AUR par dizaines pour la famille des Archlinux – et qui viendront se plaindre si la mise à jour suivante se plante comme un MS-Windows Millenium sous amphétamine.
L’informatique aura toujours des impondérables, et les mises à jour, que ce soit dans le monde du libre ou le monde de Microsoft et d’Apple, présenteront un risque de plantage. Le but des développeurs et des testeurs étant de limiter la casse au maximum.