En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième samedi du mois de février 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois-ci.

Sur ce, bon week-end

Quel avenir pour mon équipement rétroludique ?

Ici, je ne vais parler que de mon équipement rétroludique principal, à savoir le Commodore 64 et les ajouts que je pourrais y faire. Mon PC ne nécessite plus qu’un investissement modique (un beeper à remplacer) pour être 100% fonctionnel.

Cela fait deux ans que j’ai reçu en cadeau un Commodore 64, sans câbles ni alimentation. J’ai donc dans un premier temps investi dans une alimentation moderne et un câble vidéo pour pouvoir brancher le Commodore 64 à ma vieille (7 ou 8 ans ?) TV avec un affichage LCD.

J’ai ensuite investi dans un SD2IEC (pour charger les images disques depuis une carte SD), une cartouche Final Cartridge 3+ (pour avoir un accélérateur de chargement entre autre), sans oublier un incontournable joystick à brancher sur le port 2.

J’ai pris une photo avec tous les périphériques que je possède branchés au « cul » de l’ordinosaure. À savoir de gauche à droite :

Quels sont les équipements que j’envisage de prendre d’ici la fin de l’année 2024 ? Une carte Kung Fu Flash qui est bien pratique pour lancer les jeux au format cartouche qui sont de plus en plus nombreux. Et si c’est possible, un lecteur de disquettes 1541 / 1541-II pour les quelques disquettes 5 pouces 1/4 au format Commodore que je possède. C’est quand même mieux de lancer un jeu depuis un format physique de temps à autres 😉

En gros, j’en aurai pour une grosse centaine d’euros, 150 en cumulé au pire. J’écume les annonces sur eBay donc je garde confiance, au moins pour la carte Kung Fu Flash.

C’est bien le rétroludique, surtout sur le matériel d’origine, même si quelques frais sont à prévoir régulièrement.

« Huck on the Mississipi », un jeu pour Commodore 64 qui aura mis 37 ans à être publié…

Le monde du jeu vidéo est cruel. Chaque année, nombre de projets sont abandonnés à divers états de finition. Il y a un site qui s’appelle « Game That Weren’t » et que je visite de temps en temps. On tombe ainsi sur des projets de jeux vidéos à divers états de développement… Avec des niveaux de disponibilité variables. C’est toujours une adresse à avoir sous la main au cas où 🙂

C’est via IndieRetronews que j’ai appris l’existence d’un petit jeu où il faut faire le meilleur score possible, « Huck on the Mississipi ». C’est un jeu commencé en 1987 et terminer en 2024. Oui, il y a eu une pause de 35 ans dans le développement du jeu. Ce qui doit être facilement la plus grande pause jamais connu dans le monde du jeu vidéo.

C’est l’auteur du jeu, Frank Abbing qui le dit sur la page archive.org où on peut récupérer le jeu :

After a break of 35 years, I have finished programming this game for the C64.

Besoin de traduire ?

Le principe est simple : On est Huckleberry Finn et on est sur un tronc d’arbre au milieu du Mississipi. Il faut récolter les fruits en évitant d’être touché par les animaux qui s’y promène. On n’a qu’une seule vie et on ne peut être touché que 5 fois avant que la partie ne s’arrête.

J’ai enregistré une vidéo où je suis arrivé au 3e niveau des 10 qui existent. Le niveau de difficulté monte rapidement et c’est déjà bien d’arriver au niveau 3 !

Ce jeu est assez sympa, mais il est aussi un peu frustant au niveau difficulté. On se retrouve avec un titre qui aurait sûrement eu des bonnes notes dans les magazines des années 1980-1990. On y retrouve la difficulté classique des jeux de cette époque, et c’est un bon challenge que d’essayer d’arriver au niveau 4 🙂

Je vous laisse le découvrir… Faites attention, ça devient rapidement addictif 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième samedi du mois de janvier 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Amanda Palmer vient de sortir un nouvel EP, « New Zealand Survival Songs ».

Pour finir, une petite vidéo dans la série « La CLI, c’est la vie » consacré à rtorrent.

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier mercredi de janvier 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Emmabuntüs annonce la sortie de la version DE5-1.01 de sa distribution orientée recyclage de vieux ordinateurs.
  • La DGLFI de la semaine. Partez d’une Fedora Linux Gnome. Configurez l’extension dash-to-panel pour obtenir une présentation générale à la MS-Windows. Rajoutez-y les dépôts RPM Fusion. Secouez le tout, et vous aurez la Oreon Lime.
  • Dans le monde des distributions GNU/linux légères, je demande la WattOS R13, une base Debian avec Openbox comme gestionnaire de fenêtres.
  • Haplo qui nous a déjà proposé la série des « Tenebra » ou encore « Caim » revient sur le Commodore 64 avec un jeu d’exploration assez stratégie, « Binary Battle ». On y joue le rôle d’un antivirus qui doit nettoyer une disquette des véroles sur 5 niveaux constitués de 5 sous-niveaux pour y récupérer le code source d’un jeu. Bon courage 🙂
  • Dans la série, « tiens le projet bouge encore », je demande la version 4.1.15 d’Apache OpenOffice. Pourquoi tant d’acharnement thérapeutique ?

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bonne fin de semaine !

« Evil Dungeon » 1 et 2, des jeux d’exploration de donjons qui vous donneront du fil à retordre…

Pour le dernier article de l’année 2023, j’ai envie de parler des deux jeux « Evil Dungeon » et « Evil Dungeon II », les deux créés par Gregor Schillinger durant l’année 2023. Le premier est gratuit, le second payant à 4,99$. On est loin de se ruiner 🙂

Bien qu’on soit loin du peaufinage graphique d’un « Briley Witch Chronicles 2 », on a droit à des graphismes en PETSCII – que j’ai appris à apprécier – avec des bruitages et une musique de fond pour « Evil Dungeon II ».

Les deux sont codés en Commodore Basic v2 avec une tonne de peek et de poke pour contourner les limitations du langage. Ce qui est quand même un sacré tour de force. C’est ce qui m’a laissé sur le popotin, car les jeux – même s’ils sont lourds à charger – répondent assez bien à la demande.

On joue le rôle d’Aldrik, un jeu apprenti forgeron dont la famille a été massacrée par des orcs. Dans le premier jeu, on arrive dans une auberge dont le patron a découvert un passage secret. Un de ses amis, un nain s’est lancé dans l’exploration du donjon, mais n’a plus donné signe de vie. Vous y allez à votre tour pour retrouver le nain.

Continuer la lecture de « « Evil Dungeon » 1 et 2, des jeux d’exploration de donjons qui vous donneront du fil à retordre… »

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier mercredi de décembre 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans le petit monde des distributions basées sur la Fedora Linux, je demande la Nobara Linux 39.
  • La DGLFI de la semaine. Prenez une base Debian, le gestionnaire de fenêtres Sway, un noyau avec les patchs Xanmod. Secouez-le tout et vous aurez la CuerdOS.
  • Prenez une dose de rogue-like, une dose d’exploration de donjons, secouez bien l’ensemble. Vous obtiendrez un jeu du nom de « Delve Deeper » pour le Commodore 64.

Côté culture ?

Have the Moskovik a lancé la pré-commande de son nouvel album « les sirènes ne mettent pas de bottes » dont la date de sortie est le 29 février 2024. Miam !

Pour finir, une petite partie du jeu « Delve Deeper » pour le Commodore 64.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Ça a donné quoi le rétroludique en 2023 ?

Courant décembre 2022, j’avais fait un bilan de mon année rétroludique. En me basant sur l’actualité quoditienne d’IndieRetroNews, voici donc mon bilan personnel du rétroludique en 2023. Les journées ne faisant que 24 heures et les semaines que 7 jours, je n’ai pas pu tout tester, surtout pour les scènes rétroludiques que je suis principalement, à savoir celle du Commodore 64 et celle de l’Amstrad CPC.

Janvier : Haplo qui a sorti le duo « Tenebra » et « Tenebra 2 » propose un jeu d’exploration et d’énigmes du nom de « Caim » pour le Commodore 64. Aussi excellent que dur par moment. C’est aussi le mois de sortie de « Toki » pour Amstrad CPC par GGP.

Février : C’est le mois de sortie de la version MS-DOS du jeu « Attack of the PETSCII Robots » de David Murray. Le minimum ? Un PC équipé d’un 8088 à 4,77Mhz et 640 Ko de mémoire vive.

Mars : C’est le mois de sortie d’un jeu d’exploration de donjon écrit en Commodore Basic, « Evil Dungeon ».

Avril : Sarah Jane Avory montre son talent avec « Zeta Wing 2 », un shoot’em’up pour Commodore 64 qui n’a pas grand chose à envier aux classiques sur Commodore Amiga.

Mai : Prenez une dose de réflexion, une dose de plateformes et un temps limité. Ça donne « Deathflood Dungeon of Doom » sur Commodore 64. Je ne suis pas allé très loin dans celui-ci… Il y a aussi eu « Cursed Tomb », jeu de récolte de trésor avec un temps limité. Encore sur Commodore 64 🙂

Continuer la lecture de « Ça a donné quoi le rétroludique en 2023 ? »

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième mercredi de décembre 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci !

Sur ce, bonne fin de semaine !

« Briley Witch Chronicles 2 », 13 heures de jeu et puis c’est tout !

J’ai fini en ce deuxième dimanche de décembre le second volet des aventures de Briley. J’en avais parlé dans un précédent article sorti le 2 décembre 2023.

Après une longue session de plusieurs heures le 2 décembre 2023, comme je l’avais précisé dans le précédent article, j’ai réussi à poursuivre mon bonhomme de chemin dans le jeu, bien qu’ayant appelé à l’aide plusieurs fois sur la page officielle du jeu.

Le jeu est plus dur que le premier opus, avec des sections qui sont parfois tendues du slip. Surtout dans des combats où on peut se prendre un « game over » en pleine tronche si on a mal géré les potions de soin.

Je dois dire que j’ai été un peu surprise quand je suis arrivé à la fin du jeu. Alors que 19 heures avaient été annoncées à l’origine par l’autrice du jeu, j’ai mis un peu plus de 13 heures pour arriver à la fin qui me dit que les aventures continueront dans « Briley Witch Chronicles 3 ». Donc rendez-vous en 2025 pour la suite des aventures de la sorcière de Maepole.

Côté statistiques de fin, je n’ai pas un très bon score dans la quête des renards éparpillés dans le jeu. Mais cela aurait pu être pire !

Pour conclure, je dirai simplement que si vous avez aimé le premier opus, le second sera pour vous même s’il est un peu plus difficile. Je déconseillerai fortement de commencer par « Briley Witch Chronicles 2 », étant donné qu’il y a pas mal de référence au premier jeu. Après, c’est vous qui voyez 🙂