« Tripalium » de Grand Détour : comment un instrument de torture donne un bon album.

Commençons par la minute « étalage de confiture ». Un tripalium est un « Instrument d’immobilisation et de torture à trois pieux utilisé par les Romains pour punir les esclaves rebelles. » Merci le wiktionnaire 🙂

Continuons avec quelque chose de plus agréable, c’est à dire un album proposé en mai 2015 par les toulonnais du groupe Grand Détour.

C’est un album de post-rock aux pistes relativement courtes pour le genre musical. En effet, on ne dépasse pas les 6 minutes pour la piste la plus longue.

Mais cela n’empèche pas l’album d’afficher quand même plus de 37 minutes au compteur. C’est du pur instrumental, avec les classiques guitares, basses et batteries. On a des pistes qui mélangent des mélodies rapides, puis des périodes de calme « trompeuses ». Comme c’est le cas pour la piste d’introduction « Demi-chaîne » ou « Arbeit und Rhythmus » et l’ultime piste « La pénébilité et la crasse ».

Dans le genre pistes relativement calmes, je demande « Trabajo y Arrebato », « Révolte en solde » ou encore le très intimiste « Les deux pieds dans le vide. »

Si vous aimez les pistes déjantées, alors « Hayekeynes » sera le moment de prédilection… On sent que le groupe a relaché un peu la pression ici 🙂

C’est un très bon album de post-rock qui ne tombe pas dans la facilité des instruments saturés comme le groupe japonais Mono qui a été mon introduction au post-rock… Oui, c’est comme apprendre à nager en sautant du plongeoir le plus haut de la piscine municipale 🙂

Si vous voulez du post-rock avec des instrumentations légères, cet album est pour vous. Encore un album qui ira rejoindre – ou aura rejoint – ma musicothèque !

En vrac’ culturel et mercurien.

Après quelques semaines sans rien, un rapide en vrac’ culturel.

Côté livres et apparentés.

Côté musique ?

Bon mercredi !

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Billet qui sera assez court !

Commençons par le logiciel libre.

Côté musique ?

Cadeau bonus, le clip du premier extrait du troisième LP du duo iamthemorning.

Bon week-end.

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Le billet sera relativement court, car j’ai une crève monstrueuse 🙁

Commençons par le logiciel libre.

Côté musique ?

  • Alors que les campagnes de financement participatif pour Dear Pariah et les Corbeaux continuent et se termine bientôt… Du moins pour les Corbeaux. Dernière piqûre de rappel, donc !
  • Tal Wikenfield n’est pas qu’une grande pointure dans le domaine de la basse – il suffit de la voir en compagnie de Jeff Beck pour comprendre qu’elle maitrise son instrument – mais aussi une chanteuse. Son nouvel album est en cours de financement sur Pledge.
  • Amanda Palmer est de retour et nous propose, après son album hommage à David Bowie, un nouveau titre. J’avoue que j’ai bien aimé 🙂

Bon week-end.

« Collaborations No.2 » de Lucy Claire : On remet ça ? :)

En juillet 2014, la compositrice Londonienne Lucy Claire s’essayait à des collaborations avec divers artistes pour agrémenter ses créations néoclassiques.

Mars 2016, Lucy Claire propose le deuxième volet de ses collaborations. J’avais déjà bien aimé le premier volume, autant dire que l’arrivée d’une suite m’interpellait.

Comme pour son premier album, elle s’est adjointe les services d’Alev Lenz, du duo « Worriedaboutsatan« , mais aussi de Yuri Kono et Marie Schreer.

Comme pour le premier volume, nous avons des créations de Lucy Claire au nombre de trois, et quatre versions retravaillées.

Continuer la lecture de « « Collaborations No.2 » de Lucy Claire : On remet ça ? 🙂 »