Confession d’un amateur de musique, épisode 10 : ma découverte de la Renaissance Folk-Rock avec Blackmore’s Night.

Si j’aime les musiques qui vous décapent les oreilles à grand coup de guitares saturées, de chants gutturaux et de rythmes de batterie presque inhumains à cause de leur complexité, j’aime aussi le strict opposé.

Le groupe qui m’a fait découvrir la musique folk-rock avec des ambiances de la Renaissance, c’est le dernier projet musical d’un guitariste aussi talentueux que son caractère est porcin. J’ai nommé Richard Hugh Blackmore, qui fêtera ou aura soufflé ses 72 bougies le 14 avril 2017.

C’est un groupe qu’il a fondé en 1997 avec celle qui allait devenir sa troisième épouse, Candice Night. Après avoir exploré le hard-rock classique et fait des expérimentations avec Rainbow, il se lance dans la musique folk-rock inspiré des ambiances de la Renaissance. J’ai découvert le groupe sur le tard, après la sortie de l’album Autumn Sky en 2010, dont voici un de mes titres préférés, même si je préfère avec le recul l’album « Ghost of a Rose ».

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Guide d’installation d’Archlinux, version de mars 2017.

Voici la quarante-et-unième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de février 2017.

Désolé pour le délai de publication en ce mois de mars 2017. Je compte désormais publier les mises à jour du tutoriel entre le 2 et le 5 de chaque mois.

Côté environnements : Gnome 3.22.2, Plasma 5.9.3, Xfce 4.12.0, Cinnamon 3.2.8 et Mate-Desktop 1.16.1 en gtk3, et Budgie-Desktop 10.2.9.

Un ajout a été fait concernant l’installation avec le noyau linux-lts. Merci à Sp3r4z pour l’information 🙂

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

NB 2 : si vous voulez installer une archlinux en 32 bits, je vous conseille de récupérer l’ISO du mois de février 2017. Cf cette annonce sur le site francophone.

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

Yaourt et Pamac ? Salut et encore merci pour le poisson :)

Il y a des périodes où l’on a besoin de faire un grand changement dans sa vie, qu’elle soit réelle ou informatique. Il y a environ 3 semaines, j’ai quitté bash pour tester zsh avec la configuration grml-zsh-config – grâce ou à cause de Baba Orhum qui l’a évoqué dans une de ses vidéos – et j’avoue que j’ai été plus que séduit par ce shell alternatif 🙂

Cependant, je ne pouvais pas m’arrêter en si bon chemin. Le deuxième pas était de changer de surcouche à Pacman. Depuis que je suis utilisateur d’Archlinux, j’ai été un grand utilisateur de yaourt. Cependant, cela va faire plusieurs mois que le projet est au ralenti. Si l’on en croit le github du projet, le code n’a plus évolué depuis octobre 2016, et la dernière version stable de ce couteau suisse n’a pas connu de publication depuis mars 2016.

Cela commence à faire un peu long. Yaourt est un excellent outil, mais il faut savoir prendre du recul par moment. C’est ainsi que je suis parti à la recherche d’un remplacement en me basant sur la page du wiki d’Archlinux consacrée aux surcouches de pacman.

Après quelques essais, je me suis arrêté sur Pacaur. Il est moins « puissant » que yaourt par endroit, tout en étant plus sécurisé, mais il me permet de gérer les paquets comme je l’entends. Donc… 🙂

Mais ce n’était pas tout. Je m’étais aussi aperçu que je n’utilisais en réalité que la fonction de notification de l’outil de Manjaro, Pamac, qui existe pour Archlinux avec le paquet AUR pamac-aur.

Il y a aussi une raison supplémentaire qui me fait mettre de coté l’outil de Manjaro, c’est l’ajout d’une fonction de compilation des paquets AUR en interne. Une volonté de se débarrasser à terme de yaourt ?

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Quoi de neuf pour l’installateur Arch-Anywhere ?

Avant toute chose, je tiens à préciser que je ne suis pas le VRP d’Arch-Anywhere. J’ai voulu faire un point depuis le billet de mars 2016 que je lui avait consacré.

C’est juste un outil dont le principe m’intéresse, et qui fonctionne pas trop mal, même si la version 2.2.5 était touché par un bug vicieux qui a mis pas mal de temps à être corrigé. J’en ai aussi profité pour reprendre la traduction déjà entamée pour la compléter et la retoucher par endroit.

Je ne suis pas possesseur d’un TOEIC ou d’un TOEFL, ni encore moins d’une licence en anglais. Mais en a-t-on besoin pour traduire un installateur ? 🙂

La version 2.2.6 est sortie le 15 février 2017 sans annonce officielle sur le site, uniquement sur la page facebook du projet.

Il y a certains bugs, comme l’absence des paquets de traductions pour Mozilla Firefox et Mozilla Thunderbird qui feront partie intégrante de la 2.2.7. Voici quelques bugs en question, écrabouillés pour la version 2.2.7 :

  1. https://github.com/deadhead420/arch-linux-anywhere/issues/182 ; Pour avoir Gnome-Terminal dans Cinnamon
  2. https://github.com/deadhead420/arch-linux-anywhere/issues/176 ; Pour compléter l’apparence de Budgie Desktop
  3. https://github.com/deadhead420/arch-linux-anywhere/issues/174 ; Pour enlever un logiciel abandonné, Xchat.
  4. https://github.com/deadhead420/arch-linux-anywhere/issues/171 ; Pour avoir les traductions de Mozilla Firefox et Mozilla Thunderbird.

J’ai durant cette période enregistré plusieurs vidéos. Une vidéo effectuée sur une Arch-Anywhere pré-2.2.6 :

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