Confession : Je suis archlinuxo-manjaristo-debianiste et c’est pas plus mal.

Derrière ce titre un peu bizarre, je décris les différents systèmes linux – GNU/Linux pour satisfaire les pisse-froid – que j’ai installé sur mes ordinateurs et autres Raspberry Pi.

Pour Archlinux, j’ai mon PC fixe qui me sert au quotidien et dont l’installation d’Archlinux date de plus de 5 ans.

J’ai aussi un Raspberry Pi 4 – 2 Go qui me sert à diverses tâches et qui fonctionne avec Archlinux ARM.

Pour Manjaro, c’est une installation d’une Tux’n’Vape Mate transformé par la suite en station sous Gnome. L’ordinateur en question date de l’époque de fin MS-Windows Vista début MS-Windows 7. Autant dire qu’il fait son âge.

Pour Debian, c’est la Debian unstable qui fait fonctionner un Asus eeePC 1005 HAG, le tout avec Xfce pour des raisons de mémoire.

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Il se passe quoi dans la blogosphère francophone ?

Du moins dans celle qui est geekesque et potentiellement abordable par monsieur et madame Tout-Le-Monde. Ce qui limite le nombre de blogs concernés.

Avec mon blog qui sera majeur au mois de septembre – et oui 18 ans déjà ! – je fais partie des vieux de la vieille. Un peu comme le StandBlog de Tristan Nitot.

C’est via mon agrégateur de flux RSS – oh, une technologie qui sent bon les années 2010 – que j’ai appris qu’Oliveyeah comptait mettre fin à son aventure bloguesque au bout de 10 ans.

Ça me fait tout drôle de l’apprendre. Car c’est un des blogs que je suivais malgré ses publications  parfois aléatoire.

Cet article m’a appris que Didier alias Iceman comptait mettre lui aussi la clé sous la porte en fin d’année 2023.

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier vendredi du mois d’avril 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Vous aimez les distributions ultra-légères, quitte à jouer du clavier ? La Peropesis 2.1 est pour vous.
  • Ikey Doherty qui avait laissé tomber Solus pour le projet SerpentOS revient à sa case de départ. Solus sera désormais basée sur SerpentOS à compter de sa version 5. J’espère que ce sera « indolore » pour les utilisateurs de la distribution.
  • Fan de shoot’em’up ? « Zeta Wing 2 » pour Commodore 64 vient de sortir et c’est du grand art avec entre autres chose un scrolling parallaxe. Le jeu payant est disponible aux formats disquette et cartouche.

Côté culture ?

Vous aimez le jazz et l’improvisation ? Alors le dernier album d’Anti RubBer BrAiN fAct0rY est pour vous. Le nom de l’album ? « Musiques de Rêves et de Démences »

Pour finir, un nouvel épisode des pitreries du libre, concernant la maltraitance imposée à Archlinux.

Sur ce, bon week-end !

Ah, les joies de la virtualisation.

Même si je n’ai plus fait de vidéos de présentation de distributions GNU/Linux depuis le mois de novembre 2018 – p’tain bientôt 5 ans ! – je continue d’utiliser régulièrement Qemu avec sa surcouche graphique Virtual Machine Manager alias VMM.

J’ai goûté de nombreuses fois à la ligne de commande avec Qemu et je dois dire que j’adore la simplicité de mise en place apportée par VMM. Évidemment, quand je récupère la dernière DGLFI en date comme la GetFreeOS par exemple (ne me remerciez pas, c’est cadeau), je pars d’une image ISO hybride pouvant être gravée sur un DVD ou écrite sur une clé USB.

En 2023, il est plus fréquent d’utiliser une clé USB prête à l’emploi qu’une galette plastifiée. Mais il reste un point crucial. Comment vérifier que l’écriture de la clé USB s’est bien passée ?

C’est en faisant quelques essais que j’ai réussi à trouver une solution de test basée sur le duo Qemu/VMM. On peut assez facilement indiquer à VMM de démarrer sur une clé USB réelle. J’ai fait une vidéo pour montrer un démarrage sur clé USB.

Je pense qu’il doit exister une ligne de commande pour faire la même chose depuis un terminal, mais je dois dire que je n’ai pas eu le courage de la chercher. Peut-être qu’un jour, je m’y mettrai… Ou pas 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième vendredi du mois d’avril 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Le guitariste du groupe Lethian Dreams vient de sortir un album de son projet solo, When Colors Are Fading. L’album s’intitule « Journey Through Sand And Stones ».

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi d’avril 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Karen Vogt vient de sortir un album de musique électronique intitulé « Le Mans ».

Sur ce, bonne fin de semaine !

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 49 : les petits papiers de Noël.

Ici, on revient dans la décennie qui a couru de 1975 à 1985. Si de nos jours des émissions comme le téléthon ou encore le sidaction sont devenus des classiques, il ne faudrait pas oublier une émission qui a servi de précurseur aux émissions « bonne pour se nettoyer la conscience ».

Durant les vacances de Noël, sur FR3 qui deviendra plus tard France 3, une émission basée sur le don principalement pour l’UNICEF, permettait à des artistes de récolter des bulletins de dons. En échange d’un titre joué en playback, les artistes se faisaient ainsi de de la publicité pour eux et leur dernier album.

Être charitable d’accord, mais si on peut y rajouter un peu de promotion quasiment gratuite, c’est mieux 🙂

L’émission était ouverte par le maire de la commune concernée animant un orgue de barbarie. Je n’ai pas trouvé de générique en vidéo, mais j’ai toujours trouvé la mélodie complète.

L’émission a été présenté par des vedettes de la télé de l’époque : Jean-Pierre Descombes, Jean-Pierre Foucault ou encore Harold Kay.

Si on peut trouver des émissions complètes sur youtube – je vous laisserai les rechercher – c’est devenu incroyable kitsch et même surjoué par moment. Mais bon, les artistes y trouvaient leur bonheur et les personnes qui donnaient avaient le sentiment de faire une bonne action.

Tout le monde y trouvait son compte, et c’était bien cela le principal !

Rétroludique, et si on passait en dur ? Épisode 8 : MS-Windows 98Se, le choix le plus pragmatique ?

Dans l’épisode précédent de la série, je précisais que la version « service pack commercial » de MS-Windows 98 (abordé en tant que tel dans un billet d’août 2019) avait été mon unique choix. Il faut dire qu’un beau badge « Designed for Microsoft » suivi du duo Windows NT (époque 4.0) et Windows 98 m’a fait comprendre quel était la version que je devais installer.

N’ayant pas de CD de la version « originale » de MS-Windows 98, je m’étais tourné vers une version 98Se qui fonctionne très bien. Du moins, elle n’est pas affectée par l’installation des pilotes pour les infâmes circuits VIA qui ont fait énormément de mal à la réputation de l’OS 16/32 bits de Microsoft… Ah, la grande époque des cartes mères utilisant ces merdes… Désolé, mais vu le nombre de fois que j’ai dû réinstaller MS-Windows 98/98SE à cause de ces pilotes moisis, on finit par avoir la dent dure.

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième vendredi du mois d’avril 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bon week-end !

Rétroludique, et si on passait en dur ? Épisode 7 : en dehors de MS-DOS, point de salut ?

Quand j’ai récupéré l’ordinosaure qui me sert à faire du rétroludique PC, je ne me suis pas posé de questions trop longtemps sur l’OS à installer. MS-Windows 98 et son MS-DOS qui lui sert de base ont été mon premier et unique choix. Je vous renvoie à la vidéo ci-dessous pour montrer le dégré de dépendance de MS-Windows 98 par rapport à MS-DOS 7.1 (celui utilisé par MS-Windows 95 OSR2 à MS-Windows 98SE inclus).

Il faut se souvenir que jusqu’en 1997-1998, quand on jouait sur PC, c’était dans une session MS-DOS. Il y avait bien eu quelques précédents, dont Microsoft Fury 3 sorti en 1995 et dont j’ai parlé en 2016.

Deux jeux ont marqué le tournant pour officialiser MS-Windows comme base : Quake 2 en 1997 et Half Life premier du nom en 1998.

MS-DOS n’était pas le seul choix possible : j’aurais pu installer FreeDOS en double démarrage avec MS-Windows, ou encore un choix plus exotique comme le dernier PC DOS publié par IBM. Restait cependant une question de taille : quid de la compatibilité avec les jeux ? Je ne voulais pas prendre de risque, et j’ai choisi l’option de facilité.

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