En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi d’octobre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Lethian Dreams a publié une vidéo d’un titre qui devait faire partie d’un album (« Season of Raven Words ») mais ce ne fut pas le cas.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Deux semaines de pause sur Twitter, quel bilan ?

Je suis en train de mener une expérience. Le 26 septembre 2024, j’annonçais sur Twitter à mon petit millier d’abonnés que je mettais en pause mon activité jusqu’à fin octobre. Quel bilan au bout de deux semaines environ ?

Déjà j’ai gagné en terme de tranquillité d’esprit. Ne plus avoir à gérer des problèmes sur mon fil, ne plus devoir bloquer à tout va, cela fait vraiment plaisir. Ma tension y a gagné, et je suis moins tendu. Bon, j’ai dû avoir une demi-douzaine de nouveaux abonnés sur mon compte mastodon, ce qui me fait frôler les 500 abonnés. Bon, il m’en reste 15 à récolter pour franchir la barre symbolique des 500, le plus gros est fait.

Oui, il y a moins de fréquentation, mais aussi moins de « dramas », de comptes à bloquer à vue pour des dissensions plus ou moins importantes. En gros, c’est un réseau social minuscule, mais ça fait vraiment du bien quand on vient de l’oiseau bleu.

Il me reste encore deux semaines avant de revenir sur l’oiseau bleu… À moins que je ne cloture mon compte là bas pour ne plus avoir de pics de tension artérielle au détour d’un tweet… Seul l’avenir me le dira 🙂

Donc Ubuntu fête ses 20 ans…

Et oui, déjà 20 ans. Je me souviens d’avoir été dubitatif quand j’avais jadis testé la Ubuntu 4.10. Ce qui m’avait gêné à l’époque, c’était l’absence d’accès direct au compte root. Oui, à cet époque, j’étais loin d’avoir compris l’intérêt d’un outil à la sudo / doas (pour les OpenBSDistes). Je n’avais que « peu de bouteille » dans le domaine des distributions GNU/Linux. J’avais bien tenté vers 1998 la RedHat Linux 5.0 – nom de code Hurricane si mes souvenirs sont bons ? – mais j’étais vite revenu à MS-Windows 98.

Ce n’est qu’en 2006 que je revenais avec Ubuntu et sa première version LTS, la 6.06 alias Dapper Drake. Oui, j’ai bien dit 06, car la première LTS avait subit du retard. Par la suite, Canonical n’a plus raté aucun mois d’avril des années paires pour sortir sa nouvelle Ubuntu LTS. La palanquée de versions tierces est arrivé au fil des années, les plus anciennes étant Kubuntu et Xubuntu.

Je dois avouer que sans la Ubuntu 6.06 et toutes les versions jusqu’à la 8.10 incluse, je n’aurais jamais franchi le pas du mono-démarrage Linuxien. Depuis, j’ai migré sur Archlinux qui correspond à mes besoins plus que ne saurait le faire Ubuntu. Mes besoins ont changé, mes connaissances se sont accumulées et je ne me sens vraiment bien qu’avec les distributions GNU/Linux même si je tâte du MS-Windows 10 ou 11 sur des ordinateurs tiers.

Malgré quelques défauts comme l’imposition des paquets snaps, cela reste une distribution idéale pour se dégrossir et passer vers des distributions mères comme la Debian GNU/Linux ou pour les plus intrépides vers Archlinux ou EndeavourOS.

Pour moi, Ubuntu reste une distribution pour les débutant(e)s et non pas pour les personnes ayant déjà plus d’expérience. Après, je peux concevoir que par fainéantise des linuxien(ne)s plus expérimenté(e)s restent sur la distribution de Canonical.

Tout dépend des besoins que l’on exprime. Même si je critique la dispersion que l’on peut avoir avec plusieurs dizaines de distributions à destination bureautique, Ubuntu restera une valeur sure. Dommage que Canonical multiplie les cavaliers seuls depuis des années : Mir pour remplacer Wayland, les snaps pour remplacer les flatpaks pour ne prendre que deux exemples.

Mais cela fait partie de l’ADN d’Ubuntu, on fait avec au final !

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième mercredi d’octobre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Vieux geek, épisode 359 : Doom64 pour la Nintendo 64, une version vraiment complète :)

Dans l’épisode 355 de la série vieux geeks, je parlais du port de Wolfenstein3D pour la Super Nintendo. Port que j’avais qualifié, je cite :

En tout cas, j’avais entendu dire que la version avait été censurée, mais à ce point, c’est du grand art.

En 1997, alors que la Nintendo 64 commence sa vie commerciale, un port du jeu Doom64 est proposé par Midway Games. Ici, point de censure : il y a du sang, des tripes, et c’est vraiment un public adulte auquel s’adresse ce jeu. Ce qui est normal. Le joueur (ou la joueuse) cible de Nintendo a connu la NES étant enfant, la SNES en tant qu’adolescent. Il était normal que la Nintendo 64 soit un peu plus adulte.

Le scénario ? Il prend la suite de Doom 2. Suite à un rapport du Doom Guy, les bases démoniaques installées sur Phobos et Deimos sont bombardées. Malheureusement, malgré les efforts déployées, les forces maléfiques ont trouvé le moyen de revenir incognito. De nouveau, le Doom Guy est envoyé sur les lunes de Mars pour régler une nouvelle fois leur compte aux forces maléfiques.

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