En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Côté logiciel libre, informatique et internet ?

Côté culture ?

Bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Côté logiciel libre, informatique et internet ? Rien, étant donné que l’actualité linuxienne est aussi fine en ce moment que le scénario d’un film pour adultes tourné dans une chambre d’hôtel de pays d’Europe de l’Est. Oui, je sais être poétique en ce moment 🙂

Côté culture ?

Bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Côté logiciel libre, informatique et internet ?

Côté culture ? Pas grand chose cette semaine, mais du lourd…

Bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Côté logiciel libre, informatique et internet ?

Côté culture ?

  • J’ai toujours apprécié le mélange metal et chant clair féminin. Un exemple réussi de cette collaboration ? Le deuxième album des Neverlight, « Nova Red ».
  • Découvert via le réseau à l’oiseau bleu, le groupe de pop-rock nord-américain Laini and the Wildfire. Dommage que le groupe n’envoie des versions physiques de son premier EP qu’à l’intérieur des États-Unis 🙁

Bon week-end !

« Too Busy Watching Invisible Things » d’Emma Fee, un premier album solo prometteur.

J’avais découvert Emma Fee via son groupe, les Happy Endings dont j’ai parlé du premier album le 17 juillet 2017. Cependant, en avril 2015, elle avait sorti son premier album solo. Le titre est un brin énigmatique : « Too Busy Watching Invisible Things » que l’on peut traduire par « Trop occupée à regarder des choses invisibles ».

Après une deuxième écoute, j’ai décidé de me faire plaisir et d’acheter l’album – qui ira rejoindre ceux de son groupe – dont je vais vous parler dans cet article.

Continuer la lecture de « « Too Busy Watching Invisible Things » d’Emma Fee, un premier album solo prometteur. »

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac. Uniquement culturel, comme précisé dans le billet du mercredi 19 juillet.

Bon week-end !

Un peu d’auto-promotion : « Trois femmes : Marie ».

Je n’aime pas vraiment faire ce genre de billets, mais il faut parfois y passer et essayer de vendre ses propres créations.

À la mi-juin 2017, j’ai publié via Amazon (en format électronique sans DRM) et au format papier, et uniquement au format électronique sur Atramenta, la première partie d’une trilogie qui me tient à cœur depuis… le milieu des années 1990 !

Ci dessous, le quatrième de couverture, qui est sûrement le texte le plus ennuyeux à écrire…

1968. Jean-Luc, 18 ans, se prépare tranquillement à passer son baccalauréat en écoutant les Beatles et leur Sergent’s Pepper. Il ne sait pas encore que sa vie va être marquée par une rencontre qui sentira bon les lacrymogènes et les pavés. Ce tome est le premier d’une trilogie en cours d’écriture.

Voila, c’est tout pour ce billet. Bonne journée !

« Happy Endings » des Happy Endings : un bon premier LP pour les fans des mélodies à la Beatles…

Et pas uniquement à la Beatles d’ailleurs… Happy Endings est un quatuor de Kingston-upon-Hall dont le cœur est constitué par Emma, Adam et Rachel Fee. Une affaire de famille donc 🙂

Après un premier EP éponyme sorti en août 2015, le groupe s’est remis au travail et a sorti début juin 2017 son premier LP, lui aussi éponyme.

J’avais acheté leur EP et j’avoue que j’avais été séduit par cette production qui était une bulle de légèreté acoustique que les Beatles auraient pu composer au début de leur carrière.

J’avais aussi évoqué leur EP dans un billet en vrac de décembre 2015. Quant à leur LP, je l’avais évoqué en duo avec l’album solo de leur chanteuse, Emma Fee en juin 2017.

J’ai eu l’heureuse surprise de recevoir – ce matin, le 17 juillet 2017 – un exemplaire de leur LP. Avec un petit mot me remerciant pour le soutien que je leur avais apporté. Je comptais justement acheter leur album rapidement, à croire que j’ai été espionné par la pensée 🙂

Mais revenons à l’album. Le groupe n’a pas été radin en terme de durée. Près de 65 minutes et 12 pistes au compteur. Autant que côté quantité et durée, on est bien servi !

Continuer la lecture de « « Happy Endings » des Happy Endings : un bon premier LP pour les fans des mélodies à la Beatles… »

Vieux Geek, épisode 91 : Plan 9 from Bell Labs, l’OS mythique !

Bell Labs est connu pour avoir été l’employeur des créateurs d’Unix. Mais pas seulement. Si la dernière version officielle de l’Unix original est le Système V Release 4 (sorti en 1988), les efforts de développement amenère au développement d’un OS entièrement nouveau, qui au principe du « tout est fichier » d’Unix rajouta un autre principe « tout est réseau ». Autant dire que c’était une petite révolution à l’époque, surtout que l’internet était encore balbutiant.

Dans une équipe menée par Ken Thompson et Rob Pike, des nouveautés sont intégrées comme proposer une interface graphique dès le départ, le support du TCP/IP. Sans oublier des nouveautés qui ont été rétro-portés sur les Unix « vieille école » comme le standard Unicode pour permettre de simplifier la tâche des développeurs.

Entre 1992 et 2002, quatre éditions de Plan9 sortiront. L’université de Berkeley en 2014 fut autorisée à publier le code de la quatrième édition sous licence GPL v2.

On peut d’ailleurs récupérer une image ISO pour voir à quoi ressemble Plan9

Continuer la lecture de « Vieux Geek, épisode 91 : Plan 9 from Bell Labs, l’OS mythique ! »

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Je sais, je publie ce billet un jeudi, mais comme c’est un week-end prolongé qui s’annonce en France où j’habite – cela me rappelle un titre des années 1970… – autant en profiter.

Côté logiciel libre, informatique et internet, en dehors de la sortie médiatisée de la Fedora Linux 26 ?

Côté culture ?

Bon week-end prolongé !