Thee Dang Dangs est un quatuor du Colorado formé par Rebecca Williams (au chant), Broox Pullford, Ray Korea et Scotty Gervais. Leur premier album – et je regrette de ne pas avoir découvert le groupe avant – propose une musique teintée de rock psychédélique, de surf rock, bref des sonorités comme celle qu’on pouvait entendre à la grande époque d’Haight-Ashbury à la fin des années 1960.
Je dois avouer que j’ai toujours aimé cette période musicale un peu spéciale, et que l’un de mes albums préférés de cette époque, c’est « The Piper At The Gates Of Dawn » des Pink Floyd.
Dès la première piste, on sent le son typique des années 1960. Et ça fait du bien. Et on est parti pour 37 minutes de voyage dans le temps. Les titres sont assez courts (de 1 minute 19 à 6 minutes 05 pour la plus longue). Comme des coups de pinceaux sur une toile.
Pour les fans de linux assez « basique », une nouvelle pré-version du livre « Linux From Scratch », la 7.4-rc1 est disponible. Faudra que je fasse mumuse avec la prochaine version officielle, tiens 😉
En fouillant sur Bandcamp, je suis tombé sur l’album « Vagrant » du groupe allemand Ysma. C’est un quartet de Münster, formé en 2009, qui mélange avec bonheur de nombreuses influences. L’album est proposé sous licence Creative Commons CC-BY-NC-ND.
Mis à part la 11ième piste qui dure plus de 9 minutes 30, les morceaux sont assez court pour du progressif, dépassant à peine les 6 minutes. J’ai rédigé l’article en l’écoutant, ce qui explique le coté un peu « brut » de l’article 😉
C’est un groupe qui propose un rock progressif teinté de sonorités métal, mais aussi d’autres influences. Après une courte intro, le morceau « The Wanderer » arrive et nous propose une piste qui ne renie quelques influences jazzy.
La troisième piste « Remember Jenny Samkis » est plus rock, bien que l’influence métal avec une rythmique assez rapide se faire sentir.
Lorsque j’ai entendu dire que leur nouvel album « Fire & Fortune » était disponible en précommande, j’ai sauté sur l’occasion. L’album est publié chez Navigator Records, un éditeur spécialisé dans la musique folk.
Et grace à la précommande, je l’ai reçu aujourd’hui, deux jours après sa sortie officielle 😉
Dès les premières mesures de la première piste, on se retrouve en terrain conquis : le jeu de guitare aérien de Ben Walker mélangé à la voix angélique de Josienne Clarke nous porte dans un monde de douceur, de nostalgie et de mélancolie.
Généralement, je ne suis pas un super amateur des compilations qui regroupent les meilleurs titres d’un groupe ou d’un artiste. Le plus souvent, c’est de la bonne grosse diarrhée commerciale qui ne vaut rien du tout ou presque, et qui ne sert qu’à faire une chose : pomper encore plus d’argent aux personnes aimant l’artistes / groupe en question.
Dans ma modeste musicothèque (579 galettes plastifiées environ), je n’ai en tout et pour tout que 3… Ce qui n’est pas énorme.
J’ai un album qui s’appelle « Deep Purple : The collection » qui regroupe une douzaine de titres des formations Mark I à Mark IV du groupe, « Wake« , un double CD de 26 titres qui balaye la groupe de Dead Can Dance de 1981 à 1998 et l’album que j’ai reçu aujourd’hui, « The Best Of Lisa Gerrard« .
Cette compilation, composée de 15 titres, et dirigée par Lisa Gerrard elle-même (?) retrace aussi bien sa carrière solo que dans le groupe formé avec Brendan Perry, Dead Can Dance.
Dans les 15 titres, dont la liste débute et finit avec des extraits de la bande originale de Gladiator, toutes les époques et disques de Lisa Gerrard sont balayés, sauf quatre disques sur les douze enregistrés : les deux premiers albums de Dead Can Dance (The Fatal Impact – 1984, Spleen and Ideal – 1985), son album en duo avec Patrick Cassidy et le dernier album studio sorti à l’époque, « The Silver Tree ».
Un mardi consacré à la musique, ça fait du bien, même si c’est court 😉
Pour commencer, le premier clip du duo « And The Giraffe » est disponible. C’est le titre « Sorry » tiré de leur deuxième album « Creatures Collector« .
Have The Moskovik ont annoncé sur leur page FesseBoucl’arrivée de leur deuxième album « »Là où les idées vertes incolores dorment furieusement » qui sera précommandable dès août prochain. Autant dire que dès que les précommandes sont ouvertes, je fonce dessus 😉
Si vous aimez les musiques à base de percussions, l’album de David Kuckhermann « The Path Of The Metal Turtle » est fait pour vous. On est loin des solos de batteries d’un John Bonham ou d’un Keith Moon. Je ferais un article sur l’album dès que j’en aurais le courage et le temps 😉
Dans un tout autre domaine musical, le groupe de métal symphonique tourangeau, Eidon, a lancé une campagne de financement pour son nouveau clip. Même si celui-ci est financé, il reste jusqu’au 15 août pour faire un don, si vous êtes intéressés, bien entendu 🙂
Non, je voudrais juste parler d’une constatation que j’ai fait ce matin en allant à l’hypermarché à l’oiseau le plus proche de chez moi.
Alors que je me promenais dans l’allée centrale, j’ai pu voir quelque chose d’étonnant. Afin pas outre mesure si on considère la météo digne d’un début septembre qu’on a actuellement. Une image valant mille mots…
Ce qui est marrant, enfin dans le sens purement cynique du terme, c’est de constater que les épreuves du bac ne sont pas encore terminée que l’on propose déjà aux écoliers, collégiens et lycéens de s’équiper de neuf. Je me souviens que j’ai passé mon oral de rattrapage pour obtenir mon Brevet d’Aptitude au Chômage (Merci Naguy pour la définition) début juillet 1993.
C’est beau de voir que l’on respecte vraiment les écoliers, collégiens et lycéens. Qu’on leur permet de faire une coupure mentale et de pouvoir se poser, non ?
Enfin, je dis cela, mais je dis rien. Pour conclure, je remercie Frank Zappa pour un titre qui résume tellement bien le principe qui est derrière l’arrivée des cartables et autres équipements scolaire moins d’une semaine après la fin de cours de l’année scolaire précédente : On y est uniquement pour l’argent.
Et tant pis si on plombe le moral des gosses, on s’en fout, on a l’argent au final 😉
Si vous ne connaissez pas la pochette de l’album, la voici. Elle ressemble d’une manière assez étrange à celle d’un album Sergent Poivre des Scarabées 🙂
Le 29 juin, j’étais assis sur un banc des Arènes de Nimes, pleines à craquer, à assister au concert de Dead Can Dance. Après un première partie assurée avec brio par David Kuckhermann, un percussionniste qui travaille avec des tambourins et des instruments ressemblant à des steel drums, Dead Can Dance est entré en scène.
La liste des titres joués a été :
Children Of The Sun
Anabasis ou Kiko (j’ai un doute, et comme j’ai noté la liste au fur et à mesure…)
Rakim, avec un Brendan Perry en train de s’amuser avec les percussions
Agape
Amnesia
Sanvean, avec une ovation de deux bonnes minutes à la fin du titre
Black Sun
Niereka
Opium
The Host Of The Seraphim (en duo Brendan Perry et Lisa Gerrard)
Ime Prezakias, précédé d’une pointe d’humour de la part de Brendan Perry sur la traduction du titre du grec vers l’anglais (I’m a Junkie ?)
Cantara dans une version largement améliorée
All In Good Time
The Ubiquitous Mister Lovegrove
Dreams Made Flesh
Song To The Siren
Return Of The She King
Quelques photos du concert. Difficile de faire mieux. J’étais à 20 ou 25 mètres de la scène, en hauteur, et légèrement sur la gauche. J’ai toujours quelques photos à vous montrer, même si c’est faire un agrandissement trop poussé est déconseillé. Toujours mieux que rien, surtout avec mon vieux téléphone mobile HTC sous Android 2.3 🙂