Concours pour gagner un exemplaire de « The Illusion and The Twin » d’Aythis.

Comme je l’ai précisé dans l’article sur l’album d’Aythis « The Illusion and The Twin », Carline Van Roos alias Aythis m’a fait gracieusement parvenir un deuxième exemplaire du digipak. Je l’ai filmé pour vous le montrer.

J’ai donc décidé de mettre en route en un concours dont voici les questions – assez faciles si on sait chercher ! – dont il faut donner les réponses.

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« The Illusion and The Twin », quatrième opus d’Aythis.

Aythis, c’est le projet solo de Carline Van Roos. En ce début de janvier 2016, elle publie son quatrième album. Si je l’ai découverte via un autre projet, j’ai accroché à son oeuvre de musique néo-classique teinté d’ambiant.

J’avais parlé rapidement de son troisième album en septembre 2014.

En ce début 2016, le quatrième opus montre enfin le bout de son nez, après plusieurs années de maturation. Intitulé « The Illusion and The Twin », c’est le plus long des albums d’Aythis. Doté de 11 pistes d’une durée totale de 47 minutes, il reprend les recettes des albums précédents.

Comme je l’avais précisé dans l’article de septembre 2014, aimer la première époque de Dead Can Dance (spécialement les albums « Spleen And Ideal » et « Within The Realm of A Dying Sun ») est un bon pré-requis qui permettra d’apprécier toute la substance de ce nouvel opus.

Les pistes sont relativement courtes, mais elles s’enchaînent en douceur, comme si l’album n’était constitué que d’une seule piste découpée en 11 tranches.

Pour vous donner un aperçu de cet album, j’ajoute les liens vers deux des titres qui sont disponibles sur la page youtube officielle d’Aythis. Respectivement la piste d’introduction et la huitième de l’album, « Without a Name » et « Night ».

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« Slow Ascent Melancholia » des Parqks : du post-rock instrumental un brin planant et Aquitain :)

Pouillant les archives de Bandcamp à la recherche de bon post-rock instrumental je suis encore tombé sur un groupe français – ce qui me remonte le moral au vue de la production actuelle – d’un groupe originaire de Limoges, Parqks.

Avant de me dire que je ne connais pas ma géographie et que Limoges est dans le Limousin, que je m’avance un peu à cause de la restructuration des régions pour dire que Limoges est dans l’Aquitaine moderne élargie, je vous renvoie à une certaine duchesse d’Aquitaine peu connue du nom d’Aliénor (née vers 1122-1204), épouse du cul-béni roi de France Louis VII, puis d’Henri II Plantagenet dont le Duché s’étendait géographiquement de Poitiers jusqu’à Lourdes et de Bordeaux jusqu’à Limoges. Je sais, ça remonte au douzième siècle, mais cela a juste poser les premières pierres d’un conflit qui a ensanglanté deux royaumes entre 1336 et 1453. Je vous renvoie donc à l’excellent épisode de Confession d’Histoire sur Aliénor d’Aquitaine.

Cette parenthèse culturelle et historique étant maitenant close, revenons-en au groupe Parqks et leur premier LP « Slow Ascent Melancholia ».

Ici nous sommes en face d’un album assez court pour du post-rock, 7 titres pour un peu moins de 39 minutes. On est loin des pistes sans fins de certains albums. Dès la première piste, on se laisse emporter par des guitares qui se la joue planante, ethérée, avec une mélodie qui permet de vous débrancher le cerveau des ennuis de la vie quotidienne. La montée en puissance de la première piste se termine avec un rythme bien péchue qui vous prend aux tripes.

La transition avec la deuxième piste – qui ne fait que 4 minutes se fait sans secousse. J’ai l’impression que les deux premières pistes n’en faisait qu’une en réalité avant qu’elles soient scindés. Je peux très bien me tromper, mais c’est l’impression que cela me laisse.

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Dernier en vrac’ dominical de 2015.

Pour cet ultime en vrac’ dominical de l’année 2015, voici quelques liens pour cette trève des confiseurs (en un seul tenant).

Commençons par le milieu noyauté par les idéologues coupés du monde logiciel libre.

  • Enfin ! C’est le cri du coeur pour une distribution parmi les plus attendues de 2015 pour fêter la sortie de la Solus 1.0. Un article à venir d’ici un jour ou deux, le temps que je fasse mumuse avec la dite bête.
  • Dans la série des publications pour Noël, je demande la AntiX MX 15 finale.
  • Ou encore les SolidXK 201512 qui reprennent le principe de la Linux Mint Debian Edition, mais soit avec KDE 4.x ou Xfce.

Parlons culture, la vraie, pas celle qui pollue les ondes radios et les étalages des magasins spécialisés de sa production insipide faite à la chaîne comme on fabrique des saucisses 🙂

Sur ce, je vous souhaite une bonne trêve des confiseurs. Bon dimanche !

En vrac’ de fin de semaine.

Noël 2015 approchant, je vais faire un en vrac’ qui sera pas trop méchant pour une fois. Ben quoi, c’est la bonté de Noël qui me touche 🙂

Commençons par le monde noyauté par des idéologues enfermés dans leurs tours d’ivoire du logiciel libre.

Passons maintenant à la culture.

C’est tout pour aujourd’hui. Bon week-end.

« Cirrus Minor » des Cirrus Minor : c’est officiel, je suis aussi accro au post-rock instrumental.

Il y a des addictions musicales qui me caractérisent. Pour le rock progressif et le metal – classique et progressif au départ – je ne peux que remercier un ami caricaturiste et portraitiste. Pour le post-rock, ça remonte à la découverte de Mono, le groupe de post-rock japonais. Même si le déclic réel a été avec – je ne sais plus qui, désolé – qui m’a fait découvrir les orléanais de Have The Moskovik.

Alors que je cherchais de l’inspiration pour un texte en cours d’écriture – qui sera publié si j’arrive à le terminer un jour en accès libre sur Atramenta – en farfouillant la section post-rock de Bandcamp à la recherche des dernières sorties, je suis tombé alors sur une pochette qui m’a interpellé. Celle du premier album éponyme du groupe Cirrus Minor, groupe originaire d’Évreux.

C’est ce qu’on pourrait appeller sans aucun problème du post-rock instrumental progressif. Car il faut dire qu’avec 5 pistes au compteur pour un total d’un peu plus de 35 minutes. Soit une moyenne de 7 minutes par piste.

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Opération transparence 2015… L’inutile donc indispensable billet du blogueur indépendant :)

En décembre 2014, je jouais l’ouverture et la transparence sur les dépenses du blog. Maintenant que l’année 2015 est bientôt finie, voici donc le billet récapitulatif des dépenses qui joue la transparence.

C’est le genre de billet inutile qui est cependant indispensable pour une seule et bonne raison : ils permettront de rétablir la confiance. Sauf contre indication, les achats concernent des albums en CD. Si certains résultats sonnent bizarre, c’est que ce sont des conversions depuis des £ ou des $ 🙂

De plus, cela ne concerne que les achats culturels dont j’ai parlé sur le blog de manière extensive.

Janvier 2015 :

Février 2015 :

Mars 2015 :

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En vrac’ dominical.

Après un samedi plutôt mouvementé, voici donc le billet en vrac’ dominical pour faire retomber la pression.

Commençons par le logiciel libre.

Parlons culture maintenant.

Bon dimanche !