« Zak McDrucken Saves The Chickens » un bon jeu de réflexion / plate-formes pour le ZX Spectrum.

S’il y a un ordinosaure que je n’aime pas outre mesure, c’est le ZX Spectrum de Sinclair. Pour moi, c’est synonyme de graphismes monocolore, de couleurs qui se tapent dessus et de bruitages pas franchement très agréables.

Cependant, il m’arrive d’être agréablement surpris, comme ce fut le cas en février 2025 avec « Plyuk ».

Comme pour ce titre, développé par la même équipe, « Zak McDrucken Saves The Chickens » est un jeu où il faut déposer des poules dans des téléporteurs. Oui, c’est bizarre. Il faudra faire attention avec les ascenceurs, les bacs d’acide ou encore des tapis roulants qui vous bloquent ou encore des lasers prêts à vous transformer en hot-dog 😀

D’ailleurs, rien que le titre me fait penser à un hommage au jeu « Zak McKracken and the Alien Mindbenders ». Coïncidence ? Je ne le crois pas !

C’est un jeu qui ne se prend pas au sérieux mais qui propose des graphismes colorés, un jouabilité assez bien construite. Le seul hic ? Pas de code pour revenir au dernier niveau résolu. C’est son seul manque. Mais voici donc une vidéo pour vous montrer le jeu en action, avec la solution pour les 6 premiers niveaux.

Pour la petite histoire, j’ai galéré à mort pour trouver un enregistreur de vidéo limité à une fenêtre donnée. Je n’ai pas trouvé le bon réglage pour OBS Studio, ensuite j’ai essayé une demi-douzaine d’enregistreurs de vidéo dont les versions téléchargeables sont si limitées qu’elles donnent envie de foutre des coups de boule rotatifs aux développeurs des dits logiciels. La solution ? Elle était fournie… L’outil de capture d’écran et de vidéo proposé par défaut avec MS-Windows !

Comme quoi, on cherche souvent ce qu’on a sous la main… En tout cas, si vous voulez vous lancer dans ce casse-tête, je vous souhaite bien du courage, spécialement à partir du niveau 9 😀

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième samedi du mois de septembre 2025.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Pour finir, deux vidéos. La première consacré à Tiny11 et sa création :

Et une vidéo des tutos à la con pour avoir avec un peu d’avance une LMDE 7 🙂

Sur ce, bonne fin de week-end !

Fin de l’expérience Q4OS Andromeda… En beauté, et c’est tant mieux !

En ce 12 septembre 2025, Q4OS vient d’officialiser la sortie de la première version d’Andromeda, la version 6.1. J’avais lancé une expérience mensuelle qui a pris du galon. En effet, au lieu de m’arrêter au mois d’utilisation, j’avais voulu pousser cette installation de la Q4OS effectuée lors de la période alpha en juillet 2025 jusqu’à la sortie de la version stable.

Contrairement à ce que je pensais, ce n’est pas une version 6.0 qui débute la série, mais une version 6.1, pour se mettre en synchronisation avec la Debian GNU/Linux 13.1 sortie le 6 septembre 2025. Les notes de publication sont copieuses et annonce l’intention du projet de passer à 10 ans de support au lieu des 5 classiques d’une Debian donnée.

Je dois dire que la situation a été des plus calmes et l’environnement Trinity – que j’ai préféré à Plasma – fonctionne très bien. Je n’ai pas eu à me plaindre une seule fois de l’installation. Les mises à jour se sont toujours déroulées sans aucun accroc. Il est vrai que construire une version alpha d’un projet sur une Debian GNU/Linux testing dans le mois qui précède la sortie d’une nouvelle Debian GNU/Linux stable, c’est jouer la sécurité.

Mais autant faire une petite vidéo bilan pour conclure cet article en beauté.

Oui, effacer la Q4OS m’a fait un pincement au cœur, mais il faut bien aller de l’avant, non ?

Et une autre expérience : NixOS Gnome pendant un mois dans une machine virtuelle.

Apparemment en ce moment, NixOS a le vent dans les voiles, et de plus en plus de projets, plus ou moins ambitieux reprennent les bases de NixOS, que ce soit la distribution ou plus simplement le gestionnaire de paquets.

J’ai donc récupéré la dernière image ISO en date du projet, numérotée 25.05, et j’ai lancé l’installation dans une machine VirtualBox, équipée de 8 Go de mémoire vive et de 128 Go de disque. Et j’ai pris Gnome comme environnement de bureau. Et au premier écran, j’ai choisi le noyau Linux LTS au lieu du dernier noyau stable.

La partie la plus longue de l’installation – qui est automatisée avec Calamares – se déroule à 46%, quand les paquets sont récupérés les uns après les autres. Cela m’a pris une bonne quinzaine de minutes ! Faut pas être pressé pour installer une NixOS.

Une fois l’installation terminée et l’ensemble redémarré, j’ai ouvert un terminal et j’ai lancé la commande pour installer les mises à jour du système, le duo sudo nix-channel --update et sudo nixos-rebuild switch --upgrade.

Une fois cette étape terminée, j’ai installé Vice et Dosbox-X avec les commmandes nix-env -iA nixos.vice et nix-env -iA nixos.dosbox-x. C’était assez direct, ce que j’ai apprécié. Mais le mieux, c’est de vous montrer l’ensemble en action.

Je dois dire que la vélocité de nix-env pour installer des paquets est agréable. On peut facilement trouver son bonheur dans les paquets prêts à l’utilisation. Maintenant l’expérience va se prolonger jusqu’au 12 octobre 2025, avec des mises à jour toutes les 48 heures. Au moins, j’aurai un aperçu de l’ergonomie générale et de la manipulation des paquets sur une base NixOS.

Ajout à 17 h 25 : Comme me l’a fait remarqué Sébastien, que je tiens à remercier, je n’ai pas utilisé la méthode conseillée pour installer des paquets. J’ai donc viré les paquets avec un nixos --uninstall nom-du-paquet.

J’ai ensuite modifié le fichier /etc/nixos/configuration.nix en rajoutant les paquets qui vont bien dans la section « environment.systemPackages ». Cf la capture d’écran ci-dessous.

Le tout suivi d’un sudo nixos-rebuild switch. Et tout est installé selon les canons de NixOS 🙂