« Maddie, si tu savais… », le nouveau roman réussi d’Isabelle Rozenn-Mari.

S’il y a une auteure que je suis depuis pas mal d’années, c’est bien Isabelle Rozenn-Mari. En janvier 2018, je parlais de son précédent roman, orienté suspense « Les larmes d’Alyssa ».

J’ai été contacté par Isabelle au mois d’avril 2019. Elle m’avait demandé si je voulais être un des bêta-lecteurs de son nouveau roman. Après la fantaisie de son cycle « Les enfants de Dana », Isabelle s’est lancé dans une histoire teintée de science-fiction. Ici, nul extra terrestre à peau verte ou vaisseau spatial.

Le quatrième de couverture est plutôt parlant et intrigant :

Un regard, et tout bascule.
Entre Matthieu et Maddie, c’est le coup de foudre immédiat. Ce que Maddie ignore, c’est que Matthieu connaît son avenir. Un avenir terrifiant, douloureux, pire que la mort.
La préoccupation principale de Matthieu, journaliste scientifique, sera dès lors de sauver Maddie. Mais le temps se dresse entre eux telle une barrière infranchissable.
Une lettre pourrait tout changer. Mais parviendra-t-elle à temps à Matthieu ?

Comment un scientifique qui est guidé par la raison peut-il connaître le futur d’une chanteuse de cabaret ? C’est tout le noeud de l’intrigue.

Je dois avouer que j’ai dévoré la version presque terminée du texte en l’espace de trois jours tellement l’histoire est passionnante et qu’on veut savoir ce qu’Isabelle nous cache.

Je ne vous gâcherai pas le plaisir, mais tout ce que je peux dire est qu’ici on a une revisite d’un grand classique de la science-fiction. Inutile de m’en demander plus, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat !

Allez, bonne lecture !

Il faut savoir tourner la page : mon départ de la partie technique de Tux’n’Vape.

Il y a une citation de Georges Clemenceau qui me plait particulièrement – une parmi d’autres – et la voici : « Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés. »

Le doux monde du logiciel libre en est la parfaite confirmation. Dans la vidéo ci-après, j’explique pourquoi au bout de deux ans je quitte le partie technique du projet que j’ai aidé à fonder.

Outre le fait que le projet était devenu la cible préférée des fouteurs de merdes de la youtubosphère linuxienne francophone – et mon départ vers Peertube n’avait rien changé au déferlement de haine, d’insultes et de menaces sur mon intégrité physique de la part de courageux anonymes – on arrive à un moment où il faut savoir tourner la page et laisser les projets techniques qu’on a lancé dans les mains de personnes que l’on considèrent être fiables.

Ma vie réelle étant plutôt occupée par des trucs complètement basiques, je n’ai pas le temps en ce moment d’évaluer des distributions en dehors de celle que j’utilise au quotidien. D’ici une grosse semaine, le temps libre redeviendra une réalité palpable.

Je n’ai pas grand chose à rajouter à ce que j’ai dit en vidéo, je vous conseille donc de la visionner en entier avant toute chose 🙂

Sur ce, bonne journée !

Guide d’installation d’Archlinux, version de juin 2019.

Voici la soixantième-septième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de mai 2019.

Note : des versions plus dynamiques sont disponibles sur mes espaces github et framagit.

Pour les captures d’écran, je suis parti d’une image ISO intermédiaire créée avec l’outil Archiso. Au moment où j’envoie l’article en ligne, le 1er juin vers 8 h 35 du matin, l’ISO de juin 2019 n’est pas encore disponible.

Si vous avez besoin d’une image ISO en 32 bits, le projet archlinux32 vous en proposera une.

Côté environnements : Gnome 3.32.2, Plasma 5.15.x, Xfce 4.12.0 et Mate-Desktop 1.22.1 en gtk3, Cinnamon 4.0.10 et Deepin 15.10.1

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !