Ma migration vers Gnome 41.1 ? Un sans fautes… Wow !

Gnome 41.1 aura mis du temps à arriver sur Archlinux, pour les dépôts de test pour l’instant… Les joies d’être sur testing 🙂

Il a pointé la majorité de ses paquets dans la soirée du 8 novembre, en deux fois. Une première série de paquets vers 21h35, une heure plus tard environ.

Les deux captures d’écran parlent d’elles-même. La prmière couche…

Et la deuxième !

Côté casse d’extension ? Rien du tout. Que ce soit l’extension gsconnect, la météo avec gnome-shell-extension-weather-in-the-clock, et la zone de notification par gnome-shell-extension-appindicator passant sans problèmes.

Je dois dire que j’ai été agréablement surpris par cette migration en douceur.

Pour finir l’article, l’obligatoire panneau d’informations de Gnome.

Il faudra juste me plonger dans les nouveautés de cette version, mais je ne pense pas que cela révolutionnera mon utilisation de l’informatique au quotidien. Prochaine étape ? Gnome 42 en avril 2022.

 

Vieux Geek, épisode 314 : OS/2 Warp 4, l’ultime tentative connue d’IBM pour répandre son OS.

Dans l’épisode précédent de la série vieux geek, je parlais d’OS/2 2.x. En septembre 1996, IBM tente une dernière fois de se faire sa place au soleil et sort OS/2 Warp 4 connu sous le nom de code de Merlin.

L’article paraissant le 29 septembre 2021, c’est un peu un article pour les 25 ans d’OS/2 Warp 4.0, celui ayant été publié le 24 septembre 1996, dixit IBM 🙂

MS-Windows 95 est sur le marché depuis une grosse année. IBM sait que c’est sa dernière chance pour qu’OS/2 se propage et il mise tout sur un WorkPlace Shell retravaillé, sur Java et sur le réseau. Le gros point faible d’OS/2, à savoir sa gourmandise en ressources est présente.

Il faut au minimum un 486 DX à 33 Mhz, 12 à 16 Mo de mémoire au minimum. Si on veut utiliser la fonction de dictée vocale, c’est au minimum un Pentium à 100 Mhz avec 8 à 12 Mo en plus, dixit Big Blue.

Par contre côté disque dur, n’essayez pas de lui proposer une capacité supérieure à 2 Go… Ça gueulera rapidement. Bien qu’il soit disponible dans plusieurs lantgues, je n’ai pas réussi à trouver une image ISO en français 🙁

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Dosbox-X ou PCEm pour les vieux jeux MS-DOS et MS-Windows 1.x à 3.x ?

Dans la cadre de ma série de billets « Vieux Geeks », j’utilise très régulièrement des jeux sous MS-DOS, voire parfois des vieux MS-Windows de la génération 1.x à 3.x. Cependant, il existe au moins deux outils qui peuvent s’avérer utile : Dosbox-X (un des meilleurs forks de Dosbox sur le plan ergonomie) et PCEm qui est plus orienté émulation de vieux PC (comme l’IBM PC 5150, le Tandy 1000 par exemple).

Dans l’épisode 83 de ma série de vidéos « C’est trolldi, c’est permis », j’avais utilisé Dosbox-X pour émuler l’environnement matériel et logiciel minimal requis pour lancer Doom… J’ai bien dit lancer, pas jouer 🙂

Je me suis demandé si les résultats obtenus étaient réalistes. J’ai donc pris PCEm et j’ai reproduit l’expérience en prenant un PC émulé avec un 386SX, 4 Mo de mémoire vie, un MS-DOS 3.3, etc… J’ai enregistré l’ensemble même si j’ai un brin galéré dans la dernière partie de la vidéo.

Ma conclusion est assez pragmatique : les deux se complètent. PCEm sera vraiment pratique si j’ai besoin d’un vieux MS-Windows ou d’utiliser un matériel émulé uniquement par PCEm, comme une carte vidéo Plantronics par exemple.

D’un autre côté, des jeux bien ennuyeux à lancer et qui demandait de créer des disquettes de démarrage pour avoir la bonne quantité de mémoire vive conventielle, de mémoire paginée (EMS) de mémoire étendue (XMS) passeront mieux avec Dosbox-X.

C’est donc souvent du « cas par cas » en fonction du logiciel à faire fonctionner. On est ici plus dans la complémentarité que dans la concurrence frontale.

Il faut savoir ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier… :)

Vous me direz que c’est un dicton assez connu et qui fait preuve de bon sens, même si ce dernier peut-être facilement battu en brèche si on applique une méthode rigoureuse et scientifique.

Depuis deux ans et demi (fin novembre 2018), j’utilise des instances peertube pour mes vidéos. J’avais d’abord appliqué le schéma suivant :

  1. Peertube.fr en principal
  2. Tux’n’tube en secondaire

Cependant, suite à des périodes d’indisponibilité ponctuelles, devenues rarissimes par la suite, de l’instance peertube.fr, j’ai inversé l’ordre des priorités :

  1. Tux’n’tube en principal
  2. Peertube.fr en secondaire

Je n’avais jamais abordé le sujet, puis je me suis aperçu que nombre d’abonnements arrivaient encore sur l’instance peertube.fr sans se répercuter sur Tux’n’Tube.

J’ai donc fait cette courte vidéo pour en parler rapidement.

Même si je me sers essentiellement des instances peertube pour héberger les vidéos du blog, j’ai quelques chaines indépendantes qui méritent un peu plus de lumière… Donc acte 🙂

Maintenant, je peux retourner vaquer à mes occupations qui ne font pas l’objet de vidéos en ligne, car il faut quand même conserver un minimum de vie privée, non ? 🙂